Etrange rencontre ( bis ) [ Marie - Nicolaï ]

Deux journées se sont passées depuis que Sudhamayi avait quitté le chateau, presque une demi de plus. Avait-on remarqué son absence ? A part Marie-Anne, peu de monde pouvait s'inquiétait pour l'indienne. Et encore, la princesse et elle n'avaient pas établit de liens très forts malgré le fait qu'elles s'apprécient. C'était quand même la première personne que Sudhamayi allait voir en revenant, la seule auprès de qui elle jugeait utile d'informer de son état. Avant de pénétrer la demeure royale, l'indienne expliqua :

« Je vais d'abord m'excuser auprès de la princesse, ensuite je verrai avec elle où tu logeras et si elle peut obtenir une entrevue avec le roi Mordred. »

Suivie de Nicolaï, la jeune femme se déplaçait dans les couloirs. Quelques domestiques les regardaient, intrigués. Surtout lui, car elle à la limite était connue au château. On se demandait bien pourquoi elle portait une robe très simple alors qu'elle était la dame de compagnie de Marie Anne. Il est vrai qu'elle était d'un rang inférieur mais elle demeurait plus élevée que les serviteurs de ces lieux. Seulement, l'homme derrière elle, au visage assez jeune d'ailleurs, était encore plus attirant que l'indienne. Son armure au mileu de ces murs paraissaient très étranges et incommodes. Il n'y avait pas d'attaques selon les dernières nouvelles et personne ici ne semblait en danger. Si le monde autour d'eux osait les regarder, ils évitaient quand même le regard d'acier du chevalier. Contrairement à lui, Sudhamayi tentait de se faire discrète, préférant fuir leurs regards au lieu de les croiser. Tout à l'heure elle avait été bien contente de tous les oublier autant qu'ils soient, alors que les regards se braquaient sur eux - la millice, Nicolaï et Sudhamayi. Mais ici, elle se sentait mal car on savait qui elle était et les commérages repartiraient de plus belle.

En deux jours, peu de choses avaient changées au chateau, voir rien du tout si ce n'est le menu et les toilettes des dames. En revanche pour Sudhamayi un changement s'était opéré. Seul Nicolaï était au courant et il resterait le seul, il n'y a que lui qui détient une chance de connaître la devadasi, peut-être la princesse consort si jamais elles venaient à évoluer positivement dans leur relation. Ce n'était pas impossible malgré que tout un monde les sépare : la langue, les coutumes, le pays, la religion font partie de ce qui différencie les jeunes femmes. Si le Destin avait forcé le hasard de leur rencontre, il ne faisait qu'enrichir la vie de Sudhamayi avec de tels contacts, ajoutons aussi Nicolaï qui sut ouvrir la jeune femme. Rare sont les hommes de son genre, joignant un entremêlement de qualités exceptionnelles. Elle pouvait se considérer plus que chanceuse de le connaître et d'être aimée de lui.

Ici, on rangeait les derniers décors des festivités passées, décrochant le houx, retirant les bougies de cire rouge. Il flottait encore une ambiance conviviale et chaleureuse de fins de fêtes. Les corvées étaient bien plus agréables malgré qu'il reste encore beaucoup à faire. Les domestiques étaient légèrement enjoués et un peu plus lent que d'habitude, aucun supérieur ne les reprenait. Après tout, c'était la fin de l'année et se lâcher un peu ne fait pas de mal. Plus on avançait vers les appartement, moins il y avait d'agitation. Chose normal car les grands d'Orcanie méritaient ( ou voulaient ? ) le repos en premiers. Si on faisait attention, on pouvait entendre les pas résonner dans les couloirs. Nicolaï et Sudhamayi n'étaient plus que deux dans les environ. Elle se rapprocha de lui, contente de pouvoir parler un peu.

« Tu attires les regards avec ton armure, dit-elle en souriant. »

Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle dit cela. Elle voulait parler à Nicolaï, c'est tout, même si ce n'est pour rien dire. Elle désirait aussi l'entendre, et tant pis si ce qu'il avait à dire n'était pas plus intéressant qu'une remarque sur son armure.

