Arrivée inattendue

Le temps s’étaient écoulés à fleur de peau. Le capitaine Gribskin avait fait route en Orcanie. Rien de mieux que pour se rafraichir et reprendre le bon temps avait dit un de ses soldats. Grincheux de nature, Gribskin l’avait vite ramené sur terre. Le temps n’avait pas joué en leur faveur depuis leur départ. La pluie battante et des orages violents les avaient quelques peu ralenti.

Sa dernière mission n’était pas des plus difficile, mais des plus dure, peut-être …

Gribskin avait toujours méprisé le prince orcadien pour son comportement, mais il n’en avait jamais laissé paraître. Accompagné de quelques hommes seulement, Le chemin fut des plus pénible.

Caché par sa longue cape noir, le capitaine n’avait rien d’un homme très comestible. Son regard ténébreux et froid ne laissait indifférent personne. En aprochant du château, Gribskin broncha.

Une fois arrivée, il ne pouvait plus reculer.

Mais comme toute bonne protection, un garde orcanien l’arrêta.

-Que faites-vous dans les terres de sa majesté le roi Mordred ?

Gribskin rabbattit son capuchon et toisa le soldat.

-Je suis de la garde orcadienne. J’ai eu pour mission de protéger sa majesté le roi Émérick.

« Le roi émérick » Dire que ces mots sortait de sa bouche…

- Et comment puis-je être certains que vous êtes bien qui vous dites être ?

Le soldat commencait à enrager le capitaine orcadien. Où était donc Émérick, lui, qui avait habitude de flaner partout.

Étant sortit prendre un peu d'air avec sa monture, Émerick se pavanait dans la cour du chateau n'ayant peu de soucit à se faire. Il avait pour habitude de ne jamais s'occuper de ses affaires et de toujours tout faire de le mauvaise facon.

alors qu'il se promenait, il vit au loin, un groupe d,homme interpelé par les soldtas orcanien. Il galopa et lorsqu'il vit Gribskin, il se dépêcha encore plus. Il savait que cet homme ne l'aimait guère, mais le plaisir fou d'Émerick était de faire exprès pour que le garde l'aime encore moins.

" Gribskin !

Comment allez-vous ?!

Je ne vous attendais pas ici si tôt...

Mgr Kadfaël m'avait pourtant dit que vous ne seriez pas ici avant longtemps... Et bien, ce n'est donc pas votre âge qui vous ralentit... Vous avez donc un brillant avenir dans ma garde personnel, seulement vous ne viverez jamais assez vieux pour voir mon pouvoir s'étendre sur les Orcades, dommage pour vous..."

Jamais Émérick ne pourrait mourir, car le seul homme qui voualit l'écorcher vif n'était pas Baleagant, mais lui. Gribskin. Par respect, il feignit d'être le plus heureux de revoir le prince.

Pour montrer à quelle joie de la retrouver, il ne prit pas la peine de répondre à ses questions.

Mgr Kadfaël n'a pas prit le temps. Votre mère est rentrée au pays.

La douce Minara. La seule chose qui pouvait donner bonheur au capitaine. Au moins, on pouvait immédiatement voir de qui retenait le jeune garcon. Son père.

Seul l'idée que le jeune garcon en fasse un membres de sa garde effraya gravement Gribskin. Il aurait bientot fait de se retirer cette fois-ci, mais il devait éxécuter les ordres de la reine, avant tout.

- J'ai servi votre mère avec fidelité. Je crois que le temps de me reposer sonnera après que le seigneur de Gaurres eut quitté nos terres majesté

Les dernières paroles frolèrent le soldat.

*Jeune impertinent !! Attends de voir ce qui viens. Tu rigoleras moins*, pensa-t-il

Au moins les paroles firent rire les soldats orcaniens, m ais ceux-ci finirent bien par se retenir, lorsque Gribskin les toisa avec un regard noir et presque meurtrier.

