Quel endroit si peu... distingué pour rencontrer sa future!

Dans toute histoire amoureuse, le prince charmant parle à sa belle dans un coin où, souvent, il y a des fleurs, où les oiseaux chantent, où la vie est douce à suivre le cours. Toutefois, étrangement, Crommwell avait décidé d'aller à la Taverne pour discuter une première fois avec sa fiancée. Quoi de plus loufoque sachant très bien que ce n'était pas dans les habitudes du conte de boire. Malheureusement, lorsqu'il avait un peu de difficulté à se comprendre, il tombait dans le panneau de bien des hommes de ce château: il buvait pour oublier ses souffrances! C'est donc dans un état d'esprit déjà un peu fragile que le comte entra dans le bar, empestant déjà l'alcool, et déjà grouillant de clients grossiers et ivrognes. Il les ignorait et s'assit au comptoir en ordonnant au barman:

- Deux bières, s'il vous plaît. Une pour moi et une pour une invitée spéciale.

Crommwell était réputé pour parler énormément. Mais, tous ceux qui avaient eu la chance ou... plutôt la malchance de connaître Geoffroy quand il buvait, savait qu'il parlait encore plus. Il était inarrêtable!

D'un œil étrange, le barman fixa Geoffroy. Il lui dit alors:

- Il est rare de te voir ici, toi. Tiens, voilà tes consommations.

Sans trop prêter attention aux rictus de l'homme derrière le comptoir, il prit une des deux chopes et plaça l'autre juste devant un siège libre. Il commença à siroter un peu, plongé dans ses pensées.

Marie ne fit pas languir son messire et arriva quelques minutes après lui ...
Elle se demandait bien ce qui lui prenait de la rencontrer et de faire connaissance dans une taverne, mais bon, c'était somme toute plus originale qu'un jardin et pour une femme aussi dévergondée que Marie, bien que Cromwell ne le savait pas encore, c'était ce qui avait de plus géniale ...

Elle le vit en train de siroter sa bière et alla le rejoindre sans attendre ...

- J'ose imaginer que vous n'avez pas vraiment aimer mes propos envers le Roy, mais ...
Mais vous devrez vous y habituer ...

De toute façon, je ne suis point une femme que l'on dupe si facilement, mon très cher comte ...

J'ai compris qu'il ne s'agissait en aucun cas d'un " choix d'amour" comme vous avez dit ...
Et je en vous en tiens pas rigueur ...

Elle finit son verre, puis en redemanda deux autre au tavernier

- Je vous offre celui-ci, Messire de Cromwell ...

Elle était venue à son rendez-vous étrange, Marie l'avait rejoint! Cette femme était vraiment particulière. Son caractère était celui de quelqu'un difficile à se laisser mener par les autres. D'ailleurs, elle n'était pas comme bon nombres de femme qu'il avait rencontré au château: elle avait de la ruse à revendre. Bref, il avait l'impression qu'il aurait bien du plaisir à la connaître quoique leurs idées devraient diverger à plusieurs reprises. Homme de débats, il était comblé! Toutefois, cette particularité, selon lui, était une arme à double-tranchant.

*Elle ne doit quand même pas être effronté envers Mordred!*

Ah, ce Cro et sa fidélité presque excessive envers son Roy. il ne changerait jamais: tout ce qu'il ferait dans sa vie serait lié, de près ou de loin, à l'obtention perpétuel de la bénédiction de Mordred.

-Je n'apprécie pas particulièrement les affronts envers notre Roy... commença-t-il par dire, entre deux gorgées de bières.

-Mais j'avoue que je déteste aussi la soumission facile à une seule idée. J'aime les combats d'idées.

