Dans les jardins de Glastonbury (pv Émérick)

Son voyage jusqu’à Glastonbury fut certes ennuyeux, mais la duchesse en profita, pour s’occuper de sa perle. Depuis neuf mois, elle ne cessait de tourner les pages de sa vie. Laisser le passé derrière elle. Oublier et seulement oublier.

Il n’y aura plus que toi et moi, ma belle, lança la duchesse à sa petite princesse, qui fit un bec mouillé à sa mère.

C’était sa promesse. Elle ne se laisserait plus jeter comme une poupée de chiffon.

Avec la première semaine vécue a Glastonbury, Blanche se sentait renaître. Il n’y avait plus personne pour la faire fâcher et refroidir. Même si les habitants du château la trouvaient un peu mal commode Et certains disaient qu’elle agissait comme une adolescente …

Mélissandre avait trouvé un moyen presque infaillible, pour fuir sa mère. Marcher à quatre pattes! Et fuir, pendant que sa mère redevenait une adolescente courtisée ! Et l’ex-maîtresse du roi en prenait plaisir …

Des quelques gardes du château, plusieurs parmi eux la courtisaient. Ils se fichaient bien qu’elle fut la maîtresse de leur roi.

Un parmi eux prenait plaisir à lui glisser des poèmes sous sa porte de chambre. Une plume toujours signée anonyme. Qui avait dit que l’amour courtois était mort ?

Pour elle l’ère de Camelot renaissait. Là où les chevaliers du roi la regardaient au passage. L’ère où, elle riait en disant non et créait de ce fait même un désespoir chez un homme. Non, elle n’était pas une de ces filles qui courtisaient les hommes, pour se rendre intéressante, mais elle préférait se garder seule le plus longtemps. Mais l’homme qu’elle regrettait était celui qui avait tous fait pour avoir son cœur et qu’elle avait du dire : non.

Une erreur qui lui coûtait bien cher après l’Orcanie, puisqu’elle ne l’avait jamais revu.

Parfois, elle repensait à Mordred, mais elle s’arrêtait souvent sur le même point. Et elle s’en fichait bien. Mordred ne l’aimait plus, alors, elle faisait ce qu’elle voulait. Ce n’est pas parce qu’il était le père de sa fille, qu’elle l’attendrait indéfiniment. Elle voulait continuer de vivre …

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Ce matin la, Blanche se rendit dans les jardins. Elle savait qu'elle y serait seule. Elle avait déposé Mélissandre sur la verdure qui ne tarderait pas à s'éclipser l'hiver venu.

Mais la jeune enfant, déjè apte à se déplacer, avait quitté la surveillance de sa mère.

Et la jeune mère s'en rendait point compte. Mélissandre entamait son cinquième mois de naissance. Elle était avide de tout connaitre et sa curiosité débordait.

Quand Blanche s'en rendit compte, Mélissandre levait yeux devant un homme géant. Si elle aurait été plus vieille, elle aurait sourit, mais la jeune enfant semblait terrorisée devant la posture du garde .

Émerick avait voulut prendre un peu d'air nouveau, l'Orcanie l'ennuyait un peu ces temps-ci et l'idée de son cousin, de faire une croisade contre ce maudit dragon ne le rassurait pas ...

Puisqu'il savait que la Duchesse Blanche avait été logée à Glastonbury, il avait décidé d'y faire un petit séjour ...
Il savait aussi qu'elle avait une fille, mais il ne l'avait jamais vu et il ne connaissait pas son nom ...

Il se dit que ce serait une bonne occassion de rencontrer la jeune femme et la petite demoiselle ...

Il se promenait donc dans les jardins, tôt le matin, lorsqu'il aperçu l'enfant par terre ...
Il regarda dans les environs, mais ne vu personne ...

Il se baissa puis prit la jeune fillette, même si celle-ci était terrorisée et lui dit, tout gentiment:

- Hum ... Je crois que tu es en fuite, hein ? ...
Tu sais que tu es jolie ?
Viens, on va essayer de retrouver ta maman ...