Émerick garda cependant son sourire et regarda derrière les autres soldalts. parmi eux se trouvait Oran, un vaillant sergent, Steren, le chef des archers et quelques autres moins importants.

Il reporta son attention sur Gribskin puis dit:

" Voyons mon ami, je blaguais quant à votre âge. Jamais je n'Aurais dit cela ! Vous serez bien sûr, Capitaine de ma Garde personnel, comme vous l'avez êtes pour ma mère.

Si vous saviez à quel point j'apprecie que vous soyez à mes cotés... "

Tout le long, Émerick avait été plus qu'ironique et sarcastique

Cette arrivée allait bientôt sonné « Pardonnez-moi mon père je vais pêché ou l'étrangler ». Gribskin méprisait ce membre de la famille royale. Autant fut-il des plus amusant lorsqu’il fut enfant, autant avec l’âge , il était agacant.

Parmi ses hommes, seuls les plus vaillant l’avaient accompagné. Oran remplacait un traitre qui avait aidé le roi de Gaurres à prendre le château des Orcades et steren , lui, été l’un des plus jeune soldat avoir été promu et était nul autre qu’un grand ami d’Émérick.

Malgré le sacarsme du jeune prince, les soldats orcadiens se retenaient fortement de rire. Il savait à combien Gribskin pouvait avoir la grosse tête avec le fils de Minara.

Gardant son air de vieux grincheux têtu, il toisa Émérick et lui dit sur un ton plutôt sec :

-Êtes- vous prêt de parler des choses vrai ou préférez-vous vous payer ma tête encore Émérick?

Émerick commencait à énerver Gribskin, ca le prince le sentait. Mais comme tout petit ingrat, il ne voulut pas arreter. C'était pour lui un jeu et savait qu'il pouvait en sortir gagnant car le capitaine ne pouvait rien contre lui, il était prince.

" Voyons, Gribskin , jamais je ne pourrais me payer votre tête...comme pourrais-je oser? Vous êtes un homme ...honorable et un vaillant combatant, j'ai même beaucoup de respect pour vous.

Mais dites moi, vous avez des nouvelles interessantes à me fournir ? Je vous avertie, je ne veux rien savoir de ce qui concerne les Orcades ou quelque chose du genre, compris ? "

Lorsqu'il vit une jeune demoiselle passer, il lui fit un joli sourire et un clin d'oeil, ce qui fit rougir la jeuen demoiselle.

Il avait beau éxécuter les ordres, mais il ne croyait pas y arriver d'ici tôt. Émérick jouait réellement avec ses nerfs.

Au passage de la jeune fille, Steren, l'ami du prince, éclata de rire en silence. Steren le regarda avec un sourire, plutôt amusant.

La nouvelle génération ne fonctionnait pas avec les véterans. L'indiscipline du Prince amusait tout le monde sauf le vieux grincheux de Gribskin qui s'amusait à l'enrager.

Ignorant les dires du nouveau roi, Gribskin commenca:

-Baleagant a autorisé le rapatriment de votre mère. Mgr Kadfaël l'a pris en charge.

Bien qu'il avait été agressif, maintenant on sentait un peu de tristesse dans la voix du capitaine. Gribskin avait toujours aimé la reine, mais celle-ci avait préféré le roi.

Si Émerick avait été drole et amusant jusqu'à maintenant, son air se rembrunit lorsque Gribskin lui parla de sa mère. Le jeune rince prit Gribskin par le collet et son air devint subitement sombre:

" Osez dire le nom de ma mère encore une fois ou bien en effleurer le souvenir, et vous aurez à faire à moi. Je ne veux plus que personne ne parle d'elle, ni de mon père, est-ce bien compris? "

Il lacha le capitaine et d'une vois brisé il dit:

" Je..suis désolé...d'avoir été si...agressif..."

Il avait juré devant Dieu qu'il tuerait Baléagant, mais ce tempps n'était pas encore venu, mais il viendrait...

Quand le jeune prince fut prit d'aggressivité, Gribskin ne broncha pas au fait qu'il l'attrappe par le collet. Il fit signe à ses soldats de partir et resta seul avec le prince.

