Appartements de Marie-Josepht

Blanche traversa les couloirs silencieusement. Avec le nombre de personne y résidant, Blanche savait que les chambres commençaient à devenir rare.

Marie-Josepht était la bienvenue. Elle finit par ouvrir la porte sur de somptueux appartements.

- Et voilà vos nouveaux appartements. J'espère qu'ils vous plairont.

Même pour des appartements d'invités, la décoration était riche.

- Veuillez pardonner mon époux, le roi. Il s'emporte parfois un peu trop facilement.

Surtout lorsqu'il s'agit de la politique d'Arthur.

- Je souhaite aussi que vous appréciez les charmes de L'Orcanie.

Ils y en avaient, mais Blanche ne savait pas quoi dire à la jeune soeur du félon que Mordred avait pris plaisir à faire supplicier

Invité

Marie-Josepht n'avait aucunement prévue demeurer en Orcanie... Elle devrait donc demander au roy la permission de faire transférer ses effets personnels. En attendant, elle ferait comme elle le pourrait. La princesse, sachant que le voyage durerait longtemps, s'était prévue quelques tuniques de voyage.

La princesse déchue pénétra dans les appartements qui lui avait été assignés et fut surprise de constater qu'il convenait parfaitement au respect dût aux titres qui lui étaient attribuées de naissance.

- Merci infiniment... , dit-elle, simplement.

Elle s'avança dans la pièce, caressa le bois des hautes colonnes du lit...

- Bois de chêne! Magnifique!

Blanche ne put s'empêcher de sourire. Elle était si heureuse de voir que tout lui plaisait, mais d'un autre coté, son frère avait fait assassiner son père. Peu importe, elle ne devait pas porter le poids des actes d'un autre, même ceux de son frère.

Je suis heureuse que la chambre vous plaise. J'essaie de les garder accueillantes.

Je vous relogerais près des appartements de ma dame de compagnie Olivia. Ceci n'est que de courte durée.

Le temps que l'on nettoie la chambre qu'occupait Nolwenn qui devrait être mariée d'ici peu, raison de son départ.

Tout ira bien ?

Blanche était soucieuse du moindre détail.

Petit défaut attribué à son père.

Invité

- Merci, c'est aimable à vous... Tout ira bien! dit-elle d'un ton faussement chaleureux.

En réalité, Marie-Josepht était prise d'un coup de fatigue dût au long voyage qu'elle avait effectué et dût au stress qu'elle avait vécu ses derniers jours. L'unique envie qui lui demeurait était de profiter des quelques heures qui lui restaient pour bénéficier d'une solitude complète. La reine d'Orcanie devinerait-elle ses désirs et la laisserait-elle tranquille? À moins que le neveu du Haut Roy n'est épousé une véritable pie!?
Oh! Par tous les Dieux!
La princesse espérait que non!

La jeune reine soupira intérieurement. Elle avait compris le message passé indirectement. Mais peu lui importait.

Un dernier sourire et elle se dirigea vers la porte.

- Je vais vous laisser. Le voyage a du être long et pénible.

Elle préférait rejoindre Mordred qui devait pester pour une millième fois contre son oncle.

- Reposez-vous bien altesse.

Elle passa la porte laissant la nouvelle invitée seule dans ses appartements ...

Invité

--- fin du sujet ---

hj : Ensuite...Marie-Jo s'étendit, les bras en croix, sur le grand lit, et ne tarda point à piquer un ro dodo!!! !!

~~Si bien que ses ronflements sonores eurent le don de réveiller les pensionnaires des chambres voisines...~~

(Hum, non. :p)

Re fin!

hj :On tapa à la porte...C'était l'ignoble mais fort séduisant Nicolas Florin! évêque de sa sainteté, et inquisiteur de ses dames!

C'est ici la chambre de la mignonnette, qui me fait parvenir des billets doux, dans ma cellule?!

....

Razz

!!

Invité

Hj: Marie, en proie à de terribles chaleurs... saisonnières (!) s'était éprise de moult hommes vivants en la demeure du roy d'Orcanie. Divers billets avaient étés abandonnés aux portes des chambres de ses messieurs, les priant de rejoindre la soeur de l'ogre en ses appartements.
Eh voilà qu'on frappait d'or et déjà à sa porte!
La belle alla répondre, légèrement vêtue... d'une robe faite d'un simple voile qui laissait voir... les courbes de son corps grandement engraissé par les multitudes sorties au mcdonald (tsé, le médiéval qui se trouve au coin de la rue, là!).

HA HA HA

hj :

Un autre prétendant vient heurter l'inquisiteur lubrique.

Tasse toi d'là!! dégage de c'te porte de chambre en tabarnak!!

Tout confus...le soudard s'excuse aussitôt, et ose à peine contempler la fort charmante créature, qu'il venait pourtant rejoindre...

Votre éminence...
Je suis navré!
Altesse...
Dois je me retirer?

*Pas envie de tenir la chandelle moé!*

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