* Audiences et doléances * ( pv Blanche, et qui veut )

Comme chaque jour, le roy Mordred recevait quelques uns de ses fidèles sujets afin de répondre à leurs souhaits ou demandes ... Et rendre Justice aux uns et aux autres : lourde tâche et fastidieuse occupation ...
Mais nécessaire afin de maintenir la confiance du bon peuple et assurer une plus grande emprise sur lui .

Mordred se tenait donc sur son trône, en grande tenue, couronne juchée sur son royal front et son sceptre en main .
Blanche était, évidemment, à ses côtés et l'assisterait de son mieux lors de cette séance tout à fait cruciale pour elle : la toute première ...

Sa douceur naturelle serait sans doute un précieux contrepoids à l'autoritarisme de plus en plus prononcé de son terrible époux .
Un juste équilibre devrait donc s'établir, pour le plus grand bonheur des orcaniens .

Bientôt les grandes portes de la salle du trône allaient s'ouvrir, laissant le passage à toute une troupe de solliciteurs et quémandeurs : les souverains personnages allaient devoir faire face, ensemble, et remplirent leurs fonctions ...

Avant cela, le Roy déposa une main apaisante sur le bras de sa belle amie :

Vous n'êtes pas trop nerveuse, j'espère ?

( HJ : Après le post de Blanche, j'invite les membres intéressés, et surtout le MJ, de poster ici avec des pnj, merci ) Wink

Pour la première fois ? Non, Blanche avait souvent assisté dans son enfance avec Arthur et la reine a ce genre de séance.

En plus de susciter la curiosité de la jeune enfant, les deux personnages royaux avaient toujours considéré la jeune colombe comme leur fille.

Même que certaine fois, le roi s'attira la colère de quelques conseillers...

Sur les deux trône, "trônaient" la différence. Jamais Blanche n'agirait en colère, seulement si elle sentait sa vie menacée.

La jeune femme n'eut qu'un sourire pour le tendre geste. Elle déposa sa main sur celle du roi et répliqua gentiment.

Il y a une première fois a tout.

Et puis, vous êtes près de moi, je ne peux que me sentir rassurée.

Les audiences pouvaient commencer. Blanche était en parfaite confiance avec son royal époux et ne pouvait que se montrer digne de lui ...

HJ : Alors ?
Personne pour se dévouer ?! ^^

HJ: Demain^^ La jvais voir Kidman sur RTL9

hj : ça peut p'tet t'inspirer ^^

[hj:Bon ok le temps de sortir le barbu du jeu et je m'y colle]

Un paysan barbu entra dans la salle sous la surveillance des gardes, accompagné d'un autre paysan (que Talbot pourra jouer^^). Ce barbu dodu puant la vinasse était violacé par la colère.

Vos altesses! Grand honneur tout ça d'être reçu par vos altesses mais ce... Ce...

Le visage violacé du paysan le devint encore plus alors qu'une veine sur sa tempe semblait grossir... Il devait chercher un langage plus poli, moins ordurier pour parler du paysan qui l'avait suivi afin de nr pas choquer Blanche....

C'déboité du croupion ravage mes champs en y faisant passer ses vaches! Ce depuis un bon mois au moins! Mes belles récoltes sont piétinées! Et si j'ai pu de récoltes? Comment moi, votre fidèle Guethenoc pourrait payer vos impôts?

Guethenoc se tourna alors vers le second paysan, Roparzh, et il le prit à partit en vociférant.

Non mais vous allez faire chier le monde pendant combien de temps vous encore avec vos vaches pourries là, hein ?! Vous voyez pas qu’vous êtes pas fait pour l’agriculture ?! Hein, vous avez qu’a vous recycler dans la mendicité ! En plus, vous avez… vous avez déjà la t’nue !

[HJ : mdr on a eu la même idée]

La séance de doléances commença donc par le cas des deux agriculteurs Orcaniens. Ce qui ressemblait de prime abord à une simple dispute de voisinage se transformait petit à petit en sabotage de part et d'autre. Les deux responsable, pour une fois d'accords, s'étaient donc rendu au château pour plaider leur cause devant le roi.

