convocation de la reine Morgause par son fiston

Morgause était toute à sa préparation de mariage et à celle de la croisade.
Elle avait trouvé en Alicia de Blaye une alliée inattendue pour l'aider à anticiper les deux événements... Aide qui compenserait oh combien certaines déficiences de son futurs époux, amant somptueux, mais peu stratège ou gestionnaire...

Ses dames tentaient elles aussi craintivement de l'aider, au moins seraient-elles utiles au mariage, que cela aille de la confection de la robe, qui se voulait somptueuse, à celle de a liste des invités voir au repas ....

Quand un valet de Mordred, le fils si chéri de la Reine, entra dans les appartements pour prévenir Morgause que le royal rejeton souhaitait la voir de suite il trouva les dits appartements sous dessus dessous...

Morgause fut intriguée, être "convoquée" ainsi n'était pas dans les habitudes de Mordred, s'il voulait la voir pour quoi ne pas venir à elle ?

Néanmoins, la Pendragon pris énergiquement le chemin du bureau de son fils. Sa robe d'un rouge éclatant mettait en valeur sa silhouette encore fine et mince malgré les quatre maternités... l'énergie de le Reine la gardait jeune et la perspective du mariage avec le Roi d'Austrasie avait comme effacé les quelques rides d'amertume qui autrefois rendait son visage plus dur.

Elle passa la garde sans la voir et entra dans le siège de pouvoir orcanien sans aucune gène...

Mordred n'eut pas a attendre bien longtemps la venue de sa royale mère ... Avec son sans gêne coutumier, elle pénétra dans la pièce comme une "furie" ... Le Roy, à son bureau, releva un regard surpris, puis irrité ...Toute reine mère qu'elle était, Morgause avait parfois des manières déplaisantes ... Et le tyranneau n'était pas franchement d'humeur ce matin ... Il était à la fois grognon et perdu . Les évènements se succédaient, et l'orcanien avait la désagréable impression de les subir et non de les maîtriser ...

Bon jour mère ...

Veuillez vous asseoir je vous prie ...

Commença Mordred, bien peu chaleureux ...

J'ai fais arrêter monseigneur Florin ...

Déclara t-il, sans transition ... Avant de poursuivre, nerveux :

Cet impudent a osé m'insulter, que le Diable l'emporte !

Le Roy leva les yeux au ciel, puis considéra sa mère, à présent un sourire amère vissé aux lèvres ...

C'est ce que vous vouliez, n'est ce pas ? ...

Après la mise à l'écart de la Reine, mon épouse !

L'allusion était évidente ...

Mordred faisait remarquer à sa génitrice, plus qu'il ne lui reprochait, sa stratégie et ... leurs résultats .

Elle fut un instant surprise de son ton, mais n'en laissa rien paraître. Pas plus qu'elle ne releva les reproches implicites.

Et plus surprise encore de l'annonce de l'arrestation de Monseigneur Florin dont elle ignorait tout à son grand damne.

Il va de soit que voir ce gêneur ennuyé lui convenait mais jamais elle n'eut proposé de l'embastiller, elle jugeait qu'il s'agissait d'une gravissime erreur diplomatique, vis à vis de Rome et de la chrétienté... mais ne dit rien.

Elle pris siège en murmurant un :

- merci mon fils de me permettre de m'assoir...

Et décida de répondre en premier lieu sur Ophélia avant d(arriver au plat de résistance Florin :

- En ce qui concerne la Reine, j'avoue avoir combattu son influence qui me semblait néfaste, mais je ne suis pas responsable de sa chute, ce n'est pas moi qu'il l'ait poussée à vous tromper que je sache ...

Son ton était doux, maternel, mais ferme et décidé.

- Quand à Florin, j'ose penser que si vous avez pris une telle décision qui me semble à priori grave dans ses conséquences, c'est que l'injure doit être de taille... Vous me convoquez pour vous expliquer sur cette arrestation brutale ou pour que je vous conseille à postériori ?

Là, le ton était morgausien, un peu hautain et distant...

Non ! non ! non !!