« J'espère que nous aurons plus de temps pour nous, reprit-elle plus sérieusement. Tu me manques alors que tu es juste à côté de moi. »

Les tapisseries étendues le long des couloirs étaient de plus en plus nombreuses. De grandes figures étaient peintes, tantôt c'était le portrait d'un monarque important, tantôt celui de sa femme ou des enfants de la famille. Il y avait toutes sortes de représentations, chacune soulignant un trait de caractère particulier, l'inspiration première qui devait émaner de ces êtres appartenant au passé. Dire qu'ils sont morts seraient peut-être s'induire en erreur puisqu'il semblait que la vie animait encore ces visages figés. Sudhamayi s'arrêta devant une porte en bois, finement décorée de gravure. Juste avant d'y aller elle ne put se retenir d'étreindre Nicolaï, doucement pour ne pas agraver sa blessure. Pas facile avec toute cette ferraille mais elle s'en fichait. Elle se défit de lui pour retourner à ce qu'elle devait faire. L'indienne leva la main puis toqua sur la lourde porte. La voix de la princesse retentit, consentant à ce que Sudhamayi puisse entrer, ce qu'elle fit en refermant la porte derrière elle. Elle la salua comme toujours à sa manière, ensuite se redressa.

« Bonjour princesse, dit-elle. Pardonnez-moi de vous avoir laissez sans nouvelles. Comment vous portez-vous ? »

Après que Marie-Anne lui eût répondu, Sudhamayi préféra ne pas trop faire attendre son aimé derrière la porte.

« Il m'est arrivé quelques encombres ces derniers jours. Néanmoins, un jeune chevalier m'a offert sa protection. Il se trouve derrière la porte et a quelques requêtes. Permettez-vous qu'il entre ? »

Plus tard peut-être Sudhamayi donnera plus de détails, mais ce n'était pas le moment, chaque chose en son temps.

Marie-Anne lisait une histoire à ces jumeaux.Un instant plus tard la dame de compagnie entra dans l'appartement.

Je suis très heureuse que vous soyez toujours en vie j'ai eu très peur pour vous.La prochaine fois dite moi ou vous partez.

Quand sa dame de compagnie lui parla d'un chevalier elle resta suprise.Même un peu déçu de l'indienne.

Un chevalier ?

Vous savez Sudhamayi que si vous aimer ce disant chevalier vous devez avoir mon approbation avant toute question d'amour et pour l'instant je vous l'interdit.
Je veux savoir si cet homme est bon pour vous.Faite le entrer pareil

Marie-Anne regarda l'indienne et commença à avoir des maux de coeur.Depuis quelque jour elle avait des maux de coeur.Des goûts étrange et une envie de pomme incroyable.Elle se dirigea vers les toilettes(je sais pas comment le dire dans cette époque) et vomi de tous son être.

Nicolaï ne cessait de regarder autour de lui. Cet endroit l’intriguait. Il n’avait jamais vu un château pareil. Et pourtant, il en avait visité un certain nombre, accompagnant son père adoptif la plupart du temps quant celui-ci passait en revue les forteresses du duché. Il trouvait la place forte étrangement décorée avec toute ces guirlandes et toutes ces bougies rouges. Certainement une coutume locale dont il aurait tout le loisir de demander à Sudhamayi la signification. Elle saurait lui expliquer. Même si elle n’était ici que depuis peut, elle saurait certainement se que cela signifiait.

Il n’échappa pas à Nicolaï qu’ils étaient au centre de l’attention d’un grand nombre de personnes. Certains regardaient Sudhamayi, mais la plupart des regards étaient tourné dans sa direction. Son armure attirait toujours autant les regards. De même que son casque au cygne et que sa Faneras. Il avait l’impression d’être un phénomène de foire. Cela le mettait un peut mal à l’aise. Heureusement qu’en s’enfonçant dans les entrailles du château les serviteurs se faisaient de moins en moins nombreux.

« Tu attires les regards avec ton armure, dit-elle en souriant. »

Nicolaï souris à Sudhamayi.

« Mais aucun d’eux ne regarde au bon endroit. Tu es rayonnante et brille bien plus que moi, dit-il avec un léger sourire. »

Ils devaient certainement se trouver dans la partie du château réservée aux membres de la famille royale. Il y avait beaucoup moins de visiteur. Nicolaï se fit la remarque que où qu’ils soient, les seigneurs agissaient bien toujours pareil. L’accès aux appartements du duc étaient en effet très réglementé à Florissant. Et même pour ceux qui y étaient autorisé avaient à monter un escalier qui pouvait s’avérer être un véritable instrument de torture. Ici, personne ne circulait dans ces couloirs pour laisser en paix les membres de la famille royale.

En fait, la seule différence avec Florissant, c’était l’escalier.