Il se doutait que sa mère était la duchesse ...

Mélissandre offrit un doux sourire a l'héritier des Orcades. Il était gentil de sa part de la prendre dans ses bras, le sol était un peu froid pour notre charmante poupée.

Blanche quant à elle, avait reçu une lecon de la gouvernante au sujet de sa fille. Cette vieille folle ne resterait pas longtemps. Aussitôt dit, la duchesse fit les jardins, pour retrouver son coeur sur quatre pattes.

En avançant, la jeune duchesse se sentait soulagée de voir Mélissandre dans les bras du prince.

Votre altesse, s'inclina Blanche.

J'espère que ma fille ne vous a pas causé de soucis.

Mélissandre aimait bien le tableau présenté : sa mère à moitié essoufflée et elle dans les bras d'un parfait inconnu.

Depuis qu'elle se déplace seule, elle veut aller où bon lui semble

Il avait vu juste, la fillette était bien celle de la Duchesse ...
Il sourit à cette dernière et regarda l'enfant;

- Tu as fais peur à ta maman ! ...

J'espère que ma fille ne vous a pas causé de soucis

Émerick aimait bien les enfant,s alors pourquoi ce serait un soucis pour lui ...
Surtout que cette petite était trop mignonne ...

- Un ange à quatre pattes n'a jamais causé d'ennuis ...

Puis, pinçant doucement le nez de la demoiselle, il dit;

- N'est-ce pas petit ange ?

Il revint à la mère et dit:

- Quel est sont nom ?

Lorsque le prince annonca à l'enfant, qu'elle avait fait une peur bleue a sa mère, Méli se mit à rire.

Et bien, moi si !

Quand Émérick lui pinca le nez, Mélissandre entreprit de lui emprisonner ses doigts. La fille de Mordred déposa sa tête sur le torse du futur roi et regarda sa mère.

Je l'ai prénommé Mélissandre.

Blanche passa sa main sur la joue de l'enfant et revint vers le prince.

Que faites-vous dans château perdu au fin fond de la Bretagne, Votre altesse ?

Sans en montré le dédain, mais le prince pouvait vite convenir que la duchesse se sentait complètement seule

Émerick eut un beau sourire envers la jeune fille de la duchesse ...
Elle était belle et éveillée !

Lorsqu'elle lui emprisonna le doigt, il rit de bon coeur et trouva attendisant lorsqu'elle posa sa tête contre lui ...

Je l'ai prénommé Mélissandre

C'est un très beau nom, en effet !
Si je ne m'abuse, cela veut dire que votre chère petite fille est un peit brouillard de mer !!

Certes, le prince blaguait ...

Que faites-vous dans château perdu au fin fond de la Bretagne, Votre altesse ?

J'avais besoin d'un peu d'air frais, et nouveau ...
Avec tout ce qui se passe en ce moment, je ne sais plus où mettre de la tête ...

Si vous le voulez bien, appeler moi seulement Émerick ...

Peut-être ! Mais ce que je sais c'est qu'elle est une merveille.

Blanche était surprise du tact de son ami. Mélisandre était une petite boule de nerfs. A croire qu'elle aimait bien les hommes

Je crois qu'elle vous aime bien Émérick.

Mélissandre faisait son pacha royal dans les bras de l'héritier

Désirez-vous que je vous met des appartements à votre disposition ?

Blanche n'avait pas envie de le voir quitter de si tôt. Dèjà un peu de compagnie lui remontait le moral

hj : Bon, pour info Glastonbury c'est en Orcanie et non en Bretagne même Wink

hj: Ok !

Émerick trouvait bien touchant tout l'amour que portait la duchesse à sa fille ...
Il aurait aimé que sa mère en fasse autant, mais ce qui était passé restait dans le passé ..

Peut-être ! Mais ce que je sais c'est qu'elle est une merveille.