Coupa Mordred, en agitant son royal index, après la tirade de sa mère à propos d'Ophélia ...

Vous n'avez point a combattre son influence !

Vous n'avez point ... a combattre ... son influence !!

Rétorqua sèchement le tyran ( domestique ^^ )

Elle reste votre souveraine et vous lui devez encore le respect, et le jour venu, de nouveau, l'obéissance ...

Expliqua, véhément le fiston ...

Avant de poursuivre plus posément :

La Reine est ... "fragile", et vous le savez fort bien !

Nous sommes tous responsable de ses errements ...

Même vous, mère !

Mordred anticipa toute réaction de Morgause :

Si vous lui aviez prodigué un peu plus d'affection et ... de conseils, peut être que son mal être ne se serait point aggravé !

Culotté le bougre, non seulement il exonérait, pratiquement, Ophélia de toute responsabilités - réelles- mais de plus reprochait à sa mère d'avoir quasiment " poussé à la faute " sa bru !

Ophélia doit expier ses fautes, mais nous devons l'y aider également !

Car ... je l'aime encore, malgré tout, et l'aimerai sans doute toujours !

Avoua, des trémolos dans la voix, le terrible monarque, avant de conclure, amère :

Ne vous en déplaise !

Florin maintenant et ici le ton de Morgause déplut souverainement à son fils préféré, il éclata :

Sur un autre ton je vous prie, mère !

Le prélat vous eusse insultée de la sorte que le bougre se balancerait dès à présent au bout d'une corde !!

Alors point de leçon !!

Tonna Mordred, à bout de nerfs ...

Qualifier son roy ... "d'enfant" m'apparaît assez grave pour mériter au moins une reprise à l'ordre ! De même que remettre en cause la politique de son seigneur et maître ...

En disant cela, Mordred darda ses yeux de dément dans ceux de la léonine Morgause ... Dans une sorte de face à face dramatique ... En effet cette remarque valait pour elle également !

Néanmoins il nous est toujours utile, et nous ne pouvons prendre le risque de froisser Rome !

Après repentance, Florin sera réintégré ...

Ici c'était du Mordred tout craché, autoritaire mais pragmatique, ou plutôt, "utilitariste" ...

Morgause leva un sourcil, elle ne rentrerait pas dans le jeu de la colère... elle avait en ce moment d'autres envies que de corriger son fils, même s'il le méritait. Enfermer Florin sous un prétexte aussi futile était grotesque, surtout que l'aperçu qu'il donnait en ce jour à sa mère semblait à cette dernière ... puéril.

Elle garda donc un apparence calme, ne voulant envenimer plus leur relation... elle savait qu'il finirait par ce calmer ce grand enfant.

- Mais, mon fils -elle reteint un "mon enfant" qui brûlait ses lèvres serrées-, chacun dans le jeu du pouvoir joue de son influence, combat celle des autres, vous êtes ma seule fidélité inébranlable et le savez... Si vous m'ordonnez d'obéir à Ophélia, une fois cette dernière réhabilitée, je le ferai, cela va de soit... mais je vous prie de ne pas m'accabler de SES fautes ! C'est risible ! Ophélia n'a jamais écouté le moindre de mes conseils, elle a tout fait ELLE AUSSI pour que mon influence en Orcanie soit nulle.

Seuls quelques mots avaient été énoncés sur un ton légèrement plus élevé, Morgause restait totalement calme face au fils de Loth (? [hj : oop's pardon]).

- Quand à Florin, si j'estime assez peu le personnage, marqué par une mégalomanie un peu envahissante et une tendance au sadisme trop marquée à mon goût, je tiens à dire que sa fonction commande au monarque de le respecter... et jamais je ne me serais permis de l'envoyer à la corde comme vous le pensez... j'aurais certainement choisi fin plus subtile et discrète.
Mais passons, il ne m'a pas insultée, MOI.

Elle souriait de sa plaisanterie, jouant avec le feu, préférant dédramatiser cette scène ... puérile et déplaisante où Morgause voyait la démence de son fils se retourner contre elle.