Geoffroy était un peu paradoxal dans son discours. Toutefois, c'était son caractère d'aimer plaire à la famille royale autant que de la tenailler à se débattre

Pas encore assez réchauffé par l'alcool pour s'ouvrir le cœur, le comte détourna l'attention sur ses vrais sentiments à propos de son futur union et accepta la consommation que Marie lui avait payé, en disant:

- Merci, belle demoiselle. Mais avant tout, avant que nous parlions de... hum ... notre union, parlez-moi de vous. Avant que le Roy me propose votre main, je n'avais jamais même entendu votre nom. D'où venez-vous? Que faites-vous?

Il but une autre gorgée. Tant bien que mal, il tentait de regarder sa future dans les yeux. Mais affligé par la tristesse et la colère qui habitaient son cœur par la faute de Blanche, son regard était fuyant. Geoffroy n'aimait pas être émotif et voulait le cacher à tout prix!

La jeune femme sourit ...
AU moins, tout deux s'étaient trouvé un premier point commun : ils aimaient bien les combats d'idées ...

- Bon, je l'avoue, j'y suis peut-être allé un peu fort cette fois-ci, mais en général, ça lui est égal que je lui parle ainsi ...

Marie, qui, en général, n'avait pas sa langue dans sa poche, avait un peu de mal à parler d'elle-même surtout qu'elle ne savait pas ce qu'avait dit le Roy à son sujet ...

- En fait, je ... je sers le Roy depuis longtemps, mais puisque je ne me suis jamais habituée à la cour et à tout ces blablas de protocoles, je me suis fait assez discrète ...
Je crois qu'il était satisfait de moi alors il ... il m'a octroyé ce titre de baronne ainsi que la chance de devenir votre épouse ...
Et vous ... parlez moi de vous ...

Deuxième chope de terminé par Geoffroy et voilà qu'il commençait sa troisième immédiatement. Il ne put, par contre, pas s'empêcher de voire quand Marie lui dit ceci:

- Bon, je l'avoue, j'y suis peut-être allé un peu fort cette fois-ci, mais en général, ça lui est égal que je lui parle ainsi ...

Elle parlait du Roy d'une façon si... familière que Geoffroy en avait les poils hérissés. Un peu réchauffé, ayant une frêle constitution, il faut l'avouer, il répliqua:

-Comme ça, chère Marie, vous étiez très proche du Roy? Étrangement, je n'avais jamais entendu parlé de vous comme je le mentionnait si admirablement tantôt. Enfin, ça ne me regarde pas.

Comme si la demoiselle avait anticipé le malaise de poursuivre une conversation à propos de la familiarité et l'abjure envers Mordred, elle essaya de se reprendre. En fait, cette Marie ne semblait pas du tout à l'aise avec les formalités. Elle l'avouait même.

- En fait, je ... je sers le Roy depuis longtemps, mais puisque je ne me suis jamais habituée à la cour et à tout ces blablas de protocoles, je me suis fait assez discrète ...
Je crois qu'il était satisfait de moi alors il ... il m'a octroyé ce titre de baronne ainsi que la chance de devenir votre épouse ...

Vantard comme toujours, il lança:

- Je vous éduquerai à bien discourir, car sans bon langage, jamais on apprendra à vous respecter et sachez, Marie, que, même si je n'aime pas la soumission facile, je n'aime pas non plus sentir le mépris de la dynastie royale. Enfin, je dois être, pour vous, en ce moment, un peu lassant et je m'en excuse... mais...

Il but une gorgée avant de finir sa phrase. Comme si ce qu'il allait dire était difficile à sortir étant donné, qu'il y a peu de temps, il ne croyait même pas en l'amour.

-La mère de mes enfants devra savoir se faire respecter...

À demi mot, il avait révélé à Marie qu'il l'épouserait, en partie, pour sa descendance. Mais même sous l'effet de l'alcool, Cromwell était Cromwell: il détournait tout avec une habilité intrigante. L'habitude, quoi

Viens alors la question favorite de Geoffroy: parler de lui était ce qu'il faisait de mieux. Contrairement à ce qu'il avait pu le constater avec cette demoiselle sur qui il ne savait rien de plus. Mis à part qu'elle était fraîchement octroyé. Ce qu'il savait déjà.