- Oublier votre père si cela vous chante, mais n’éloignez pas votre mère. Elle est la seule qui a put tenir les Orcades et vous aimer. Personne ne peut oublier votre mère. Elle a tout fait pour vous garder Émérick. Elle s’en ai voulut chaque jours après votre départ.

Valait mieux faire comprendre au jeune roi ce qu’était sa mère, avant qu’il l’oublie.

Émerick sentit son sang bouillir dans ses vienes. Il avait pourtant avertit Gribskin et celui-ci n'avait pas arreté. Il avait même dit aux autres de partir plus loin, mais Émerick savait que les autres savaient surement de quoi tout deux parlaient.

" Ce n'est pas vrai, elle aussi m'a abandonné ... Elle a toujours préféré mes soeurs, ma mère est aussi fautive que ce dégonflé de Roi des Orcades que fut mon père !

Je vous défend de parler d'un des deux, je ne veux plus en entendre parler ... J'ai trop souffert à caus d'eux ..."

Émerick savait bien que Gribskin avait raison, mais il ne voulait pas se l'Avouer à lui-même...

- Vous avez souffert à cause de votre père Émérick. Cessez de mentir pour votre propre compte. La reine Minara n’a jamais cessée de souffrir. Elle avait abandonné ses deux enfants. Peu de monde se soucie de leur prince et de la dernière fille de Minara. Pour eux , il n'y avait qu'Élizabeth, mais pour Minara, il y avait toi et sa fille. À leur yeux seul le roi comptait. Elle n’a pas voulu vous abandonner, vous étiez tout ce qui lui restait pour elle.

Gribskin se retenait d’aller trop loin, mais l’insubordination du garcon le poussait à bout.

- Combien de fois , vous a-t-elle consolé lorsque vous étiez enfant? Toujours et votre père s’en moquait royalement. Je vous interdit de l’oublier Émérick. Vous avez souffert à cause de votre père.

Voyant la scene mal tournée, Steren s’interposa entre le capitaine et celui-ci furieux, quitta.

- Tu crois vraiment qu’elle t’a abandonné? Elle t’aimais bien Émérick, ne sois pas stupide. Nous sommes amis depuis l’âge de cinq ans. Tu sais qu’elle a toujours eu une grande admiration pour toi . Nous lui devons plus à elle , qu’à ton père. Je suis que mon propre père dirait la même chose. Elle à toujours été à nos cotés lorsque l’on s’amusait toi et moi. Personne est digne de dire son nom, mais elle a été ce qui a de plus fier dans tout le royaume des Orcades

Émerick se calma peu à peu, apaiser que se soit son meilleur ami qui s'interpose entre lui et le capitaine. Gribskin ne savait pas comment dire cela de facon à ne pas blesser le prince, mais Sterent lui, savait.

" Vous avez tous raison, toi, Gribskin, tous... Mon père n'était quun couard, beaucoup croyait qu'il était grnad roi, et ils avaient raison, mais lorsqu'il fallait prendre son role de père, il n'était qu'un lache. C'est à cause de lui qu'elle est morte et si lui n'était pas mort je le tuerais.

Bon, assez discuter de cela, y a-t-il quelque chose d'autre que je devrais savoir ? "

C'est pensé sombres il les cacha au fonde de lui même, mais depuis que la reine Morgause lui avait demander de lui parler de son enfance, il était devenu fragile de ce point là, c'était surement sa plus grande faiblesse.

Steren donna une tape amicale à son ami, et le regarda droit dans les yeux.

A part que Mgr Kadfael qui fait des sienne, il n’y a pas grand-chose. Les saxons ont débarqué sur l’archipel et il commence a y avoir pas mal de va et vienhs . La situation deviens de plus inquiétante. Il ne faudrait pas tarder .

Faisant signe à son capitaine de disposer, Steren resta seul avec Émérick.

Tout c’est bien passer entre vous et le roi d’Orcanie?