Le premier des deux s'avança et salua le roi et la reine. Une forte moustache trônant sous son nez ne déteignant en rien avec les habits crasseux qu'il portait au dessus de sa lourde carcasse boucanant à des pieds à la ronde. Il exposa la situation, de son point de vue, qui fit bouillir son rivale qui ne se priva pas d'intervenir directement

- Sir, j'viens devant vous en défiance de celui là. Dit il en montrant du doigt son rivale. Cela fait plusieurs mois qu'je perd systématiquement des bêtes lorsqu'elles vont paître près d'chez lui. Certaines meurt empoisonnées quand elle ne sont pas tout bonnement abattues. Je vous demande donc assistance avant que je me vois dans l'obligation de faire partir sa baraque en fumé.

Il se tourna vers Guethenoc.

Faut rentrer chez vous mon bon monsieur là et laisser travailler les honnêtes paysans. J'srais à vot place j'me méfierais, vous avez affaire à un passionné de violence n'y voyez aucune malice, parce que moi s'ayais j'ai les nerfs qui commence à vriller ! J'vais vous mettre un pain dans la gueule quelque chose de violent, ce s'ra un hymne à la cruauté !

A peine la séance avait débuter que les deux pécores, qui ne connaissait sûrement pas la connaissance de la salle de bain, joutaient déjà, donnant un triste spectacle du monde agricole.

Mordred tapota les mains de sa reyne, et accueillit les deux paysans avec un sourire des plus forcé : le calvaire allait pouvoir commencer ...

Et le roy ne fut guère "déçu" : outre l'aspect "proprement" repoussant des deux bougres et le langage atroce qui allait avec, ceux ci avaient décidés d'assommer leur souverain avec des litiges plus que ridicules !

On était loin des débats de hautes volées concernant le conflit Rome-Camelot ( d'ailleurs en voie de règlement ), mais régner c'est aussi cela : gérer la banalité du quotidien ...

Enfin tout de même : voilà pourquoi Mordred préférait confier ce genre de séance à ses conseillers, alors que lui se chargeait de recevoir les ambassadeurs et autres dignitaires importants, en audience ...

De plus les deux ostrogoths faillirent en venir aux mains, mais un garde s'interposa avant que la querelle ne tourne au pugilat .

Mordred, atterré, une main masquant ses yeux pers, en avait déjà assez ...

Puis il tonna :

Silence vous deux !
Tâchez de vous tenir : ou je vous fait fouetter en guise de réponse !

Ceci étant dit, il s'agissait de traiter le problème présent : passionnant ...

Mordred considéra l'éleveur de vaches :

Dites moi,
Pourquoi ne vous efforcez vous point d'emprunter un autre trajet, et faites vous cheminez vos bêtes par ce champ ? De même pourquoi ne point encadrer vos vaches dans un enclos, sur vos propres terres ? Et puis ... Vous ne surveillez donc pas vos bêtes, vous et vos "gens" ?

Le roy s'interrompit et toisa l'autre paysan :

Vous aussi : vous devriez installer des clôtures autour de votre champ, afin d'éviter ce genre de désagrément ! De plus, les destructions occasionnées sont elles si ... conséquentes que cela ? Enfin, que répondez vous aux accusations de l'autre plaignant ? Reconnaissez vous avoir porté atteinte aux vaches retrouvées ... trépassées ^^

Mordred soupira, pensant n'avoir rien oublié, puis s'adressa à sa belle amie :

Ma mie : avez vous quelconque conseils a me suggérer afin de pouvoir rendre justice à l'un et l'autre ?

Blanche avait peut être d'autres idées ou propositions à l'esprit ...

[Bon je délire ou pas ? Il me semble avoir déja vu une histoire comme ca ? Dites le moi, les gars si vous sortez ça d'un truc du genre Kaamelot. Parce que je cherche ou j'ai bien pu voir ça et ca me ronge ]

Avec son intelligence de nobliaux féminin, la jeune reine ne put s'empêcher de sourire et porter sa main sur l,épaule de Mordred.

