Pas touche au grisbi! PV dirigeants Austrasiens = Morgause

Alicia la corégente d'Austraise fit à son tour son entrée. Son entrevue avec Simon lui avait appris qu'il n'avait rien reçu pour la réparation de son château. Et les messages que lui avaient apporté Nathan lui avait donné quelques précisions sur la question. Nul doute que Morgause avait de bonnes raisons pour cela. De toutes façons il ne pouvait être question de critiquer la régence de sa belle soeur. Elle la soutiendrait si nécessaire et s'arrangerait autrement pour que Simon reçoive l'aide nécessaire.... Le sourire aux lèvres elle saluât Morgause

- Ma soeur vous êtes rayonnante! Mon neveu ou ma nièce sera un fort bel enfant.

Elle saluât Simon ensuite

- Simon je suis heureuse de vous voir. Si la reine Morgause le permet je pense que vous pouvez exposer le motif de votre visite

HJ: le = Morgause était restrictif mais bon c'est pas grave^^

Continuons à trois mes chères amies

[ bienvenue, co-régente d'Austrasie... ]


L'entrée en matière de l'ex intendant était galante mais revendicative.0 Le ton de reproche subtil alerta l'expérimentée reine qui s'apprêtait à répliquer à fleuret moucheté quand la co-régente, Alicia de Blaye, sœur de Marth, fit son entrée. Morgause aimait la jeune femme qu'elle avait adoubée comme co-régente même si cette dernière n'avait pas un caractère que l'on qualifierais de facile. en fait c'était peut -être grâce à ce caractère peu commode que Morgause l'aimait...

Elle tendit un bras désignant un fauteuil à ses côtés à sa belle sœur... et l'accueillant de quelques mots :

- Merci Alicia, ma sœur, j'ose espérer que Marth et moi donneront à notre dynastie le royal poupon qu'elle mérite... Je ne doute pas vu l'énergie avec laquelle il ou elle martyrise mon ventre qu'il ou elle soit digne de ses parents... Je vous trouve moi aussi particulièrement jolie en ces jours d'été... Vous me semblez heureuse... dit-elle sans envie, juste pour faire remarquer que le belle rousse semblait épanouie.

Puis elle indiqua au sire de Metz un autre siège en répliquant :

- Sire de Metz, votre requête, quelque en soit la nature n'empêche pas l'amitié... ses yeux brillaient de malice... je pense que vous devez être heureux, charmant vicomte, de vous adresser à vos deux co-régentes... Mais allez-y, exposez-nos vos désidératas... Nous verrons si nous pouvons vous donner satisfaction !

Morgause faillit rire de son lapsus, appeler l'ex par le nom du remplaçant était drôle... un peu humiliant mais drôle. Elle regarda néanmoins cet "ex" avec un air désolé... il eut fallu peu pour qu'elle n'éclate de rire, sa nervosité face aux affaires orcaniennes était telle qu'elle sentait un besoin de pause pointer son nez.

Bon, elle se repris, regardant avec sérieux ce petit comte, fort mignon et seyant, un brin séducteur. Il était vraiment charmant avec son petit parfum de luxure qui planait dans es yeux. Une femme d'expérience comme la souveraine repérait toujours ce "parfum"...

Zut se dit la reine, à force de contrôler mon rire et de le regarder, je n'ai rien suivi si ce ne sont que des chiffres, importants...Et que ce jeune homme a besoin d'argent... Elle lui sourit néanmoins et interrogea Alicia du regard tout en lançant :

- Cher Comte de M... Reims, vous n'ignorez pas que les caisses austrasiennes sont exsangues... Mais selon vos dires, il y aurait quelque injustices dans la répartition des subsides ? Êtes vous au courant ma sœur ? dit-elle en passant le ballon à Alicia...

Ballon qu'Alicia atrappa au vol

- Je viens d'être informée ma sœur. Messire de Metz vient de me faire parvenir le détail de la répartition des rentes attribués pour la restauration Austrasienne.