- Et, de plus , mon aimé fils -non elle ne dirait pas encore "enfant" - un "conseiller" DOIT pouvoir exposer son point de vue... il DOIT exécuter un ordre mais peut argumenter, ceci pendant un temps raisonnable je vous l'accorde.
Si vous saviez le nombre de conn... bêtises que de nombreux souverains ont pu éviter en simplement écoutant ...
Mais CE n'est pas tout, le souverain DOIT savoir ce que pense ses proches et le meilleurs moyen de savoir cela est de les laisser parler, non ?????

Elle se leva, délicatement, comme une chatte... et le regarda en face :

- M'écoutez vous encore ou dois-je rejoindre une de vos prisons ? J'avoue que je serais fière de vous avoir donné aujourd'hui CETTE leçon comme dernière leçon de vieille reine qui vous aime... comme une mère qu'elle est, et vous respecte comme mon souverain et fils, mon préféré, mon âme, ma chair et mon sang !

Ses beaux yeux se mouillèrent... mais sa nuque restait raide et droite.

[HJ : ça te va mon p'tit ENFANT affraid

]

hj : c'est parfait ! Very Happy

je reviens après mon 4 heure ! albino

[et prends aussi ton BN mon enfant ! Laughing

]

hp : Il doit être en train de chipper les muffins d'Ophélia oui lool

[ah, c'est ça ce truc qui m'pique mes miettes ...]

( hj : nan pas de "bn", ni de muffin à Ophé I love you

mais des pains au chocolat !! Razz

)

C'est vrai Mordred y était aller un peu fort, même si les talents de tragédienne de Morgause n'étaient plus a prouver ...

Et pour Ophélia, la reine mère avait absolument raison :

Jamais je ne permettrai que l'on s'attaque à vous, ma mère !
Mais je souhaite que l'entente règne en ce château ...

Florin, de nouveau : Morgause avait beau jeu de prendre la défense du prélat :

Si vous appréciez tant Florin, cessez donc de comploter contre lui en ce cas !

Puis lorsque sa mère évoqua la nécessité pour un souverain de tenir compte de la parole de ses conseillers ... Mordred fut ébranlé par la démonstration, mais voulut également affirmer son autorité :

Aucun souverain ne peut et ne doit s'exonérer des conseils avisés de ses proches ...

Mais celui ci dirige et décide seul !

Le ton du Roy alla en s'adoucissant ...

Je ne peux gouverner seul ... Mais ne veux, pour autant, subir la tutelle de quiconque !

Comme ce fut trop souvent le cas par le passé, aurait il pu ajouter ... Morgause ne comprenait elle pas qu'elle étouffait, encore, son tyran de fils ? ... Ce qui n'arrangeait rien à son "immaturité" politique . Alors le couplet larmoyant de "l'optima mater" agaça quelque peu son rejeton :

Oui vous m'aimez ...

Et moi également !

C'est charmant mais ce n'est point la question ...

Conclu Mordred, en tenant déjà sa transition pour le sujet suivant :

Comme vous aimez ce Marth, ce freluquet, ce roquet !?

Votre fiancé qui pourrait être votre fils ...

Le ton du Roy n'était pas agressif, sans être agréable pour autant ...

J'ose espérer que cette union n'est pour vous que politique !

Et c'est la raison pour laquelle j'ai accepté cette alliance ...

Pourtant Morgause n'était pas uniquement un "animal politique", mais également une amante passionnée, une séductrice manipulatrice ( mais tout allait de paire ) . Son fils feignait de l'oublier ...

Le but de ce mariage n'est point seulement de renforcer les liens entre les deux royaume mais bien ...

Un large sourire s'agrandit à n'en plus finir sur le visage juvénile de Mordred ...

L'objectif c'est la vassalisation, la soumission totale de l'Austrasie à l'Orcanie !

Et à ... terme, la prise de contrôle complet de ce territoire ...

Bref, faire de l'Austrasie une dépendance de l'Orcanie, voir son prolongement sur le continent ( point de sentiments ! ) ... Tant il est vrai que l'ambitieux tyran aurait besoin de ressources de toutes sortes lors ... de la confrontation ( inévitable ? ) avec le Pendragon .