Wilfried était du genre a raconté des histoires d'audiences, pour faire rire ca colombe. À voir que l'orcanie n'y échappait pas.

Ma mie : avez vous quelconque conseils a me suggérer afin de pouvoir rendre justice à l'un et l'autre ?

Vous n'avez pas tort, mon roy. Par conséquent sachant que tous deux s'engagent a respecter vos idées, vous pourriez leur allouer une somme quelconque , pour leur clôture respective ?

Quelle meilleure manière de faire accepter ce marché...

Les deux paysans devraient sans broncher accepter l'idée du roi.

Et Mordred pouvait tant refuser ou d'accepter, mais avec ses conditions ...

[HJ: Bravo Blanchette^^]

Alors que Guethenoc était repoussé par un garde, et que Roparzh menaçait de le frapper, le barbu dodu lança une dernière menace:

Attention, attention… On va en arriver à des extrémités, il y a des granges qui vont se mettre à flamber, faudra pas demander d’où ça vient…

Et il dut écouter les royales propositions:

Une clôture, quelle belle idée! Mais avec quel argent? J'économise mis avec mes économies j'ai que de quoi combler les pertes afin de payer l'impôt! Et après y a la dîme!

Puis il se tourna vers l'éleveur qui déclarait que ses vaches se faisaient tuer.

Et vous! Commencez pas à noyer la peau de l’ours avant d’avoir vendu le poisson! Sir! Vous avez pas vu ses vaches? Y a que de la peau sur les eaux, pas étonnant qu'elles retournent à la poussière ses... C'est des cadavre ambulant, y a pas de viande à en retirer!

Mais Mordred lui demandait de reconnaître sa responsabilité dans la mort des vaches?

Qu'est-ce que vous voulez-vous insinuier Sire ?

Demanda le brave Guethenoc, lorsque Blanche proposa que le roy finança les clotures.

Eh bien Vot'e Altesse, je vous félicite pour cette idée! C'es vraiment géné euh.. gentil, Reyne Blanche.

Répondit alors Guethenoc en s'inclinant devant Blanche... L'opération charme avait marché, Blanche avait déjà occulté Ophélia dans l'esprit des paysans orcaniens....

Le paysan écouta les ordres du roi non sans bouillir intérieurement.

Sir, nan mais là autant d'habitude c'est pas mon genre d'faire des histoires autant là j'crois qu'on est arrivé à des limites et si on freine pas des quatre fers maintenant dans pas longtemps ce s'ra trop tard.
J'ai bien essayer de contenir les bêtes en construisant un mur autour de ma parcelle, seulement st'espèce de pourceau et venu me souffler dans les bronches comme quoi qu'ça lui faisait de l'ombre.
Sans compter qu'il s'prive pas de piétiner mes cultures alors moi j'vous l'dis, attention parce qu'ya de l'opération coup de poing dans l'air!

Il sortit encore de ses gonds lorsque le rivale moustachu feint l'innocence.

Je l'ai vu sur mes terre, il rodait près de mes bêtes de façon subrogative en tapinant.
J'ai bien essayer de le courser pour donner ses miches à becter à mon chien mais le saligaud a réussi à s'enfuir.
Je suis sur que s'tai lui il à tellement tendance à poquer du derche qu'on le repère à des lieux à la ronde.
Alors j'vous dis ça c'est pour vous pour pas qu'vous soyez embêté mais moi j'vous l'dis hein l'autre là un de ces quatre matin il va se réveiller il sera entièrement décéder.

Roparzh pris le roi et la reine à témoin lorsque le gros Guethenoc tentait de charmer la nouvelle épouse du tyran.

Oui bien sur c'est au sujet de quoi tes ? Vous l'voyez qu'il est de mauvaise fois l'animal. Il a de qui tenir en plus ce fils d'unijambiste qui pas plus tard qu'hier c'est endormie dans le foin pour se faire chier dessus par un bouc !