- Oui ...
Elle est merveilleuse, vous êtes très chanceuse ...
Et moi aussi ...
J'aurai cru qu'elle aurait crié de toute ses forces lorsque je l'ai prise, mais elle à l'air de bien se plaire ! ...

Il passa sa main sur la minuscule tête de Melissandre et accepta avec plaisir la proposition de la Duchesse ...

- Si bien sûr, je ne dérange pas ...

Elle pleure rarement. C'est ce qui fait son charme. Avec les servantes du château, elle fait quelques fois des crises, mais elle est habituée à sa mère. Mais elle n'a pas encore vécu l'amour véritable d'un père présent. Et elle s'attache facilement, à n'importe qui.

Mais Blanche savait que si elle oserait prendre Mélissandre dans ses bras, maintenant, la petite pleurnicherait sans cesse.

Lorsque le prince passa sa main sur sa tête , Mélissandre gazouilla , ce qui fit rire la mère.

Vous ne me dérangez aucunement et je crois que la petite princesse sera heureuse.

Méli était trop occupée ajouer avec l'habit du prince héritier, pour ce soucier de leur conversation tout à fait inconnue.

Quand Blanche caressa la joue de sa fille, celle-ci se tortilla et présenta ses bras à l'héritier.

Émerick sourit en entendant dire que Mélissandre n'était pas du genre à pleurer ...
C'était plutôt rare chez les enfants ...

Mais elle n'a pas encore vécu l'amour véritable d'un père présent.

Émerick ne voulait pas rappeler cette douleur, mais il ne pu s'empêcher de dire:

- Et elle ne le conniatra surement jamais ...
Et ca, c'est dur pour un enfant ...
J'ai moi-même été abandonné et ... on ne s'en remet pas si facilement ...

Émerick aimit bien cette petite douceur qu'était Mélissandre ...
Il pouvait ainsi ce rendre compte que certaines choses de la vie sont fondamentales et que cette petite l'était pour la duchesse ...
Lui aussi aimerait être père, mais ses obligations de souverain l'empêcheraient souvent de les voir, s'il en avait ...

Vous ne me dérangez aucunement et je crois que la petite princesse sera heureuse

- Cela me ferait bien plaisir de rester ...

Elle ne le connaîtra jamais , car je ne veux pas qu'il entre dans sa vie. Je ne veux pas qu'elle souffre de son absence.

Pour Blanche tout était pré-établie. Mordred n'entrerait jamais dans la vie de Mélissandre, jamais en tant que père.

Elle cherche un peu Mordred , mais sa mère lui suffit, pour le moment .

Blanche finit par donner le doudou à Mélissandre qui se frotta les yeux avec et finir par le mâchouiller.

Mais je suis sure que votre mère s'en veux chaque jour

Même malade, la duchesse restait avec le sourire. L'abandon d'un mère, peut parfois devenir haineux, mais l'abandon d'un amant était douloureux.

Alors bienvenue à Glastonbury

Émerick comprenait Blanche de ne pas vouloir Mordred dans la vie de sa fille, mais un jour, Mélissandre aura à savoir qui il est et aura besoin de l'affection parternel ...

- Je comprends votre réaction, mais elle aura besoin de lui un jour ...

Mais je suis sure que votre mère s'en veux chaque jour

Émerick ne désirait pas parler de ca, mais il avait lui même commencer à en parler ...

- Je n'en sais rien, mais je sais qu'elle n'a jamais cherché à me retrouver ...
Depuis qu'elle a refais sa réapparition aux Orcades et qu'elle sait que je suis en Orcanie, elle ne m'a jamais convoqué ...

Alors bienvenue à Glastonbury

Merci ...

L'air était froid un peu alors il enleva sa cape et enveloppa Mélissandre ...

- Il ne faudrait pas que cet ange soit malade ...
À cet âge, c'ets pénible d'être souffrante ...

Avez-vous froid, duchesse ?

J'aimerais que ce jour n'arrive jamais.