-Résumer une vie comme la mienne peut être longue, mais... allons à l'essentiel! Je m'appelle Geoffroy de Cromwell, j'ai 27 ans et je suis né d'une famille assez noble en banlieue d'Orcanie. Vivant simple, je rêvais, enfant, toujours de devenir grand! C'est alors que j'appris que le fils de Loth venait de monter sur le trône. Je pris donc ma chance et voilà, Mordred me nomma digne conseiller de son royaume. C'est avec beaucoup de fierté et d'honneur que je le servis pendant 2 ans en notant, à la perfection, tout ce qui se racontait dans le château pendant les banquets royaux, les réunions importantes et secrètes et pendant les missions pour la gloire de l'Orcanie. Évidemment, en plus de noter, je prenais part aux importantes décisions et je conseillais à mon tour. D'ailleurs, je me vante, moi-même, d'avoir aidé à la paix entre l'Orcanie et les Saxons.

La gorge sèche, il but encore avant de poursuivre. Un peu étourdi, ce qu'il ajouta était articulé d'une façon un peu moins pompeuse qu'à l'habitude. Mais il gardait tout de même du nerf ce comte!

-Quand soudain, il y a peu de temps, il me fit cadeau du titre de comte, m'estimant assez noble pour remplir ce rôle, et m'offrit la main d'une demoiselle: vous.

Marie avait peut-être été un peu trop révélatrice dans ses confidences, mais un jour, d’une manière ou d’une autre, Geoffroy l’aurait peut-être appris ce qui s’était réellement passé entre elle et le Roy …
Peut-être même qu’il n’y avait même pas songé …
Bref, c’était peu important en ce moment …

Marie entama sa troisième chope et trouva qu’il commençait à faire un peu chaud …
Elle n’était pas habituée à boire autant parce qu’en général, elle n’aimait pas faire la conversation avec les hommes, mais elle voulait en savoir d’avantage sur le conseiller Cromwell …

Alors qu’elle l’écoutait, elle finit sa troisième chope et en commença une nouvelle …

" La mère de mes enfants devra savoir se faire respecter... "

Marie failli s'étouffer avec son breuvage en entendant cela et cette phrase fatidique lui piqua les nerfs au vif ...

Elle le laissa finir, tenta bien malgré elle de se contrôler, mais elle n'y arriva pas ...
Et puis avec quelques verres de bu, sans parler qu'elle ne supportait pas vraiment l'alcool, c'était encore pire ...

- Oui ...
Je comprends cela ...
De toute façon, c'est tout ce que je serai ... la mère de vos enfants ...

Dit sèchement la jeune femme avec amertume ...

- Les hommes sont tous pareils ...
Ils jouent le beau jeu et lorsque leur épouse est enceinte et dois s'occuper des enfants, ils s'envoient en l'air avec leur maîtresse ...

Elle bu une autre gorgée et continua :

- Je le sais et vous savez pourquoi ? ...
Parce qu'on m'a prise et on m'a forcé à être la favorite du Roy ...
Et ce n'est pas parce que vous êtes un comte

UN conseil, si vous ne voulez pas que votre réputation soit souillée ...
Refusez ce mariage pendant qu'il encore temps de le faire ...

Tout ce que la demoiselle venait de vociférée tournait en boucle dans sa tête. Peu habitué à boire de l'alcool, tout ceci se mêlait et s'entremêlait au gré que le taux d'alcool grimpait dans son sang. À tout ceci, il répondit d'une voix pâteuse:

- Bah, je peux pas annuler cette cérémonie, j'ai pas le choix! Comprends-tu? C'est un si généreux cadeau de la part de Mordred et puis... et puis on commençait à trouver qu'à mon âge... ça faisait triste de me voir seul. Tant qu'à moi, l'amour, je trouve que c'est utile qu'en politique. En fait... en fait...

