Une longue soirée pv Simon

Marie-Anne resta surprise de cette histoire horrible.Pauvre Auré.Cette histoire lui faisait penser a celle qu'elle avait vécut avec Suzanne et compagnie.Cette femme impressionnait la princesse.La noble allait l'aider du mieux qu'elle pouvait.Elle regarda dans sa bourse, ou il y avait assez d'argent pour qu'Auré passe ou moins une à deux semaines pour se nourrir et dormir dans un endroit chaud.

-Auré, votre histoire me touche énormément.
-Vous êtes vraiment courageuse.
-Sa me rappelle l'histoire de ma cousine Élisabeth.
-Dieux est son âme.
-Elle m'a tous raconter cela.
-Nous étions très proche, vous ne savez point comment.

La jeune dame mentait comme Mordred voulais qu'elle le fasse pour sa sécurité et celle de ces proches.Cela était dur car après tous elle avais une mission à accomplir sur terre.Cette dernière devais rendre une Bretagne plus catholique que jamais en plus de protège la petite Mélissandre.

Simon regarda Marie-Anne, se demandant comment Elizabeth avait pu lui parler. Il y avait anguille sous roche. Cependant Auré pleurait, les larmes creusant de propres sillons sur sa joue. Cédant à son habituelle impulsivité, Simon les lui sécha donc doucement. Il y avait une certaine tendresse dans ses gestes.

"Peut-être pourrais-je vous aider aussi, en commençant par vous offrir un bain pendant que dame Marie-Anne rejoindra la sûreté de sa chambre."

Simon était lui aussi prêt à donner toute sa bourse à Auré, mais il se sentait aussi attiré par cette femme, bien qu'elle soit fort sale. Simon était en chasse.... Étrangement il n'éprouvait pas le moindre scrupule, ou alors si peu....

-Et pourquoi ,je devrais regagner ma chambre Simon ?
-Je dois être enfermée dans ma chambre! la vous me faites penser à Balégrant de Gaurres.
-Cela n'est point un compliment.
-Monsieur

Marie-Anne avais été irritée par Simon et parti aussitôt de table, sans rien manger dans son assiette. Simon souhait sûrement que la princesse revienne saine et sauve à la demeure royal. Et pourtant il allait se faire Aurélianne, sa cousine lointaine. Elle se disait dans sa tête ''Vous allez lui faire l'amour et l'embrasser tendrement. Traître, comment osez-vous faire cela à votre dame quand vous êtes sur le point de vous marier."

La noble dame rageait de plus en plus. Après tous c'était tant pis pour lui. La fidélité ne serait point le point fort du nouveau couple Gladys et Simon de Reims.

Invité

Aurélianne regard l'homme. D'une certaine manière la duchesse déçue compris la réaction de la noble femme. Pour un peu d'argent, la duchesse déchue était prête à laisser sa virginité.

Depuis combien de temps n'avait-elle pas pris de bain? Au moins 3 semaine. Que cela serait bon. Sa libido monta quand Simon l'assis sur elle. Elle descendit des jambes de Simon et le guida à sa chambre pour lui faire vivre un plaisir fous et absolument point chrétien.

Simon leva un sourcil surpris mais ne dit rien à Marie-Anne. Elle n'était vraiment pas intéressante.... Rahlàlà que pouvait-il faire? Il suivit Aurélianne, bien qu'il ai encore faim, et lui sourit.

"Pressée de prendre un bain?"

Déclara-t-il gentiment, une fois qu'ils entrèrent dans la chambre. La pièce semblait plus propre que le reste de la taverne et une baignoire chaude reposait sur la gauche de la pièce, un lit double se trouvant à droite des deux jeunes gens.

"Bon et bien allez y, entrez dans l'eau."

Déclara Simon en retroussant ses manches. Il était décidé à seulement donner le bain à Aurélianne.

Aurélianne souris au châtelain Simon.Rendu à la chambrée.La dame se débarrassa de ses vêtements défiche. Le gentilhomme pue voir un corps fragile et truffé d'écimose.

-Ah quelle bonheur.Un bain chaud, il y a tellement longtemps.

Marie-Anne pour sa par lisait un livre.La jeune femme était insultée de voir des choses si impure devant ses yeux.Simon était comme un chat il avait besoin d'attention et de caresse de sa maitresse.La jeune femme sorti de la chambre et demanda à un homme de préparer son cheval.Par fois Marie-Anne pouvais être douce et d'autre fois une tête de mule.

