Dans les jardins de Glastonbury (pv Émérick)

Blanche n'osait pas de regard vers l'héritier, mais ces paroles attendrissantes ne put empĉher la jeuen duchesse de sentit mieux. Lorsque celui-ci posa sa main sur son visage, Blanche alla mettre sa main sur la sienne.

J'accepte votre invitation.

- Souvenez-vous de ce que je vous ai dit, la dernière fois ...

La jeune femme s'en voulait. Habituellement, les hommes qu'elle connaissait, étaient des menteurs de première qualité et étaient du genre , grand parleur, petit faiseurs, mais l'héritier, lui, ne convenait nullement à cela.

Alors ce n'était pas des paroles en l'air comme avec Mordred.

Je me souviens, oui.

Un doux regard, remplit d'attention et la duchesse devint rouge

Émerick lui fit un sourire, heureux de voir que la jeune femme s'en souvenait ...

- J'ai été idiot de laisser Mordred vous faire du tort ...
Je n'aurais pas dû ...

J'accepte votre invitation

L'héritier était bien content de cela aussi, il dit :

- Je resterai à Glastonbury un moment, puisensuite, nous pourrons prendre le chemin des orcades ...
J'y ai beaucoup à faire ...
Incluant vous protéger, vous et votre fille ...

Il regarda Méli et dit:

- Tu sais, tu vas venir chez moi, bientot !
Tu vas voir, on s'y plait beaucoup ...

Ce n’est pas votre faute. C’est moi qui a continué, à croire qu’il m’aimait.

Blanche se sentait à sa juste valeur. Elle n’aurait pas à présenter Mordred comme père à sa fille, puisque l’héritier suffirait de soutien, pour Blanche et la petite Mélissandre.

Mais avant que nous partions, je dois attendre la venue de mon ancien protecteur. Le roi Arthur. Malgré ses fautes et les miennes, je lui dois encore respect … Je lui en dois encore plus que celui qui fut mon amant …

Mettre un terme et rester dans les bonnes grâces de son ancien roi, était la seule exigence de la duchesse restait à savoir si le prince héritier acceptait

Tu sais, tu vas venir chez moi, bientôt !
Tu vas voir, on s'y plaît beaucoup

Mélissandre fit un délicieux sourire à Émérick. Jamais Blanche n’aurait cru que l’idéal paternel soit le cousin de son amant.

Émerick savait qu'il aurait dû intervenir avant que son cousin ne fasse de la peine à la duchesse, mais il avait réagit trop tard ...

Mais avant que nous partions, je dois attendre la venue de mon ancien protecteur. Le roi Arthur.

- Je comprends, et n'ayez crainte ...
Nous ferons route vers Camelot et ensuite vers les Orcades ...

De toute façcon, Arthur doit savoir qu'une créature mystique fait rage en Bretagne et menace tout les royaumes ...

Cette fois, il devra s'allié à Mordred ...

En parlant de ce dragon, Émerick eu un flash ...
Il ne pouvait mettre en danger la vie de la duchesse et de sa fille, c'était trop stupide de faire ca ...

- Avant de s'installer aux Orcades, cela pourra prendr eun certain temps, car une bête sanguinaire menace le nord ...
Je ne voudrais pas vous perde ...

Cette fois, il devra s'allié à Mordred ...

Blanche haussa les sourcils en entendant les paroles de l'héritier. Elle se planta devant lui.

Mon roi a toujours voulu colaborer avec son neveu. C'est Mordred qui ne le voulait pas.

Avant de s'installer aux Orcades, cela pourra prendre un certain temps, car une bête sanguinaire menace le nord ...
Je ne voudrais pas vous perdre ...

Qui avait dit que Blanche ne serait plus jamais heureuse?

Alors j'espère que vos soldats, me ramènerons votre personne en bon état.

Blanche ne pourrait plus se passer de lui maintenant. La jeune femme se mit sur la pointe des pieds et alla embrasser le jeune héritier ...

Alors j'espère que vos soldats, me ramènerons votre personne en bon état.

Émerick sourit en entendant cela ...
Cete phrase bonbit dans sa tête sans que rien ni personne ne puisse l'arrêter ...

- Je n'ai jamais fais de faux espoirs à personne ...

Il avait eut des sentiments pour la jeune duchesse, mais il avait aussi vu que son maigre staut d'hériter n'avait pas fait le poids contre celui de roy, alors il avait jouer les Don Juan à droite et à gauche, mais c'était fini ...

Il se consacrerait, maintenant, à Blanche et à Mélissandre, cette tendre enfant ...
Ce baiser de la part de la Duchesse le fit encore plus sourire ...

- Mordred ne sait pas ce qu'il manque ...
Il n'est pas conscient qu'il avait, sous les yeux, une belle femme ...