« J'espère que nous aurons plus de temps pour nous, reprit-elle plus sérieusement. Tu me manques alors que tu es juste à côté de moi. »

A nouveau Nicolaï souris à Sudhamayi. Elle voulait visiblement parler avec lui. Mais il était assez distrait par se qu’il voyait. La jeune indienne semblait souffrir du peut de distance qui les séparait. Mais c’était de même pour lui. Il aurait préféré ne jamais la lâcher. Être toujours avec elle. La serrer contre lui. Mais il doutait que l’endroit s’y prête vraiment.

« Je l’espère aussi, dit-il. Et le plus tôt sera le mieux. »

Finalement, la jeune femme s’arrêta devant une porte très ornementé. Là, elle l’étreignit une dernière fois avant de frapper à la porte. Se n’était pas très pratique avec tout l’armure de Nicolaï, mais tout deux s’en moquaient. Tout se qui comptait à leurs yeux, c’était sentir l’autre contre sois. Ils finirent par se séparer à regret. Sudhamayi frappa à la porte et une voie lui demanda d’entrer.

Elle pénétra donc dans la pièce, laissant Nicolaï sur le pat de la porte. C’était prévu qu’elle agisse ainsi, pourtant Nicolaï dut se faire violence pour ne pas la suivre. Il aurait bien aimé rester prêt d’elle, mais entrer sans y être invité n’est pas la meilleure manière d’engager une discutions.

Il se passa un moment pendant lequel Nicolaï tourna un peut en rond, se massant son épaule douloureuse. Tout comme la plaie dans son flan, celle-ci n’était pas encore tout à fait refermée. Sudhamayi lui avait dit qu’elle possédait des pommades et des onguents miraculeuses. Dés que cette entrevue serait terminée, il demanderais à la jeune indienne de lui en donner car malgré le poids assez faible du harnois, celui-ci appuyait tout de même sur son épaule.

Au bout de quelques instant, Sudhamayi vint lui ouvrir.

La première chose que vit Nicolaï, fut que l’indienne était décidément superbe et qu’il avait une chance incroyable qu’elle partage ses sentiments. La seconde, se fut une femme qui quittait précipitamment son siège pour se saisir d’un pot de chambre.

Nicolaï entra dans la chambre et se dirigea rapidement vers elle pour la soutenir. Elle était encore assez jeune et simplement vêtue, mais il ne doutait pas un seul instant que se soit la princesse dont lui avait parler Sudhamayi pour la simple et bonne raison qu’il n’y avait personne d’autre ici et que si ladite princesse avait été absente, Sudhamayi ne l’aurait pas fait entrer.

Soutenant toujours la jeune femme, Nicolaï jeta un regard à Sudhamayi qui s’activait à faire quelque chose. Le jeune cygnac guida la princesse vers la fenêtre et l’ouvrit légèrement pour lui permettre de respirer de l’air frai. Il continuait à la soutenir alors que ses jambes étaient encore un peut faible et l’aida à s’asseoir sur un petit banc prêt de la fenêtre.

« Vous allez mieux, demanda-t-il en plongeant son regard acier dans les yeux de la princesse ? Comment vous sentez vous ? Je peux faire quelque chose ? »

Lorsque l'indienne était entrée, Marie-Anne était en pleine lecture. Captivés, deux jumeaux écoutaient avec émerveillement le conte rapporter par leur tendre mère. C'était bien dommage d'interrompre un joli spectacle. En même temps, ce n'était pas la première fois que Sudhamayi interrompait une réunion familiale, même imprévue. Les petits enfants regardèrent la nouvelle arrivante, un peu embêtés que l'histoire doivent s'arrêter là. Marie-Anne avait cessé de parler. Quand un adulte entrait, en général, les enfants perdaient le privilège de priorité. Sudhamayi leur sourit quand même, espérant qu'elle n'en aurait pas pour très longtemps - les histoires d'adulte durent toujours des heures. . . Les jumeaux s'en allèrent jouer ailleurs pour passer le temps, pendant que la princesse disait à la devadasi :

« Je suis très heureuse que vous soyez toujours en vie j'ai eu très peur pour vous. La prochaine fois dite moi ou vous partez. »

Alors elle s'était réellement inquiétée ! Sudhamayi en fut touchée, elle ne s'y serait pas attendue. Evidemment, elle ne lisait pas dans les pensées et n'aurait pu prévoir cette réaction de la part de Marie-Anne. Même si ce voyage n'était pas prévu, elle aurait du se débrouiller pour lui apporter quelques nouvelles ! Deux jours et demi, c'est très long, surtout lorsque l'on est une personne stable comme Sudhamayi. Qu'elle disparaisse ainsi n'est finalement pas passé inaperçu. Ce qui semblait causer du tord à l'indienne n'était pas son absence malgré tout. C'était plutôt sa rencontre avec Nicolaï.