Il venait de réaliser ce qu'il venait de dire et n'aimait pas ça voir qu'il perdait le contrôle sur lui-même. L'effet de l'alcool, quoi!

-Je ne me marierais pas, si c'était que de moi... ce genre d'engagement me fait un peu peur.

Venait-il d'avouer qu'il avait peur? Mais quel était cette histoire! Geoffroy ne se reconnaissait plus. Il but, alors, à grand gorgée, la dernière goutte de sa troisième chope et s'en recommanda une quatrième, afin de noyer son angoisse grandissante. Il en but un peu, mais fût arrêter par cause d'un malaise dans l'estomac.

-Et... et sachez que je peux peut-être quelqu'un d'assez confiant en lui, mais je ne suis pas cocu. Si je m'engage, malgré tout... je finirai par m'habituer à ma nouvelle réalité. J'aime... j'aime être droit. J'aime mon Roy, ma Reyne. J'aime Dieu. J'aime bien faire. J'aime plaire. Je veux une belle descendance, comme tous... Je... je...

Décidément, il avait la tête qui tournait et ne se sentait pas du tout bien. Blanc comme un drap, il regardait le corps colérique de sa future tourbillonner devant ses yeux.

Il ne savait même plus ce qu'il était pour dire; lui qui était un si grand orateur! Cette femme, pleine de caractère, avait su miner son moral et l'alcool, qu'il était si peu habituer d'ingurgiter... le rendait malade! Il but encore un peu de sa quatrième chope, puis pris sa tête dans une de ces mains et s'affala sur le comptoir.

En entendant tout ce que venait de dire son futur époux, Marie n’avait plus vraiment le goût de se marier, mais elle n’avait plus le choix …

Elle commençait à comprendre dans quoi elle venait de s’embarquer …
La jeune femme connaissait très peu le conseiller avant de le rencontrer face à face, mais elle comprit vite qu’elle ne le connaissait vraiment pas …

Tout ce qu’il était, c’était un pur égoïste …
Il ne pensait qu’à lui, c’était clair …
Pour lui, le mariage n’était rien, mise à part un échange politique …

Rien qu’à penser qu’elle devrait être aux cotés de cet homme pour le reste de sa vie lui nouait l’estomac …
Bon, peut-être que l’alcool avait un rôle à jouer là-dedans …

Alors qu’il lui faisait sa tirade d’égocentrique, elle attendit qu’il finisse, mais il ne finissait pas...

-Marie soupira, puis dit :

Mais je ne peux pas croire que vous n'aimiez pas déjà une femme ...
Après tout, toutes les femmes semblent dire que vous êtes un homme ... charmant ...

Il savait très bien qu'il venait de décevoir sa future. Il venait de perdre le prestance et le charme du prince charmant qu'il avait voulu acter pour elle. Mais, à cause de l'alcool, son caractère d'arrogant avait repris le dessus. Mais malgré tout, on pouvait sentir le malaise que Marie faisait naître en lui. Il ne voulait pas faire de mal à une dame, surtout pas à une dame qui allait prendre sa main: c'était intolérable d'imaginer cela. Toutefois, il venait de se jeter dans le pied, jamais plus elle ne lui ferait confiance et, une fois mariés, ils deviendraient esclave l'un de l'autre. Mais bon, qui c'est un jour, Geoffroy maturerait peut-être grace à elle et apprendrait à l'aimer?

Sa tête tournait toujours. Il préférait rester accoudé sur le comptoir, c'était plus sûr pour son orgueil. Il lança finalement face à la déception de Marie:

'' De toute façon... vous êtes la femme la plus... la plus rusée que je n'ai jamais rencontré. Je... je n'aurais pas pu cacher mon jeu... longtemps... ''

Parler devenait extrêmement difficile pour le compte. S'il ne voulait pas perdre la face plus qu'il l'avait perdu en une seule soirée, il devrait partir. Toutefois, comment? Tout tournait tellement autour de lui...