Mordred ne sait pas ce qu'il manque ...
Il n'est pas conscient qu'il avait, sous les yeux, une belle femme ...

Blanche sourit et s'empêcha même de continuer ses remarques.

Et vous ? Vous en avez conscience Vous venez de le dire. Il avait et maintenant n'a plus.

Mordred était du passé, et elle ne pouvait laisser passer l'amour que lui vouait Émérick passé son chemin.

Serez-vous assez fort, pour l'entendre vous appeler "père", même si elle n'a qu'un lien affectif envers vous ?

L'amour que lui vouait les hommes devraient passé, par Mélissandre. Était-il prêt à s'occuper d'un enfant qui n'était pas le sien

Émerick prit Blanche par la main et dit:

- Je sais que je manquerai quelque chose si je ne voyais pas qu'il y a une belle demoiselle devant moi ...
Je ne vous laisserai pas seulement repasser dans ma vie ...

Le prince tenait des propos clairs et sans ambiguëtés ...

Serez-vous assez fort, pour l'entendre vous appeler "père", même si elle n'a qu'un lien affectif envers vous ?

Émerick parla sur un ton rassurant:

- Je l'aimerai ...
C'est certains ... Peu m'importe qu'elle soit ma propre fille, parce que je l'aime comme un père ...

Émérick acceptait sa petite cousine en tant que fille. Et cela comptait, pour elle.

Merci, Émérick.

Mais Blanche se sentait toujours déchirer, pour le prince. Et si, il ne faisait cela que pour plaire. Non!, Il ne pourrait pas et ....

Blanche voulait être certaine, qu'elle ne pourrait créer de mal à nouveau

Seulement, je sais qu'il y a une autre femme qui occupe votre coeur. Et je ne voudrais, pas lui prendre une deuxième fois sa place. Elle ne le mérite pas.

Blanche savait que le prince ressentait des sentiments, pour la reine, à qui elle avait pris le coeur du roi...

Seulement, je sais qu'il y a une autre femme qui occupe votre coeur. Et je ne voudrais, pas lui prendre une deuxième fois sa place. Elle ne le mérite pas

Émerick se rembrunit et évita les yeux de la duchesse ...
Pourquoi fallait-il que cela le suive sans cesse ? ...

- Vous savez alors que je ne peux faire un vrai choix ...
Je vous aime et j'aime une autre femme ...
Mais je sais que vous avez besoin de soutien ...

Il caressa la tête de Méli et dit à la duchesse:

- On m'a banni d'Orcanie ...
Et j'y ai laissé une partie de mon coeur, mais j'ai une ceraine affection pour vous et pour Mélissandre ...

Blanche soupira. L'histoire de sa vie.

Je comprends Émérick. Je comprends ce mal qui vous ronge. Un jour, peut-être un homme tombera du ciel, et ce sera la bonne.
Blanche soupira et regarda l'héritier.

Je n'aimerais pas obligé la reine à se rendre ici.

Une affection ne dit pas nécessairement un amour.

Ne laissez pas mourir la dernière flamme qui existe, pour elle. Mordred n'aime pas, il prends.

Le roi n'a pas l'intention de me rendre visite. Faites venir la reine. Parlez lui. et oubliez moi.

Blanche savait qu'elle se mettait dans l'eau chaude. Ophélia lui planterait un couteau dans le coeur, en la voyant, mais elle ne savait pas que la duchesse ne donnerait jamais sa fille en tant qu'héritère à son ex amant

Ne laissez pas mourir la dernière flamme qui existe, pour elle. Mordred n'aime pas, il prends

Cette flamme n'est plus que de la cendre ...
J'ai cru plaire aux femmes, plaire à cette femme, mais je ne suis qu'un bon à rien ...

Émerick savait qu'il faisait de la peine à Blanche , mais il avait fait de pla peine a toute les femmes ...

- Je suis désolée de vous faire subir cela ...
Mon coeur ne bat pas vraiment ...
Je ne suis pas humain ...

On dirait que méprise toute les femmes que j'aime

- Je suis désolée de vous faire subir cela ...
Mon coeur ne bat pas vraiment ...
Je ne suis pas humain ...

Je vous comprends, Émérick. Mais ne tarder point ici.
La riene na'imerait point vous savoir, près de moi.

J'ai rejeté beaucoup d'homme, et j'ai pleuré nuit et jours, avant la naissance de ma fille. La reine a besoin d'un homme qu'il l'aime avec passion.

La duchesse n'aurait jamais pu être aussi sincère. Mais, le jour ou elle serait lavée de ses péchés, Ophélia, lui pardonnerait et ce n'existerait jamais.

» Emerick chez sa tendre tante (pv Faraday puis Emerick)
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