-Simon,je suis profondément déçu de votre conduite envers moi et je part aussitôt pour Warminster seule.Peu importe ce qui arrivera, le destin décidera de mon chemin.

Simon prit Aurélianne en pitié en la voyant nue et il l'aida à entrer dans l'eau lorsque Marie-Anne dépassa les bornes.

"Attendez moi sagement je reviens vite."

Soupira Simon, posant un baiser sur le front crasseux d'Aurélianne avant d'aller stopper et raisonner Marie-Anne, l'attrapant par le bras.

"Vous faites quoi là? Vous voulez vous faire tuer en voyageant ainsi en pleine tempête? Vous ne passerez pas. Compris? Alors Allez dans votre chambre et occupez vous pendant que je patienterais la fin de cette tempête de neige."

La jeune femme regarda le sieur d'un regard meurtrier.Un peu plus on croyait qu'elle allait sauter sur lui et le tuer.Marie-Anne se senti envers Simon comme une femme qui ne voulait pas briser la relation avec l'homme de sa vie, et l'homme qui lui avait sauvée la vie.Le châtelain aurait sûrement voulu se faire la belle Marie-Anne, mais il ne pouvait point car elle était mariée.Marie-Anne voulait, comment dire, faire fantasmer Simon d'une certaine manière.La princesse devait être d'un ennui mortel pour le sieur sauveur de ses dames.Comment ne pas tomber sous le charme de ce Don Juan à la chevelure de feu? Dont tous parlait à la cour comme d'un dieu de l'amour et du désir charnel.Marie-Anne n'aimait qu'un homme et elle ne voulait point ce laisser séduire par un courtisan.C'était pour cela que Marie-Anne voulait partir de l'auberge au plus vite.

[b]-Je retourne à ma chambre, je ne veux point être un ennui pour vous Sir Simon.Vous aimez bien les femmes et je dois vous avouez que j'ai peur qu'un élan de passion ne vienne vous frappez en ma personne.Oui j'ai peur Sir Simon de chaque moment passé avec vous car une rumeur est bien vite partie et malheureusement nous ne pourrons l'arrêter.

Simon foudroya Marie-Anne du regard. Il avait envie de l'écarteler séance tenante mais ne pouvait naturellement pas le faire.

Simon prit alors marie-Anne par le bras et l'enferma seule dans une chambre.

"Ne protestez pas, c'est pour votre bien, je risque d'avoir bien trop rapidement les nerfs à vif si vous continuez vos enfantillages."

Simon parti alors et s'assit au bord de la baignoire ou se trouvait Aurélianne. Il lui sourit tristement puis rajouta de l'eau chaude dans le bain avant de prendre un savon et de commencer à nettoyer les cheveux de la jeune femme.

Cela le détendait et il se mit à siffloter un air enchanteur tout en nettoyant la longue chevelure.

Invité

La jeune femme était toujours dans l'eau chaude du bain.Elle se trouva vraiment bien près du sieur.Les seins d'Auré aurais peut être vue par le monde entiers.Elle porta son regard vers le rouquin et l'embrassa.Cette nuit la allais être mémorable pour l'ex-intendant de Marth.

-Merci Sir Simon.Un bain ma fait extrêmement du bien.Je suppose que vous voudriez passez a une étape beaucoup plus existante ou vous allez pouvoir être le maitre.Simon j'aimerais tant sentir votre peau sur mon être.Je ne vous demande que cela et je serais toute à vous.Je pourrais porter vous enfant mais sauvée moi de cette vie de catin d'auberge.Je serais votre catin personnelle à vous et je vous feriez vibrer toute les nuits que vous voudrez .

Elle attira Simon vers l'eau.En lui faissant des yeux de chatte en chaleur.Elle lécha ses doits un par un pour faire envie de ce noble seigneur.

Simon fut surpris par le baiser et plus encore par les propos d'Aurélianne. Il la laissa lui lécher les doigts et il entra dans l'eau, après s'être dévêtu.

"Aurélianne, je veux bien me baigner avec vous, mais avez vous conscience de ce que vous dites? Vous vous offrez comme un objet, vous vous en rendez compte?"

Demanda Simon, en saisissant une jambe d'Aurélianne et commençant à la laver. Il reconnaissait qu'elle était désirable mais il préférais la laver avant de la toucher. Et il ne savait trop pourquoi, mais la dévotion d'Aurélianne le mettait mal à l'aise.