« Un chevalier ? interrogea la princesse. »

L'expression faciale de son interlocutrice était étonnée. Mais encore ! Il y a "étonnée" et "étonnée". . . A l'instant, Marie-Année était donc étonnée, dans le sens surprise et même. . . dégoûtée ? Énervée ? Ou bien déçue ? Sudhamayi n'avait aucunement parlé de sa relation, mais deux jours d'absence avec un chevalier laissaient sous-entendre des suppositions. La jeune femme se demandait ce que sa maîtresse avait pensé à cet instant. La suite ne fut pas plus agréable !

« Vous savez Sudhamayi que si vous aimer ce disant chevalier vous devez avoir mon approbation avant toute question d'amour et pour l'instant je vous l'interdit. Je veux savoir si cet homme est bon pour vous. Faite le entrer. »

Interdire ? Cela n'était quand même pas dans ses droits ? Dame de compagnie ou esclave, ou serait la différence si le pouvoir d'aimer est supprimer aussi facilement ? Ces paroles rendirent Sudhamayi perplexe ; à supposer que Marie-Anne s'était trompée dans ses propos, elle essayait donc de protéger Sudhamayi par amitié. Tout de même, par cette façon de dire, rien n'était sûr.

L'indienne partit ouvrir la porte afin de faire entrer son amant. Le temps suffisant pour la princesse de déverser le contenu de son estomac dans un pot de chambre. . . Horreur ! Sudhamayi se sentait si fautive ! Comment avait-elle put laisser ces évènements se dérouler ? N'était-elle pas sensée prendre soin de Marie-Anne ? Au lieu de ça, Nicolaï avait le temps d'entrer, situation quelque peu humiliante pour la troisième protagoniste. Alors qu'elle se dirigeait vers elle, le chevalier, galant et merveilleusement gentil ( ) l'avait devancée. Il restait encore à faire ! Pendant que Nicolaï s'occupait de la princesse ( une seconde honte pour Sudhamayi ) elle fit sortir les enfants de la chambre, les accompagnant jusqu'à la rencontre d'une domestique.

« Votre mère est un peu fatiguée, mais tout à l'heure elle pourra continuer à vous raconter des histoires, expliqua-t-elle en souriant, diminuant l'inquiétude qu'ils auraient put avoir, puis elle dit à la servante : la princesse Marie-Anne ne se sent pas bien. Veiller sur les enfants je vous prie et apporter une infusion de camomille. »

Cela fait, elle retourna dans la chambre. Le tableau aurait put la rendre jalouse ; Nicolaï et Marie-Anne était assis près de la fenêtre, elle prenant l'air sous les bons sons du chevalier, lui se quiétant de sa santé. Seulement, ce n'était pas dans son imagination. Il faudrait être stupide pour s'éprendre d'une princesse mariée, et Sudhamayi l'aurait été davantage si elle l'aurait pensé.

« Comment vous sentez-vous ? demanda l'indienne à l'attention de Marie-Anne. »

En attendant, espérons qu'elle aille mieux. Le château était grand, les cuisines éloignées. L'infusion ne viendrait pas aussitôt, malheureusement. Pour ceux qui l'ignorent, une infusion de camomille calme les nausées. Le répertoire botanique de Sudhamayi était très vaste, ses connaissances n'égalaient pas la médecine mais elles peuvent s'avérer très utile, surtout lorsque l'on se rappelle que la principale médecine de cette époque c'est les plantes. . . Nous voilà donc avec deux malades : la princesse enceinte et le chevalier blessé. Du second cas, elle pourrait s'en occuper plus tard, bien que cela l'embêtait de ne pas savoir si il allait bien ou pas.

RP interrompu suite à l'absence de Marie-Anne.

Mais ça continue ici ^^ :

Un moment à deux.

Merci Dame Sudhamyi.

Elle pris la tisane et s'assi un moment.Elle regarda le chevalier venu d'un autre monde.Marie-Anne avait une certaine peur envers cet être.Un autre part la question d'un autre monde la questionnait.Elle commenca par leurs indiqué une place au s'assoir et Marie Anne s'assi derriere une montage de papier a reviser pour le conseil royal en l'absence du prince Gareth.