Elle déroula sur la table située entre Morgause et elle le parchemin en question et énonça

- Messire de Metz a reçu 30 000 livres uniquement pour son château et 80 000 livres pour la ville. Messire de Reims n'a en effet touché que dix mille livres pour l'ensemble et le reste des nobles 60 000 livres par tête pour tous leurs travaux

Elle conclue

- Les noms des familles nobles sont écrites sur cette liste dans l'ordre alphabétique excepté ceux de Nathan et Simon qui sont ensemble. Nos deux amis étant cousins notre administration aura compris Metz et Nantes comme un ensemble. Si nous additionnons les deux sommes données par ces villes nous en arrivons à un total de 120 000 livres mal réparties...Il s'agit d'une erreur administrative.

Alicia laissa Morgause statuer sur la question...Le fait que Nathan lui aie lui même remit ce parchemin prouvait son honnêteté. Il ne verrait prendrait donc pas outrage à ce que réparation soit faite. Et quand bien même...

HJ: Bon jveux bien que tu changes la somme allouée à Nathan, ça met du piment à la situation mais pitié!

Simon vient de Reims!

In Game:

Simon décida de ne pas tenir rigueur à la Reine. Bon d'accord ça lui déplaisait mais il le cachait. Il remarqua cependant que Morgause voyait qu'il était attiré tout autant par Morgause que par Alicia. Si son attrait pour Alicia était connu, il était étonné de l'attrait qu'exerçait Morgause sur lui car elle était enceinte et vieillissante.

Cependant Alicia parla chiffres, Simon but alors ses paroles.

"Ainsi Metz reçoit 110 000 livres quand Reims n'en reçoit que 10 0000. Il y a effectivement eu erreur. Surtout que Nathan m'avait dit que les frais pour Metz ne dépassaient pas les 70 000 livres en tout.
Metz étant château Royale (La Cour y séjourne), je comprends que vous prenniez à votre charge la plupart des travaux mais Reims aussi est château royale, c'est d'ailleurs parce que Reims servait de château à la couronne Austrasienne qu'elle a subi le plus gros de l'attaque."

Et oui, les royautés disposaient de plusieurs châteaux pour avoir toujours un château propre et des terres aptes à la chasse.
En Austrasie, depuis que le Royaume existait, La Cour voyageait entre Metz et Reims. Tant que Reims ne serait pas reconstruit, Simon pensait que Blaye prendrait sa place et cela réduirait donc l'importance de Reims, ce qu'il devait refuser, Blmay ayant déjà une grande importance de par sa position côtière (n'est ce pas?).

"Et bien vos Altesses, je pense que vous avez le choix. Soit prendre une part importante de la reconstruction du Domaine Royale à votre charge, soit offrir 60 000 livres à tous sans exception.
Je sais que dans tous les cas, Nathan vous rendra l'excédent. 50 000 livres de trop, si vous chosisez de donner la même somme à tout le monde. Mais dans ce cas il manquera 140 000 livres pour restaurer le château de Reimset la moitié du Domaine Royale sera en ruines. Votre Altesse."

Simon regarda respectueusement mais fixement Morgause: Nathan et Simon dirigeaient chacun une moitié du domaine Royale, il appartenait à leur famille, famille qui en avait offert la jouissance à la cour austrasienne. Un accord historique qu'Alicia connaissait et que Morgause devait connaître.

De tous temps il avait été décidé que les frais d'entretient seraient partagés à parts égals pour le domaine, Ainsi selon cette décision, Metz devait payer 35 000 livres pour le château et 20 000 livres pour la ville, quand l'Austrasie payerait 55 000 livres pour les deux. Soit 5000 de moins que ce que recevait les seigneurs.