Que dire que faire? Simon n'en savait rien, alors il se contentait de savonner les pieds d'Aurélianne, retirant la crasse entre les orteils et sous les ongles.

*mode admin chiante*

changement d'avatar aurelianne

J'approuve cette demande, justifiée...

Marie-Anne était assise, et en train de lire. La journée tirait déjà sur sa fin. Une vision lui vint. Mon dieu! c'était tout simplement terrible. Elle vit son beau frère, le roi Mordred dans un état de panique incroyable. Dans le temps qu'elle était Élisabeth, elle n'avait jamais rien vu de telle. Qu'est ce qui se passait à la fin. La jeune princesse essaya de parler a Mordred par le biais de la télépathie, mais aucune réponse n'avait l'air positive. Marie-Anne cria de tout son être, et elle était même étendue sur le sol. Élisabeth essaya de sortir de ses murs pour venir en aide à son roi et son beau-frère, mais Simon l'avait enfermée dans cette petite chambre.Une fraction de seconde plus tard Marie-Anne n'était plus Marie-Anne mais Élisabeth l'ange gardien de la famille royal d'Orcanie.

-Mordred non! revenez à vous. Je vous en prie!
-Battez-vous! comme vous le faite si bien.
-Je vous en prie!

Des larmes coulèrent à ses yeux angéliques. La situation était urgente mais Élisabeth avait t-elle vraiment assez de pouvoir pour vaincre une sorcière, être de l'enfer et créature de Satan ?

Simon allait sûrement put venir voir ce qui n'allait point avec la princesse consort. Quelle serait sa réaction envers Marie-Anne qui était devenue Élisabeth ? Le sieur avait sauvée la reine d'Austrasie plusieurs fois quand elle portait ce titre. Élisabeth l'aimait beaucoup mais, est ce que c'était pareil du côté du coeur de l'homme ?

Simon fut réveillé par un bruit étrange… Non des paroles affolées. Sa première réaction fut de croire qu'il cauchemardait car il avait fait au lit…. Mais non l'eau qu'il sentait était trop haute…. Il dormait dans son bain tout simplement. Se sentant un peu idiot, il poussa un soupir de soulagement, et remarqua qu'Aurélianne dormait contre lui.

Il ne fallait pas être devin pour savoir ce qu'ils avaient fais....

Simon sortie alors de la baignoire, et rapidement se saisit de son épée puisque il avait entendu le mot, avant d'entrer dans la pièce ou était Marie-Anne.

"Princesse? Que se passe-t-il?"

Déclara-t-il en la voyant pleurer, au sol, lui qui la croyait attaqué et avait donc négligé sa tenue. Il saisit alors un drap et s'enroula dedans.

Puis il aida Marie-Anne à s'allonger sur le lit et alla chercher un verre d'eau qu'il lui offrit. Dehors, le coq se mettait à chanter…. Il avait dormi si longtemps! Depuis combien de temps Marie-Anne paniquait-elle seule dans sa chambre?

-Simon...... J'ai eu une vision horrible.
Marie-Anne était en larme dans une couverte de laine chaude.

-Mordred, Mordred.Cela fut ses seule mots.
Marie-Anne respirait nerveusement.

Sir Simon,je crois qu'il est temps que je vous dise la vérité même si Sir Mordred ne veut point je la dise mais je sais que je peut vous faire confiance.

Elle s'assit sur le lit et commença son histoire.

Simon,je sais que cela peut sembler incroyable et sorcellerie.
Vous souvenez du jour de notre première rencontre et que j'avais dis que j'étaie Élisabeth et bien je ne mentait point.Non je ne suis point folle.Je suis un ange de dieu revenu sur terre peu de gens sont au courant et vous êtes un privilégier de cette information.

Marie-Anne pris le verre d'eau que Simon lui offrit.

Ma vision à été de voir le roi Mordred en grand danger avec votre futur femme.Mélinda est t'une sorcière et a fais boire un vin à notre suzerain pour pouvoir l'ensorceler et coucher avec.L'histoire ne s'arrête point la mais le vin fait de Mélinda une image d'Ophélia.Sir Mordred s'en veux beaucoup pour le passée donc j'ai peur que....