"Vous n'avez pas tort, mon roy. Par conséquent sachant que tous deux s'engagent a respecter vos idées, vous pourriez leur allouer une somme quelconque , pour leur clôture respective ?"

Certes ...

Fut la seule réponse de Mordred, aussi pertinente qu'était l'idée de la reyne, puisque son époux avait l'esprit tout accaparé par les deux zouaves qui se déchiraient sans aucune retenue devant eux ...

Quel spectacle lamentable et quelle image pour le royaume : c'était impressionnant ... d'absurdité .

"Qu'est-ce que vous voulez-vous "insinuier" Sire ?"

S'en était vraiment trop !

J'insinue nullement !
Je t'accuse le gueux !!
Alors réponds moi à l'instant !
Nies tu ces accusations ?!

Clama le tyran en écrasant un poing vengeur sur le bras de son trône .

D'autant plus que l'autre bougre en ajoutait une couche en proférant d'autres griefs à l'encontre du "cultivateur" ... Mais peut être était il, lui aussi, de mauvaise foie et profitait allègrement de la situation . Il fallait faire taire ces idiots tout en les mettant, enfin, d'accord :

Sieur Roparzh !
Ne cherchez point a couvrir votre contradicteur de tout les péchés de la Terre : vos fautes ne sont pas moins légères !

Aussi, je décide ...

Mordred s'éclaircit la gorge, puis rendit son jugement :

Que vous, sieur Roparzh, devrez finir d'élever votre mur ainsi qu' une cloture autour de vos champs, ceci afin de laisser suffisamment d'espace à vos bêtes pour paître et se mouvoir, sans pour autant empiéter sur les parcelles de votre voisin !

Vous recevrez les fonds nécessaire afin de financer vos travaux et ... de quelques autres piécettes pour les vaches retrouvées mortes .

Si d'autres de vos bêtes venaient a disparaître de la même façon, votre voisin se verrait contraint de vous dédommagez !

Au contraire ... Que ses propres champs soient encore dévastés et c'est vous qui devrez en rendre compte, avant d'être amendé !

Mordred, satisfait de lui, se tourna ensuite vers le gros pourceaux :

Sieur ... Guethenoc :
Vous recevrez également une somme pour vos propres installations, ajouté au dédommagement pour vos cultures détruites ...

Mais gare à vous si des vaches de votre voisin venaient encore a trépasser : vous seriez sévèrement châtié !

Et tout deux, je vous invite à la retenue ...
Si quelconques violences se produisaient sur vos terres, vous seriez tenus pour responsables, l'un et l'autre, et mis aux fers !

J'espère mettre parfaitement fait comprendre ?

Voilà qui était dit et bien dit ...

Et Mordred, fier de lui, ne put s'empêcher de jeter une douce oeillade en direction de sa reyne, afin de guetter un semblant d'assentiment dans son bleu regard .

Elle savait que rire n'était pas à l'honneur. Mais elle hésitait sur le plus drôle : Mordred exaspéré ou les deux paysans ?

Lorsque le roi fit signe d'impatience, la jeune reine posa sa main sur son bras. Elle savait que les deux paysans étaient de drôles de zigotos, mais se fâcher ne le mènerait a rien.

La jeune femme sourit au roi et l,écouta de "A à Z".

Drôle de situation pour une première fois. Elle commençait en douceur avec ces deux-la ...

Et à tout deux, je vous invite à la retenue ...
Si quelconque violences se produisaient sur vos terres, vous seriez tenus pour responsables, l'un et l'autre, et mis aux fers !

Tout a été dit.

Blanche ne trouvait pas si mal et s'habituerait a ce rythme de décisions un jour.

Restait l'acceptation des conditions et le bon vouloir des deux sieur ...

[HJ: Opération charme c'était Blanche qui charme les paysans orcaniens qui la reconnaissent en tant que leur Reyne, pas Guethenoc qui la charme^^]

Hum vous nous payez vous nos clôtures, et si il détruit mes récoltes il paye? C'est bien sir! Très bien!