Mais pour Reims l'affaire était compliquée. Simon ne pouvait payer en tout et pour tout que 100 000 livres. Il lui manquait 50 000 livres pour respecter l'ancien accord des deux familles, Reims & Austrasie. Et il ne pourrait payer les réparations de la Cité.
Si Morgause se contentait de 60 000 livres, Simon ne pourrait pas faire grand chose, pas même reconstruire le donjon, ou seulement la moitié.
Si elle respectait l'accord historique, Simon devrait trouver de l'argent pour les frais restants, et pour cela endetter Reims sur au moins deux générations, avec la possibilité de perdre le château.

Simon comprit qu'il devrait trouver un accord avec Morgause. Mais Alicia risquait de représenter une gène si elle décidait de faire entrer Blaye dans le domaine Royale.
Simon allait devoir trouver un moyen d'écarter Alicia de la conversation, lequel?

HP : Ok je réponds avant lol Pas facile ces comptes...c'est même assez chiant je dirais!

Alicia haussa un sourcil interrogateur. Il semblait que Simon se faisait un plaisir de tout compliquer. Que cherchait il exactement ? Elle déroula un autre parchemin qu'elle plaça par dessus l'autre.

- D'après l'estimation des travaux que j'ai fait faire par l'architecte royal, vous et votre cousin avez besoin de 100 000 livres pour l'ensemble de vos travaux.

Et l'architecte en question avait l'habitude d'être assez large dans ses calculs.

- Si vous et votre cousin partagez les deniers que nous vous avons attribué vous rentrerez aisément dans vos frais. Et je suis certaine que Nathan acceptera.

Il ne manquerait plus qu'il refuse d'ailleurs

- Simon, mon cher ami, j'ai fort bien retenu une de vos leçons : "Princesse, ne mettez jamais vos œufs dans le même panier". Je suis ce principe avec application et je vous engage à faire de même. Si vous souhaitez obtenir plus d'argent vous pouvez vous faire financer par les extérieurs. Le Comté de Mannach nous aide beaucoup. En échange l'orphelinat portera le nom d'Isabelle de Mannach. Je peux, si il le faut vous donner quelques finances sur ma cassette personnelle. En contrepartie je vous demanderais simplement d'appeler votre bibliothèque "Bibliothèque du Comte Alexandre de Blaye"

Elle conclut

- Mais je ne crois pas que vous ayez besoin d'en arriver là. En vous réunissant avec votre cousin vous avez plus que le nécessaire pour couvrir vos dépenses.

Ou alors c'est que les deux gaziers ne savaient pas gérer leurs finances ....

"Attendez vous donnez, 100 000 livres chacun? Ou 100 000 aux deux?"

Demanda Simon, le souffle coupé, visiblement inquiet. Si 100 000 aux deux, Metz serait réparé entre les fonds royaux et ceux de Nathan mais Reims resterait en ruine car avec 50 000 à Reims, Simon n'aurait que 150 000 livres soit seulement la moitié.

"Et comment nos deux architectes peuvent parvenir à un écart pareil? Je ne comprends pas là. Votre architecte a-t-il pris en compte le fait que les forêts à proximité ne sont plus aptes à fournir de bois pour les échafaudages et que nous devons l'acheter? Qu'il faut aussi nourrir les serfs et les paysans qui ne pourront cultiver tant qu'ils œuvreront sur le projet et qu'en plus nous devons payer les artisans, manœuvres, tailleurs de pierre, et même l'architecte, que l'on prenne le vôtre ou le mien. "

Simon regarda alors Alicia. Il avait été son conseiller et lui rappela alors:

"Pour l'entretien de votre Comté, l'an passé, vous avez dépensé 50 000 livres. Je suis désolé de vous dire ça Comtesse, mais pour moi vous essayez de mettre fin à un engagement pris par mes ancêtres et les vôtres, probablement à votre profit, dans un but que j'ignore, probablement une sorte de délit d'initié. Cependant ce n'est pas vous mais Son Altesse Morgause et Sir Marth qui règnent sur l'Austrasie. Un Sir Marth qui, l'an dernier avait réduit de 20% les dépenses de la cour sans nuire à son efficacité, preuve qu'il s'y connait.
Performance similaire à celle de son excellence Morgause lorsqu'elle a régenté l'Orcanie. Or Blaye à ma connaissance, à plutôt vu ses dépenses augmenter ses dernières années.
Essayeriez vous de faire passer vos frais dans les frais de l'Austrasie en faisant de Blaye un équivalent politique de Metz et Reims?"