Veuillez prendre place.Je suis presque sur que vous avez une requette a me formuler.J'aime mieux vous avertir mais le roi est dans une période énorme de travail.En plus d'avoir à faire a une prise d'otage qui tient sa mère,Morgause,dame Faraday,ma nièce et ma petit soeur adoptif.
Je vous prirais de ne pas déranger sa majesté.Déja ses tous un exploit que je tienne a faire encore mes travaux royaux.

Devant un homme d'un autre monde elle se demanda si elle avait fait une bonne action.Il était hors de question que Sudhamyi est pour amour un homme vendu d'un autre monde et encore moins que le roi est affaire a ce genre d'homme venu d'un autre monde.Pour la proctection de la cours en ses temps si Marie-Anne aimais mieux prendre aucun risque elle decida de faire arreter le sir Nicolai.

-Garde

Les gardes s'inclina devant la femme du prince Gareth.[/i]

-Garde arreter cet homme car je ne veux point qu'il traine dans les couloirs car ont dis qu'il vient d'un autre monde.J'aime mieux prévenir que guerir ont ne sais plus à qui faire confiance ici.

HJ : Marie-Anne, Nicolaï et moi avons continué dans un autre RP. Et Nicolaï n'a dit qu'à Sudhamayi qu'il venait d'un autre monde. Désolée, mais tu m'avais dit de continuer sans toi Razz

bien lo merde

HJ: Oui, tu es pas senssée savoir d'où je viens. Tu peux me trouver étrange, bizarement vêtu et tout et tout, mais l'hypothèse que je vienne d'un autre monde ne doit pas être la première chose qui te vienne à l'esprit. Je pourrais très bien venir de Byzance ou de Kiev.

hj : Bon je vais essayer de jouer les conciliateurs (tout en sachant que je n'ai pas lus l'intégralité du rp Nico-Sudha)...

Serait il donc possible, selon vous deux, qu'une tierce personne ait put entendre certaines paroles échangées entre vos deux persos...par exemple à l'auberge(?)

Et ait le temps...d'en avertir Marie Anne (mais là il faut qu'il s'agisse d'un espion connaissant les liens entre Sudha et Marie) et qu'il ait entendu l'info principale!
Peut être...un homme sensé surveiller de loin l'indienne...à la demande de sa maîtresse(?)

Oui je sais...j'adore jouer les avocat du Malin! Demoniaque

hj: oui, c'est possible. Un espion pourrait avoir avertit Marie-Anne.

Toutefois, un espion plus intelligent encore serait allé voir les soldats qui ont escorté Sudhamayi et Nicolaï jusqu'au château. Et ces hommes, s'ils ont bien fait leur travail sont allé voir sur les lieu de l'affrontement qui c'est déroulé. Dans ce cas, Marie-Anne sait qu'elle n'a aucun intéret à appeler la garde.

"Dans ce cas, Marie-Anne sait qu'elle n'a aucun intéret à appeler la garde."

Ah? explique Smile

!

Nicolaï a tuer cinq bandit tout en évitant à Sudhamayi la moindre égratinure. De plus, la tête de l'un de ces bandits est en mauvais état après sa,... disons rencontre, avec la route.

Pour faire plus simple, Nicolaï a tenté d'enfoncer un pavé avec sa tête.

Et il a disons, croquer, un autre bandit.

Pour plus de détail, allez voir page trois du Rp avec Sudhamayi. Mais se qu'il reste des bandits n'était pas beau à voir.

EDIT: et le dernier post de la page 2

Donc il a fait des trucs franchement inhabituels dont une tierce personne aurait put, éventuellement, être le témoin?

Après...faut qu'il ait eut le temps d'avertir Marie Anne...
Mais je crois que celle ci compte éditer son post de toute manière.

Personne n'a put être témoin de l'attaque. Mais les soldats ont très bien put aller voir sur les lieu de l'affrontement après et il n'y a pas beaucoup de possibilités à la façon dont les corps sont disposé.

De plus, ces gardes sont dans la capitale. L'arrivé de Sudhamayi et Nicolaï n'est pas passé très inapperçut. Il n'était pas difficile pour un espion d'aller se renseigner.

Après...pourquoi Marie Anne en aurait été informée plus que quiconque(?)...

Là, Marie, à toi de nous donner une raison (et explication) valable et crédible de cette hypothèse Wink

Sinon...ça ne peut être accepté!

Dans un de ses post, Marie-Anne pense que Sudhamayi est une sorcière et, je suis plus sûre, lui veut du mal. Je crois que c'était un RP avec Gareth.