Reine d'Orcanie

Nom :
Demoiselle Ophélia

Âge :
Presque dix-huit ans.

Classe Sociale :
Noble, veuve


Histoire :
Je suis née dans un petit comté, en Bretagne. J’y fus élevée, en bonne chrétienne où je reçus l’éducation que toutes filles doivent recevoir afin d’être mariée.
Troisième fille de mon père, aimante et resplendissante, malgré mon bien maigre dot, on m’offrit en mariage à un chevalier demeurant en Bretagne. Cette alliance avec la famille de mon nouvel époux allait éventuellement servir, plus tard, afin que mes frères cadets puissent avoir la chance de devenir écuyer auprès de mon fiancé.
Tout au long du voyage, installée bien confortablement dans ma litière, qui me conduisait jusqu’au port, je rêvassai à mon avenir prochain. Je me posai mille et une questions, tout d’abord gagnée par la joie, l’extase et la hâte puis rongée par la peur de l’inconnu et des impressions qu’aurais mon futur époux.
On me fit traverser la mer d'Irlande, ce qui fut très pénible. Je n’avais jamais vu une si grande étendue d’eau, moi qui n’avais jamais quitté la demeure familiale. On m’enferma dans ma cabine, où je ne ressortis que trop de temps par la suite, indisposée par le voyage.
Mon escorte me conduisit jusqu’au comté de mon fiancé et m’y abandonnèrent après quelques jours de festivité. Moins d’un mois plus tard alors que l’on célébrait notre union, nous fûmes attaqués par des hommes d’un comte que je ne connais point.
Désirant nous défendre, plusieurs hommes tombèrent au combat. Mon nouvel époux, étant de ceux-ci. Étant un fardeau, il fut conclut que j’aille vivre dans un couvent, ce qui ne me déplut pas.
Mais ma belle-sœur, jeune et belle, qui devait se joindre à la suite d’une noble dame de la cour, convainquit son père, mon beau-père, de ne pas enfermer une femme si pleine de ressource que j’étais et de me laisser venir avec elle quelque temps.
En compagnie de ma nouvelle amie, je partis donc à la cour du très vénéré Roi Arthur. Pour avoir quelques pièces en poche, je dus vendre plusieurs bijoux qui m'étaient chers. Je ne pu cependant pas me détacher de la chaîne en argent auquelle pend toujours une lune en onyx noir, qui me fut offerte par ma mère. Et qui avait appartenue, avant elle, à la mère de sa grand-mère, qui, dit-on, était une femme aux mystérieux pouvoirs, originaire d'un endroit mystique qu'il faut taire. Cet endroit est dédié aux créatures impies, qui ont vendues leur âme au venimeux serpent qui règne sur le monde souterrain, sur l'univers où brûlent d'éternelles flammes!
J'accompagnai parfois ma belle-soeur aux réceptions qu'offraient Sa Majesté, dans l'espoir d'être un jour aperçu par quelques gens, qui m'inviteraient à me joindre en leur compagnie et qui engagerait mes services.
Ou peut-être, jeune pucelle (bientôt vieille fille) attendrai-je un homme qui daigne me prendre pour épouse!?
Quoi qu'il en soit, c'est ma voix et ma bonne éducation (mes manières), plus que ma personnalité, qui interesse les gens.
La Dame, maîtresse de ma belle-soeur, 'invita à me joindre à sa compagnie, afin que je joue pour elle. Elle m'installa une paillasse dans sa chambre, près du feu. Et je dois jouer, le soir, jusqu'à ce qu'elle s'endorme. Ainsi, j'ai un petit gagne pain.

Me voilà donc, Camelot!
(Voilà, c'est mieux???)


Psychologie :
Douce, raffinée et cultivée, c'est une femme bien élevée qui place les vertues au haut de tout. Elle raffole des arts et s'est même entraînée au chant. Sa passion? Le chant!
Elle méprise les gens de mauvaises vies et redoutent les combattants n'appartenant pas à un groupe relié à un seigneur.
Soumise, comme toute femme doit l'être, elle s'incline devant les nobles et les gens de classes (sociales) supérieures à la sienne.


Description Physique :
Sa peau est d'une blancheur presque pure, recouverte d'un léger duvet qu'on généralement les nobles. Sa chevelure lisse, d'un roux éclatant, toujours coiffé, laisse s'échapper quelques mèches rebelles sur son front et sur ses joues. Ses yeux, d'un vert de mer, on souvent plongé les gens dans un total désarroi, lorsqu'il tentait pouvoir soutenir son regard.
Son corps. s'étant mué en celui d'une femme, attire maintenant le regard des hommes.

Et voilà puisque tu es une membres solicitée de notre nouveau forum et que j'adore ton perso je me permets de te donner

1 #check#
2#check#

Maintenant il faut juste attendre les autres joueurs que j'ai solicité!

* essui une chtite larme *

Ophélia considère longuement Lancelot-le-pitre, émue par cette poesie véridicque. La fin la surprit.
Son regard convergea vers son époux, auquel elle sourit mystérieusement avant de lui accorder le plus doux des baisers.

Merci...

*s'agenouille et embrasse son ti ventre*

ça chatouille ?

* rigole et caresse ses cheveux *

Tsss !

Si j'avais sus j'me serais point fatigué autant !!

*mode méga aigrie et giga mesquin*

Pas vrai !!

Je pense chaque lettre !

OH !

Un spectre !!

J'amie pas les fantômes...ça boit rien. Mauvais pour les affaires ça.