Simon n'était pas Nathan, il ne disait pas amen à tout, il luttait. C'est pour ça qu'il avait l'absolue confiance de Marth.
Cependant là il allait faire quelque chose qu'il allait regretter car il risquait de perdre l'amitié d'Alicia. Cependant entre son devoir et l'amitié....

"Votre Altesse Morgause je demande un entretien privé, afin de pouvoir trouver un accord à la restauration du château de mes ancêtres, du château préféré de sir Marth, le frère d'Alicia, un château ou elle a grandi mais qu'elle semble vouloir oublié tout comme son passé en vivant à Blaye tel une romaine, ce qu'elle n'est pas encore."

Simon avait une proposition pour Morgause. Proposition qui le ferait haïr par de nombreuses personnes mais.... Il ne voyait d'autre moyen de sauver Reims de la ruine....


EDIT: Wouah j'en reviens pas moi même! C'est si long! Et si politiquement tordu! A force de lire Morgausounette et Momo^^.

Alicia resta quelque peu subjuguée par les répliques de Simon. Ses accusations entièrement fausses ne la touchaient pas. Elle n'avait pas fait agrandir son château ni entrepris de travaux. Pourquoi faire d'ailleurs et quand en aurait elle eu le temps ? Il était facile de prouver que l'homme était de mauvaise foi. C'était justement cette mauvaise foi qui était bizarre...Ce n'était pas Simon ça! Autant son cousin était tout mou que lui devenait excessif. Il n'y avait visiblement aucune notion de juste milieu dans cette famille! Elle ne put s'empêcher de lui demander

- Vous êtes sur qu'on ne vous a pas drogué à votre insu ? Non parce que là c'est quand même...fascinant ce comportement et ridicule en même temps... d'autres personnes à calomnier ou nous en arrêterons nous là ? Vous descendez déjà bien bas mais vous n'avez pas encore touché le fond...si vous voulez continuer donc...

Alicia sous entendait par là que l'entretien n'avait pas lieu d'être prolongé. Si Morgause le souhaitait elle pouvait prendre à part Simon mais Alicia savait ce qu'il fallait faire. Simon n'avait plus les capacités à s'occuper d'un fief c'était l'évidence...il allait falloir confier tout cela à une personne fiable et trouver une activité guerrière à son ancien conseiller. Elle frissonna légèrement en pensant qu'elle avait projeté de confier Alexandre à un être aussi perfide! C'était une belle erreur de jugement

La reine assistait, calme et résolue, à cet entretien surréaliste. Elle n'avait jamais été une gestionnaire, l'intrigue politique, les affaires internationales ou le politique familiale prenaient tout son temps... Mais il fallait pas avoir une formation d'intendant pour voir que ce petit hobereau contestait la co- régence qu'elle avait instituée, accusait Alicia de détournements de fonds et tentait d'obtenir une somme faramineuse de la cassette royale, ce qui faisait beaucoup pour un seul homme, non ?

Les sourcils de la reine de levèrent, sévèrement et résolument elle frappa son accoudoir avant de déclarer d'une voix douce, un ton légèrement plus aigu qu'à son habitude :


- Simon de M... Reims [ hj : ok c'est la dernière fois que je la fais ], je ne vous permets pas de contester la co-régence de ma sœur. Je ne vous permet pas d'entretien particulier et vous prie de respecter la sœur de votre roi, ma sœur, mon amie... Nous discuterons ici ensemble de la restauration de Metz et si cela ne vous plait pas c'est la même chose... Nous entendons-nous bien ?