D,un coup Blanche se sentait cruelle, envers sa fille. Elle avait adoré son pèere pendant deux jours . Mais était-ce simplement une adoration. Mélissandre ne comprenait rien de son monde. Elle était trop jeune ...

Mais je redoute qu'un jour, elle me demandera où est son père.
Blanche écouta le jeune homme et répondit :

Elle vous laisse l'initiative. Pour elle, vous êtes le roi des Orcades. Elle ne veut pas vous brusquer.

Elle ne vous oublie pas. Si je sais une chose, c'est qu'une mère ressent les malheurs de ses enfants. Je suis sure que chaque jours, elle espère vous voir franchir les portes de la salle du trône.
Lorsque Mélissandre se sentit envelopper , la jeune enfant se tortilla un peu. Méli machouillait son doudou.

Avez-vous froid, duchesse ?

Non, tout va bien. Mais nous devrions rentrer avant que vous attrapiez froid.

J'aimerais que ce jour n'arrive jamais.

- Ne dites pas cela ...
elle aura besoin de le connaitre ...

Les paroles de la duchesse avaient plein de bon sens et étaient remplis de sagesse ...

Si je sais une chose, c'est qu'une mère ressent les malheurs de ses enfants.

- Et votre fille sera malheureuse, j'en suis sûre, lorsqu'un jour vous lui interdirez de voir son père ...
Mordred n'est pas un homme mauvais, mais seulement inconscient de ce qu'il fait ...
Il croit que tout lui ai permis car il est le Roy, mais ce n'est pas ca la réalité ...

Méli se tortilla et Émerick la tint fermement pour en pas qu'elle tombe

Non, tout va bien. Mais nous devrions rentrer avant que vous attrapiez froid.

Bonne idée !

Mais Blanche était têtue. Elle ne voulait plus de Mordred., même si cela lui faisait beaucoup de mal. Il l'avait détruit en une soirée.

Elle en aura la permission lorsque je ne serais plus de ce monde. Le jour qui fera plaisir à sa Majesté ...

Car quel plaisir ce ferait le roi sachant qu'elle aurait trépassé

Méli avait regardé sa mère avec un drôle d'air. Pourquoi cet air si haineux ? Pourtant, elles s,étaient bien amusé avec son père. Un amusement de trop pour la duchesse.

Jamais la duchesse n'accepterait le dédain de son amant.

Il ne m'as jamais aimé

fini par dire la duchesse.

Qu'elle pouvait être sotte de l'avoir compris aujourd'hui.

Émerick comprenait ce que la duchesse ressentait, mais elle ne pouvait pas continuer de se faire aussi mal en pensant à Mordred ...

Elle en aura la permission lorsque je ne serais plus de ce monde. Le jour qui fera plaisir à sa Majesté ...

- Ne dites pas cela ...
Mordred n'a ... n'a pas eut le choix, dans un sens ...
Il a une image de souverain à conserver ...
Il vous aime, j'en suis sûre ...

Il posa sa main sur l,épauele de la jeune femme et dit :

- Essayer de ne plus y penser pour l'instant ...

Blanche se demandait comment , elle pourrait ne plus y penser, Mordred était quelqu'un de spéciale, pour elle. Ils s'entendaient bien, du moins, avant la naissance de Mélissandre.

Depuis la naissance de Mélissandre, il m'a écarté, comme s'il ne m,avait jamais connu.

se confia la jeune femme.

Que voulait dire cette main ? Tentait-elle de la rassurer ?

Essayer de ne plus y penser pour l'instant ...

J'essayerais. Mais je ne vous promets rien ...

Le prince des Orcades avait toujours eu mauvaise réputation, mais la jeune duchesse savait bien qu'il avait changé. Depuis ce jour, au banquet en l'honneur de l'ambassadeur, son père. S'il ne l'avait pas fait, et bien Blanche le croyait. Il n,était plus le même

Depuis la naissance de Mélissandre, il m'a écarté, comme s'il ne m'avait jamais connu.