J'espère que nous sommes pleinement en accords sur ce point, ma très chère mère ? ...

Demanda, sans ambage, le souverain, tout en scrutant sa génitrice, son mentor, son véritable premier conseiller, avec ses yeux de chat ... Essayait il de sonder son âme ? Dans ce cas ... il lui faudra être à la hauteur de cette rude tâche !

[hj : bon, mais pas plus de 2 alors ! et essuie ta bouche un peu !]

Sagement elle écoutait son fils qui, lui aussi, avait eut la sagesse de l'écouter. Son numéro racinien avant l'heure était presque oublié, seuls ses yeux, autant en furie que mouillés, trahissaient encore la scène précédente.

Elle fut heureuse qu'il lui dise qu'il ne "permettrait pas que l'on s'attaque à elle", donc tout allait bien.
Elle savait que le "petit" étouffait depuis peu, la trahison d'OphéliA et les crises de l'Evêque mentor.
Tout cela était trop pour un encore si jeune homme -il serait toujours jeune pour elle- qui s'émancipait... d'où le replis stratégique de la Reine sur l'Austrasie.

- Mon très cher fils, je ne souhaite que la disparition de Florin, l'homme, si Rome pouvait nous envoyer un évêque un peu moins dément, je serais très heureuse pour l'Orcanie.
Mais l'évêque de Warminster ne peut être persécuté par son roi... saudf s'il est destitué bien sûr.

Elle parlait toujours calmement, sachant que les murs de ce bureau devaient avoir des oreilles et que les cris échangés entre Morgause et Mordred seraient nuisibles à la reine mère.

- Quand à l'Austrasie, elle sera à moi, effectivement, la riche Austrasie m'a été offerte par Marth, qui est beau, valeureux, tendre, jeune, bel et bon amant...

Il était grand Mordred, il pouvait entendre maman parler de son amant, non ?

- L'Austrasie sera l'alliée le plus fidèle de l'Orcanie, tu le sais bien, comme je suis ta plus fidèle alliée...
Et tu as raison sur un autre point, tu dois écouter ET trancher. C'est à toi de décider, mon suzerain !

Sache que si j'épouse Marth, c'est aussi pour que tu gouvernes seul l'Orcanie... je serai toujours à ta disposition pour tout conseil que tu solliciterais, pour tout avis que tu me demanderas... et aussi derrière toi à surveiller ceux qui te voudraient du mal mais ne souhaite plus être une espèce de mentor omni-présent.

Elle préférait couper elle même le cordon ombilical que de voir Mordred le trancher à grand coup de hache... et au moins elle restait en vie et libre.
Florin était vraisemblablement allé trop loin, il risquait très gros, mais Morgause était prête à lâcher du lest, il en avait tant besoin le petit...

- Laisse moi en compagnie de Marth, et aussi d'Alicia de Blaye qui me semble tête bien faite, remonter l'Austrasie et tu auras une alliée riche et puissante, en enclume qui n'attendra que son marteau orcanien pour écraser la Bretagne.

Son regard était redevenu tendre et maternel, mais comme légèrement voilé... par une certaine nostalgie amoureuse.

- Prend ton envol mon grand, mon fils roi mais laisse ta maman refonder un nid à sa mesure... ces idées te semblent-t-elles constituer la base d'un accord entre deux souverains ?

Elle caressa la joue de son fils ... sourire aux lèvres, sourire de mère fière de son fils.

( hj : oui 2, et 1 café !! raaah zut ai pu faim pour l'dîner ! Suspect

)

Oui ... Mère ...

Fut la seule réponse de Mordred, encore une fois convaincu, conquit, subjugué par sa divine inspiratrice ...

Il se saisit au vol de la douce ( mais ferme ) main de Morgause et la couvrit de tendres baisers ...

Cette fois ci il n'avait point rétorqué quoi que ce fut à la Reine mère, tant le discours était de haute volée !