Elle leva sa chevelure et montra la marque que Marc-Hannibal Connas lui avais fait durant son séjour en Austrasie chez la diablesse Suzanne.Ainsi elle lui montra les coup de fouet sur son ventre encore la en cicatrice.Elle pouvais bien cachez certaine choses d'Élisabeth mais certaine marque refusait de se masquer malgré elle Mordred et Gareth.

Simon regarda Marie-Anne curieux, les mains sur les genoux de la jeune femme. Mais lorsqu'elle parla d'Elisabeth, il fut surpris, puis il se leva. Il tourna alors le dos à la jeune femme, ferma les yeux, et chercha à calmer la colère qui grondait en lui.
S'il ne se calmait pas, et qu'elle continuait à mentir, il ne savait pas ce qui se passerait.

S'enfonçant les ongles dans les paumes, serrant les dents, il déclara:

"Je ne connais aucune Mélinda, ma femme s'appelle Gladys. C'est une noble dame, grâce à laquelle Windrow et Reims sont unis dorénavant. Et elle porte mon enfant."

Simon ne posa pas une fois ses yeux sur Marie-Anne.

"Il est facile d'usurper des blessures. Je ne vous pensais pas ennemie de l'alliance austro-orcanienne. Alors cessez d'affabuler et préparez notre départ pour Warminster."

Simon sortit alors, et alla réveiller Aurélianne. Il s'agenouilla auprès de la baignoire, embrassa la jeune femme, et déclara:

"Il est l'heure de se réveiller, petit ange."

Son regard était de feu. Elle aurait bien voulu donner une gifle à Simon pour lui avoir parlé comme cela. Comment osait-il lui parler ainsi? Elle se retourna et ramassa ses livres et son sac avec certaines herbes.

-Je crois que j'aime mieux partir seule et je le ferai. Peu importent les dangers j'aime mieux être seule que mal accompagnée sur cela. Vous n'avez aucun ordre à me donner Simon, ici c'est moi qui donne les ordres..

Elle gifla Simon et resta sur place. Marie-Anne ne pouvait point encore passer une journée avec cet homme.

Simon fut surpris d'être giflé. Il attrapa alors Marie-Anne et lui tordit le poignet sans s'en rendre compte.

"Vous? Donner les ordres? Vous êtes malade, vous délirez! Vous avez besoin de soin! Et j'ignore qui vous a parlé d'Elizabeth mais prétendre être elle est... Morbide et immoral! Laissez la reposer en paix!"

Simon regarda Marie-Anne, la lâcha, regarda Aurélianne, et entreprit de se vêtir.

"Aurélianne, habillez vous, je vous emmène à Warminster, pour vous trouver un emploi plus convenable. Quand à Madame, qu'elle aille braver le froid seule!"

Déclara Simon. Il était plus que désapointé.

La jeune princesse, toussa et ce toucha le front et se trouva chaude.Simon avait peut être point tort quelle était bien malade.Marie-Anne tomba sur le sol.Ce qui fis un léger bruit.Il était vrai que Marie-Anne était malade.Elle n'avait point bien manger depuis un temps.Pendant son évanouissement elle se tortura de douleur.C'était le retour vers une vie humaine Élisabeth n'était plus et Marie-Anne était maintenant.Enfin une vie normal plus de cachette à personne.En parti a tous les gens quelle avait apporter un attachement dans son ancienne vie.Tous doucement ses pouvoirs divin parti comme il était apparu.Son passée était disparu.
Marie-Anne était elle et seulement elle.

C'était vrai qu'Élisabeth aimait beaucoup Simon mais c'était fini.Tous les souvenirs était devenu un énergie qui parti de son corps en un cri.Marie-Anne se réveilla par terre et se posa la question ce qu'elle faisait la.

-Comment me faire pardonnez pour tous ce que je vous est dit en plus vous m'avez sauvé la vie.Je vous remercier en disait de bien vilaine choses sur vous et votre douce moitié.Je suis ne mérite aucunement votre aide et votre charité mon seigneur.Je ne suis pas digne d'être celle que je suis pardonner moi.J'ai essayer de faire ma forte durant c'est instants qui son dure pour la famille royal.Je dois supporter tous les gens de mon entourage que j'en suis fatigué.Je veux être celle que je dois être et ne point pleurer la disparation de ma belle-mère mais j'en suis incapable.Cela me rend bien misérable hélas.Que j'imagine des choses impossible comme l'ange de ma cousine qui viendrais tous nous sauver des malheurs de l'orcanie.

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