- Je comprends ...
Mais il faut passer à autre chose
Car vous vous torturer en faisant cela ...

Il voulait la rassurer, parce que la jeuen femme en avait grandement besoin ...

J'essayerais. Mais je ne vous promets rien ...

Pour rire, il dit;

- Je suis un Roy, vous êtes obligé de me promette ...

Il regarda Méli et dit;

- allez, dis le à ta maman ...

Je sais.
Le prince se faisait si gentil avec elle. Même si elle ne le méritait point de sa part. Elle qui l'avait toujours ignoré.

Je suis un Roy, vous êtes obligé de me promette ...

Blanche souriait et Méli regardait avec des grands yeux et un sourire installé sur ses minces lèvres. Un tendre regard vers sa mère et Blanche n'osait croire que cette enfant venait de Mordred.

Je vous promets que je l'oublierais pour l'instant

Blanche pinça doucement le nez de l'enfant qui se cacha la figure à l'aide de son doudou.

Je vous promets que je l'oublierais pour l'instant

Émerick était bien content de savoir cela ...

- Si vous avez envie de compagnie, il me fera plaisir de rester pendant quelque temps ...
Vous passez une période difficile et cela doit être pénible de passer cela seule ...

Il regarda Méli se cacher le nez avec la cape et Émerick, lui, la cacha entièrement et dit mine de la chercher ...

- Où est Mélissandre ?

Il se tourna vers Blanche et dit;

- Vous L'avez vu ?

Blanche rougit face à la proposition de l'hérétier qui ne se refusait pas...

Non, je l'ai point vue.

Mélissandre se défit de la cape, un sourire un lèvre.

Elle s'assuya de nouveau les yeux et soupira.

Je crois que son sommeil vient la chercher plutôt que prévu.

Le voyage était pénible, pour l'enfant, et elle avait besoin de repos. Dans quelques instants, ils franchiraient la porte de Glastonbury et Mélissandre irait se faire chouchouter , dans son bain, avant de prendre sa ration et faire de beau rêve

Elle a de la misère à voyager, la pauvre

Mordred avait désiré ne pas laissé de répit à sa fille qui en avait besoin

Je crois que son sommeil vient la chercher plutôt que prévu

Émerick, attendrit par la petite Mélissandre, posa un bec ur le front de celle-ci ...
Cela ne faisait que quelque instant qu'il la conaissait et il aimait beaucoup ...

- Oui, mais attention, quand elle se réveillera, elle sera pire qu'une tempête !

Elle a de la misère à voyager, la pauvre

À son âge, c'est bien normal ...

Puis, se détachant du sujet, il dit;

- Vous savez, si vous ne vous plaiser pas à Glastonbury, vous serez toujour sla bienvenue, vous et votre fille, aux Orcades ...

Blanche ne put s'empêcher de rire.

Elle est une douce tempête.

- Vous savez, si vous ne vous plaisez pas à Glastonbury, vous serez toujours la bienvenue, vous et votre fille, aux Orcades ...

Blanche regarda l'héritier et baissa-le regard.

Je ne voudrais pas vous embêter, vous et votre mère.

La jeune duchesse se sentait si mal. Elle avait fait de faux espoir au jeune homme et maintenant celui-ci , désirait presque la plaire.

Votre demande fait tout de même plaisir à entendre

Blanche ne refusait pas, mais elle hésitait.

Je ne voudrais pas vous embêter, vous et votre mère.

Émerick était un homme qui aimait la compagnie de gens sympathique et celle de Blanche lui plaisiat beaucoup ...
à dire même que Blanche lui plaisait beaucoup ...
Et la petite était si charmante ...

- Vous ne m'embêteriez pas ...
Et pour ce qui est de ma mère, elle n,aura d,autre choix que d'accepter votre présence si vous décidiez d'accepter ma proposition ...

Avec un bras, il tenait Mélissandre, et avec l'autre main, il remonta le visage de la duchesse ...

- Souvenez-vous de ce que je vous ai dit, la dernière fois ...

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