Même si le tyran cupide doutait qu'il y ai énormément de richesses et d'avantages a tirer de l'Austrasie après la croisade anti dragon ... Le pillage ( "déguisé" ) du pays devrait attendre ... sa reconstruction .

De même la formule avec le marteau et l'enclume, concernant la Bretagne tant honnit, faillit faire éclater de rire le fiston !
Mordred était redevenu l'enfant qu'il était il y a encore peu de temps, et qui s'émerveillait des contes et légendes que lui narrait sa chère maman .

Je vous aimes tant ma mère, je vous aime tant !!

Dit il en embrassant de plus belle le plat de la main de la Reine, qui fut également mouillée par quelques petites larmes ...

C'était une confirmation, des excuses et une promesse : jamais au grand jamais il ne chérirait autant une autre femme !

Morgause fut heureuse que son sentiment qu'il fallait lâcher la bride fut le bon et plus heureuse encore des déclarations de son tyran de fils... Comme elle l'aimait elle aussi...

Elle le pris dans ses bras, folle de joie de sentir contre elle le corps si fort de son fils tant aimé.

Et, elle décida de donner le coup de grâce, celui qui ferait de Mordred l'homme le plus heureux d'Orcanie....

- Mon tant aimé, mon fils et roi, permets moi un dernier conseil... rappelle Ophélia auprès de toi, je jure sur la Sainte Croix que je ne m'opposerai plus à elle et même que je tenterai de l'aimer... je le peux puisque toi tu l'aimes !

Elle le serra un peu plus et lui murmura :

- Tu as besoin d'elle, de ta reine, et ton pardon devrait te la ramener... tire un trait sur cette sordide histoire... Notre famille doit être unie, forte et unie !

Les larmes de Mordred mouillaient sa robe, elle était aux anges ...

Mordred se blottit littéralement dans les bras si rassurants de sa mère adorée ... Il ne pu bien longtemps résister à l'envie irrépressible d'embrasser la terrible reine ...

Il était heureux, tout simplement et ... pour la première depuis trop longtemps . Pour autant il n'en croyait point ses ouïes : Ophélia et sa génitrice, réconciliées !?
Si ce n'est pas cela le bonheur, la plus belle des félicités, qu'est ce alors ? ! ...

S'en était trop ... le terrible tyran ( héhé tu parles ^^ ) fondit en larmes :

Je vous aimes ... je vous aimes toutes deux ... Je ne peux pas vivre sans vous !

En effet le démon d'Orcanie avait toujours eut besoin d'un référent féminin suprême, et en aurait sans doute toujours besoin ... Non pas pour être dominé et encore moins " écrasé ", par la dame en question, mais guidé et ... rassuré . Sans cesse ...

C'était essentiel pour son équilibre, déjà bien précaire ...

Merci ma mère ! ... Merci pour tout ! ...

Souffla t-il, ému, content, mais las ... Avant de l'embrasser une nouvelle fois .

Et voilà, l'estocade avait portée... Morgause retrouvait son aimant fils après avoir lâché un peu la bride sur le coup du fiston rétif.

Elle rendit l'embrassade, sécha les larmes du royal rejeton, ses propres yeux étant encore humides d'émotion.

- Mon fils, je serai tourjours à tes côtés, ta mère aimante et aimée te soutiendra toujours, quoi qu'il arrive, c'est à la vie à la mort entre nous... Je placerai l'Austrasie en position de vassale fidèle de notre Orcanie. Et me placerai en mère mais aussi en belle mère ou encore ne grand-mère aimante.

Elle se détacha du tyran soumis...

- Là, je dois vaquer à mes nombreuses obligation, recevoir dignement ma puinée la divine Morgane, assurer que le mariage royal se passe au mieux, aider mon époux à la mise au point de la croisade anti-dragon... mais suis là, dès que tu le souhaites, comme toujours...

Elle se dirigea vers la porte, son regard aimant tourné vers Mordred ...

» Convocation de Cromwell (PV Mordred)
» Convocation ( pv Anna et Kaarl )
» * Convocation du conseiller Berem *
» * Convocation de Morgane * ( pv : devinez ! )