Et revoila , il se remettait à le vouvoyer

Émerick comprenait mal, Baléagant avait maintenant quitté les Orcades, mais là, le problème c'était les saxons.

" Ces satanés barbares...Ils me le payeront, autant que ce foutu de Baléagant, oser prendre les terres...de ma mère et de surcroit les miennes.

Je dois parler a mon cousin, sans plus tarder. Il comprendra surment , il a bien compris mon arrivé et ma fort bien accueuillit. Je dois dire qu'ici, il s'en passe beaucoup de chose, mais cessons le bavardage...

Steren, je t'ordonne de ne plus me vouvoyer ! C'est un ordre d'ami, et non de roi..."

Avec Steren on parvenait toujours à nos fin,mais avec Émérick qui était du genre à mettre sa main au feu, il en était plus dure.

- Tu ne croirais pas plutot à un coup traitre de Baleagant ?

Il aurait voulu continuer davantage‚mais il se devait de respecter son ami et bientot son roi. Il valait mieux ne pas le choquer comme le faisait Gribskin.

Il se passe des choses ? Quel Genre?

Steren s'attendait à une réponse digne du prince et de son grand ami. Celle qui ne pouvait que sortir de sa bouche

Émerick reagarda son ami puis dit:

" Laissons un peu les choses du royaume de coté et parlons un peu de d'autre chose. De toute facon, Baléagant ne sera plus qu'un mauvais souvenir bientot.

Quand je parle de d'autre chose c'était qu'il y a une jolie flamme qui dans danse la braise, si tu vois ce que je veux dire. Elle est jeune , belle , intelligente, drole et souriante. C'est la fille d'un ambassadeur de Camelot et elle est aussi Duchesse. Elle se nomme Blanche . Son nom est aussi pur que son sourire et sa beauté. Avec un peu de chance, elle pourrait être ma reine , mon ami. Je m'eforce de la séduire, mais j'ai un adversaire de taille, le Roi en personne. "

Steren éclata de rire aux dires de son ami. On retrouvait enfin le Émérick.

- Il est rare de voir des femmes ainsi. Jeune , belle , intelligente, drole et souriante. Tu es sure que ce n’est qu’une fille ?

Steren éclata de rire lorsqu’il fit par qu’il avait de la compétition. Lui, Émérick avoir de la compétition. Il ne se rappelait pas d’avoir vu cela.

-Ce n’ai pas le roi qui te seras un grand adversaire. Il est marié. Mais si elle aussi belle que tu le prétends, je risque de lui jeter un coup d’œil. Du moins, si elle n'est pas tombé sous ton charme, vieux frere.

Steren donna une tape dans le dos de son ami et lui souria.

Tu n’as pas autre chose à me dire avant que je te raconte les idées folles de notre brillant Kadfael ?

Éerick voyait bien que Steren avait du plaisir à la niaiser. Il lui ébourrifa les cheveux comme quand ils étaient jeunes.

" Et oui, ce n'est qu'une seule femme , c'est surprenant, mais c'est vrai. Et puis tu as raison, la roi n'est pas vraiment de la compétition, , mais il a quand même poser les yeux sur elle et je crois que c'était bien avant moi.

Mais tout sais que les femmes tombe toujours sous le charme de l'heritier des Orcades ! C'est connu ! "

Il se tut puis attendit de savoir se qu'avais fait Kadfaël. Si jamais c'était quelque chose de déplaisant, il aurait tôt fait de prier le seigneur pour qu'Émerick l'épargne ...!

Steren détestait qu'on lui ébouriffe les cheveux, comme le faisait le prince orcadien.

Et puis ? Il est marié et ne peut donc prendre celle qui te fait des doux yeux. à moins qu'elle ait le Bégin pour le roi seul, alors tu es foutu.

Devant le silence du prince, Steren eu un drole d'effet.