Ceci fut la dernière phrase sensé que Geoffroy pu aligner. Lorsqu'il finit sa quatrième chope: il était vraiment soûl.

'' Charmant? Ouais, je suis assez charmant, on me le dit souvent. Mais, faut croire que je ne le suis pas assez, car la seule femme que j'ai aimé dans ma vie n'a jamais voulu de moi... Même avant d'avoir un poste de noblesse important. Maintenant, je la comprends de pas vouloir de moi, je suis un futur époux et elle est mariée à la personne la plus puissante d'Orcanie, mais quand même... Ah, Marie... sachez que le charme ne fait pas 'homme... Le charme attire, mais détruit aussi. Ouais, l'amour c'est... pas saisissable. (Ahah!) Voulez-vous que je vous dise quelque chose...?''

Il releva sa tête et voulu s'approcher de Marie pour lui confier le plus grand secret qu'il refoulait dans son coeur depuis... depuis si longtemps, sa seule faute face au royaume, mais lorsqu'il se leva, il perdit pied et tomba au sol. Au passage, il se frappa la tête contre le comptoir. Il saignait un peu. Terriblement étourdi, il n'eut pas la force de se relever.

Il avait l'air d'un idiot, ainsi gisant sur le sol à moitié conscient. De plus, à demi-mot, mais assez clairement, il venait d'avouer qu'il avait du sentiment pour... la reyne! C'était une horreur. Marie pourrait tout dire au Roy. Il serait enfermé. Sa vie était fini. Il savait que l'amour allait le détruire... Il n'était pas fait pour ça. Il le savait! L'amour obscurcissait nos décisions politiques et... amputait le royaume!

Qu'allait faire Marie, le laisser à terre, ensanglanté? Le frapper encore plus? L'aider? Hum...

Marie ne avait assez ...
Elle ne voulait pas en entendre plus de cet arrogant et égocentrique personnage ...

Il ne méritait pas toute la gloire qu'on lui donnait, il ne méritait rien du tout ...
Elle découvrait qui était le vrai Geoffroy de Cromwell : un couard ...

Marie ne voulut plus rien entendre, mais curieusement, il piqua sa curiosité et elle le laissa continuer bien qu'elle en avait assez de ses paroles remplies d'animosité et d'acrimonie ...

La jeune femme l'écouta et comprit ce qu'il essayait de dire derrière ces paroles voilées ...
Elle ne pouvait pas lui en vouloir pour ça, parce qu'elle avait elle-même aimé le Roy ...

- Je ...

Mais elle n'eut pas le temps de placer un mot qu'il se frappa et tomba sur le sol ...
Il fallu, à Marie, un peu de temps pour agir, tracassée à savoir si elle lui viendrait en aide ou non ...

Elle était forte de caractère, mais se faire humilier ainsi par un homme, ça, elle ne le supportait pas et elle était plus chagrinée qu'en colère ...

Au bout de quelques minutes, la jeune femme se pencha près du comte et déchira le pan de sa robe afin d'arrêter le saignement ...

- Vous comprenez tout de la politique, mais rien aux sentiments ...
Ce n'est pas parce qu'une femme vous rejette que vous devez rejeter l'amour ...

Vous savez ce qui va vous arrivez lorsque j'irai voir le Roy et que je lui dirai qu'il hors de question que je vous épouse ? ...
Vous serez de nouveau seul et ce pour toujours ...
Seul avec votre peur ...
Personne ne se souciera de la petite personne misérable que vous êtes ...

Vous vous croyez grand, mais vous ne l'êtes pas parce que vous n'avez aucune raison de vivre ...
À vrai dire, vous êtes déjà mort ...

J'ai été stupide de croire que je pourrais changer votre perception des choses, mais je vois que les idiots, ça ne se soigne pas ...

Elle était directe, franche, mais elle avait un tas de raisons de l'être ...
Marie aurait voulut qu'il comprenne, mais elle ne L'espérait même plus ...

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