Déclara alors Guethenoc. Il semblait jubiler avant de se souvenir que le roy avait parlé des vaches de Roparzh....

Mais j'ai rien a fais à ses bêtes moi! Pas ma faute si elles ont qu'la peau sur les os et crèvent de maladie! C'ty pas de bonnes bêtes! J'vais quand même pas payer à chaque fois qu'une bête clapse de maladie parce qu'il sait pas les entretenir! J'y ai jamais touché à ses bêtes qui puent la mort, même pas au lance pierre!

La façon dont le paysan était offusqué montrait bien sa sincérité.... Il était braillard et agaçant mais beaucoup trop couard pour oser mentir à son roy... Si les bêtes de Roparhz étaient tuées, ce n'était pas par Guethenoc....

Roparzh se plia aux volontés de ses deux suzerains non sans s'adresser une dernière fois au roi.

La sagesse votre dame mon seigneur.

Lorsque le gros moustachu de Guetenoc critiqua à nouveau ses vaches le sang du pécore ne fit à nouveau qu'un tour.

HO! Nan mais là on atteins des sommations là, moi attention si la contestation marche pas je peux toujours passer au incendie hein. J'vais l'tuer sir, j'vais tel'ment y'taper sa gueule qu'i va décédé. Si j'décide de lui tomber d'ssus à l'ote machin ça va être une tornade, ya plus un meuble debout dans la baraque hein. Tout ce que je demande moi c'est qu'i m'rembourse la bête qui ma buté.

Il fit une pause en tentant de reprendre son calme en vain.

I'm'rembourse la bête ou se s'ra un bain d'sang , j'le génocide. Et si il fil encore la vérole à mes bêtes, je..
j'suis un marteau moi, hein, je crame tout moi, ma ferme, la sienne, celles des autes, le château, j'fais flamber la moitié d'la bretagne.

Bien qu'il gardait difficilement son calme et avait tendance à menacer tout ce qui parlait de ses vaches, le comportement du brave Roparhz ne trahissait en réalité que son attachement à sa seul richesse, son bétail.

Silence !

Pour qui se prenait ce butor pour oser vociférer ainsi en présence de son souverain, en pleine salle du trône ?

D'ailleurs le pauvre Roparzh fut gratifié d'un bon coup de manche de lance dans le flanc, administré par l'un des gardes .

Puis Mordred repris la parole :

Ma sentence a été rendue !

Vous, sieur Roparzh, recevrez un dédommagement pour vos bêtes trépassées ...
Si d'autres devaient mourir votre voisin serait tenu pour unique responsable !
Mais vous : tenez vous tranquille !

Au moindre incident, je vous fait arrêter et pendre !

Maintenant : retirez vous !

Le jugement était rendu : les gardes poussèrent donc les plaignants vers la sortie ...

Tandis que d'autres solliciteurs s'avançaient, à leur tour .

Mordred tapota, en soupirant, les mains de la reyne, puis ordonna :

Prochaines doléances : faites les avancer !

( hj : D'autres peuvent poster !
Mais, Marth et Talbot, si le coeur vous en dit Wink

)

HJ: Faudrait trouver d'autres et là^^

Il aurait été inconcevable pour la reine de rire, même si la situation d'un point était désagréable et d'une autre drôle.

Mais pour ne point irrité le roi, la jeune reine ne fit comme rien n,était et laissa le roi dicter les règles comme à l'habitude.

Jamais elle n'aurait cru que le jugement aurait pu se donner.

Lorsque le roi tapota sa main, la jeune reine lui rendit un agréable sourire, elle espérait qu'il en fasse autant.

Entre eux une drôle de chimie régnait. L'un était la douceur, l'autre la dureté...

La jeune reine défit l'emprise du roi et posa sa main sur la sienne. Il finirait par mettre fin a cette journée.

(HJ:j'ai une petite idée si vous aimez les débiles du genre de Guetenoc et Roparzh ^^)

hj : Te gêne pas ! Wink

Et avec Marth vous faites un excellent duo !! Razz

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