-Il n'a rien de mal. Seulement , tu pourras le remercier pour quelques choses. Tu sais que ton père cachait son trésor assez riche. Dis -toi que ce viellard l'a trouvé. Maintenant, personne ne peut s'en servir puisqu'il est ... disons... Sur haute surveillance

Émerick demeura pensif un instant, puis dit;

" Au moins il s'est rendu utile, mais maintenant c'est trop tard, ce trésor ne sera pas en sécurité. Les saxons ont pris l'archipel et ils arriveront à le trouver, car Kadfaël est un faible, il préférera avoir la vie sauve que garder le secret, ce n,est qu'un couillard ..."

Steren fut surpris de son ami.

-Voyons Émérick, tu penses que nous avons laissé Kadfael sans sécurité. Gribskin a beau être borné, mais il n’a jamais laissé quiconque toucher au proche de la reine et il tien grand estime à l,éveque, même si celui-ci la délibérément sortie de sa retraite.

Puis , il fouilla dans ses poches.

-De plus les saxons devront avoir une carte pour trouver ce foutu tresor et aussi de la clé

Il riait presque , puisque la clé était , désormais, en orcanie. Il la tendit à Émérick et attendit sa réaction

Émerick sourit puis prit la clé que lui tendait Steren.

" Sacré Gribskin ! J'ai beau essayer de jouer avec ses nerfs , cela ne fonctionne jamais et voila que maintenant il me surprend ! Je comprends alors pourquoi ma mère avait un bon estime de lui . Il n'a jamais laisser personne touché à quiconque parce qu'il aimait ma mère secretement.

Tu te rappelles lorsqu'on s'amusait à entrer dans les appartements des officiers, et bien, j'ai trouver une lettre dans les appartements de Gribskin, c'était un poème destiné à la reine ...

Voila pourquoi il prend sa fonction à coeur, pour honnoré son amour impossible. Si elle serait encore en vie, j'aimerais tant qu'elle le sache et qu'ils s'épousent tout le deux.

Gribskin m'a tout appris, les armes , le cheval, la joutte, manier une lance, tout, et il a été là pour moi plus que ne l'était mon vrai père. Il ne sait pas que je l'apprécie car je ne veut pas lui dire directement, mais cet homme est comme mon père... "

Tu crois que je m'en rappelle? Certainement, je m'étais fait prendre par son sergent et j'ai eu la frousse de ma vie. Au moins t'a mère avait plus le sens de l'humour que Macgregan. Je l'aurais étrangler lui. Enocre plus que Gribskin.

Regardant où se trouvait Le capitaine, Steren regarda Émérick et baissa la voix

C'est une chose que je voulais te dire. Tout le monde connaissait Gribskin pour dire qu'il aimait ta mère, mais ne lui chauffe pas trop les oreilles avec son nom. Tu le connais , il va vouloir te tuer cette fois sois un bon garcon.

Ca lui prend la tête losrque l'on prononce son nom. Il devient bourru et ne nous parle plus.

Émerick se rembrunit en entendant le nom de Macgregan. Il avait toujours détesté cet homme et maintenant qu'il étai dans les cachots d'orcanie pour avoir eut l'ordre d'asssasiner Anna et avoir assassiner sa mère.

" Tu as toujours eut le gout de l'étranler, hein 6 C'est une chose qui pourrait se faire, mon ami. Il a été capturé par les hommes de mon cousin alors ont peut lui faire une petite visite si tu veux...

Quand à Gribskin, je respecterai son droit de ne pas entendre le nom de ma mère, il mérite bien cela et je suis prêt à faire la paix avec lui, si seulement cet homme était facile d'approche avec les mots et non aec les poings ..."

Tu as un faible pour les visites de courtoisie . On aura tout vu. Je ne pense pas que le roi aime qu'on se mele de ses affaires, non? Du moins , je ne veux pas attirer la foudre . Y'a assez de Gribskin pour ca. Ca lui remonterait peut-être le morale de revoir son vieil ami

Encore un blague plate de steren. Gribskin détestait Macgregan à mourir.

Laisses-lui du temps et on verra comment il reagira