Le retour

Après avoir laissé la reine sur bonne surveillance, il était descendu jusqu'a; la salle du trône et puis avait prit le temps de s'informer les dernière nouvelle.

Reprenant le chemin, il eut rictus de savoir que Mordred avait échoué. Le roi dont tout le monde clamait la force de son armée, avait été dejoué par le Roi Baleagant.

D'un pas pressant, il entra dans la salle du trone ou se trouvait prsentement le roi.


C'est fait Majesté. La reine est de nouveau entre vos mains. Je suis permis, puisque les appartements de la reine ne sont plus qu'un simple tours pour les hommes de se Mordred, je l'ai placé dans les cachots attendant votre décision.

Baléagant soupira longuement puis, adressa un large sourire à son soldat. Enfin, cet imbécile de Mordred allait comprendre qu'il n'avait pas du tout affaire à un lâche...Bien au contraire, Baléagant se savait bon combatant et les frêles et frais-chier orcaniens n'avaient qu'à bien se tenir...La mort les guêttait.

Le seigneur se leva et deposa une main chaleureuse sur l'épaule de son guerrier, geste qui d'ailleur, ne lui était pas souvent attribué.

- Votre travail est grandement apprécier Dunwyd, votre innitiative tout auttant. Aller vous reposer, puis demain, pensez-y bien, je tient à ce que vous alliez me trouver thomas et aussi...Notre prisonier va devoir répondre à notre intérogatoire...

Sur ces paroles, Baléagant assena une légère tape sur l'épaule de Dunwyd et alla reprendre place sur son trône. Il humait déjà la douce odeur de la victoire. La grande famille des McKeiths était sur le point de céder tandis que leur fils, un certain Vohan, périssait dans un des trous Orcannien pour trahison...

Baléagant ne put s'empêcher de sourire à cette penser quand soudain, une idée surgit de l'ombre et vint loger dans sa tête. Une idée bien simple mais efficace.

- Oh et Dunwyd...Vous savez ce qui est advenu du fils de Conan McKeith? D'après les rumeurs, il serait arrété ou, en voie de l'être, qu'importe. Je tiens à ce qu'à votre prochaine visite sur le domaine McKeith, vous faisiez un compromis avec le seigneur du clan. L'Écosse contre son fils...Je suis sur que vous pouvez faire quelque chose pour moi...Rejoingner Ederlaine et Thomas, ils pourront facilement vous faire pénétrer l'enceinte du château...

Sur ce, le seigneur se servit un petit verre, faisant danser l'alcool sous le regard de son soldat. Il allait écraser Mordred...Comme l'on écrase le coeur d'une faible femme...

Donc le fils de McKeiths se serait fait attrapper. Psa mal! Donc, le temps allait de surprise ne surprise,

Et vous croyez sincerement qu'un homme comme Conan échangerait ses terres contre un fils qui l'a renié ? Du moins, de mon avis, il faudrait être certes stupides.

Croyant avoir exprimé son opinion personnel, il se retira pour repartir une fois de plus vers une autres destinations qui lui annoncerais des surprise

Baléagant stoppa Dunwyd dans sa manoeuvre de départ. Le pauvre, il avait mal compris. Le seigneur ne pouvait certainement pas posséder l'Écosse! Certe non! Mais son coeur, ses lames et ses vies pour une cause bien simple. Illiminé Mordred.

En effet, une haine pour le pseudo-tyran s'était propager en Écosse. Pas seulement pour le ridicule inccident de la trahison, bien sur que non. En fait, l'arrogance de Mordred face à tout les obstacles lui barrant la route devenait de plus en plus irritant pour les seigneurs.

De plus, Mordred avait prit la mauvaise habitude de promettre sans possédé. Apparemment, une bonne partit de ce qu'il ne possédait pas appartenait déjà a divers sirs ayant promis leur assistance pour la guerre.

- Je ne parlait pas du pays mon cher Dunwyd! Mais des hommes y regorgant! Les McKeith sont la famille la plus influente d'Écosse! Même le roi de ce pays en demande conseil au seigneur Conan pour ses importantes decisions! Maintenant aller, je veux qu'Ederlaine disscute avec Conan. De tout mes serviteur loyaux, elle est celle qui a le plus d'Adresse face à la négociation...Vous partirez avec Thomas espionner un peu ce qu'il se passe chez notre grand ami et vous esquorterai ensuite la belle dame près du seigneur McKeith.

Encore cette Ederlaine. Dunwyd avait un mépris pour cette femme et pour toute celle qui tentait de se mettre pied d,égal aux hommes.. Ne pouvant pas discuter des ordres donné par le roi de Gaurres, il broncha intérieurement.

Et qui est-elle monseigneur. Est-il vraiment obligé qu'elle vienne?

Têtu et dégoutant étaient les aspects de la personnalité du chevalier. Il n'aimait pas les femmes. Il leur vouait une haine sans merci. Elles étaient trop manipulatrice.