HJ: Roh tu crois qu'un homme à ton service durant si longtmps se ramènerait avec une grossière immitation de ton sceau?

Jsuis déçu que tu pense cela de lui.

Et que en plus il offrirait les trois quarts de sa fortune et Reims à quelqu'un (Morgause)?

Il est évident que Simon veut pas d'argent pour lui mais pour Reims.

Après, est-ce qu'il est manipulé, alors ça^^ Bonne question^^

Calin soeurette

(Et laisse Morg en placer une! ^^)

hp : moi contrairement à d'autres je n'ai accusé personne^^ et là c'était mon tour donc...

HJ: Tinkiet pas j'ai un plan ^^ Un peu bancal certes^^

Vous réagissez plutôt bien^^.

Bon allez silence, c'est à Morgause de jouer.

[ HJ : me voici, mes beaux amis, me voici... et pour moi Alicia n'a pas usurpé mon tour]

Morgause regardait ce jeune homme, sidérée par cette proposition incongrue mais si tentante... Posséder elle même un important fief ne pouvait que le contenter, ce garçon mettait la tête directement sur le billot. Tant pis pour toi pensa la reine qui eut malgré elle un sourire cruel.

Elle corrigea son attitude, se tourna vers Alicia, avant de répondre au sire de Reims, ou plutôt ex sire de Reims :

- Quelle nation n'est pas rongée de l'intérieur, jeune homme... Mais faisons fi de ces considérations générales. Je vous ai demandé explicitement, il me semble de cesser vos accusations intolérables contre celle que je place au dessus de tout soupçons. Vous n'avez pas tenu compte de de ma demande... ET VOUS AVEZ TORT...

Elle se leva sans même jeter un regard sur le sceau des de Blaye. Ses yeux étaient noirs, noirs de colère... quand elle reprit :

- Je ne sais qui essaye de diviser l'Austrasie et ose espérer que vous n'êtes pas de ceux là... Quand à vos domaines, je suis prête à les prendre sous ma coupe. J'aimerais que nous n'en arrivions pas à ses extrémités, je ne ne compte pas poser mon héritier, et celui de mon époux, comme le fils d'un tyran et d'une dragonne d'Orcanie... Elle eut un rire à sa propre plaisanterie. Donc, jeune homme, soit vous vous expliquez et de plus vous tentez de trouver un accord avec la famille royale que vous mettez toute entière en accusation, soit j'accepte contre mon gré votre proposition... suis-je claire monsieur de Reims ?

HJ: Alicia, t'a bien foutu le bordel en désapprouvant le projet^^
Mais j'avoue ça m'amuse de mettre Simon dans une position intenable^^.

Reims qui avait baissé la tête à la fin de sa tirade, et n'avait vu l'éclair d'envie sur le visage de Morgause, releva la tête et écouta les propos de Morgause. Son visage était lisible comme s'il s'agissait d'un livre: un homme se sentant trahis par celle qu'il avait aimé autrefois (Alicia), et qui devait maintenant choisir entre son devoir et son honneur: son devoir l'obligeait à tout sacrifier pour Reims, son honneur souhaitait rester maître de Reims. Mais Simon avait choisi le devoir. Cependant Morgause avait raison sur un point: lui et Alicia se battaient comme des chiffonniers.

"Je comprends cela Altesse, et il est vrai que je n'aurais du m'énerver contre Dame Alicia mais sa conduite m'a énormément déçu. M'accuser ainsi, sous entendre que je cherchais à détourner des fonds ma fait sortir de mes gonds. Je.... Reims étant tout ce qu'il me reste, je suis prêt à tout pour reconstruire cette cité, dans les limites de ma fidélité au trône... J'aurais cru qu'avoir protégé votre trône en neutralisant la Reine Mère Suzanne d'Austrasie puis sa fille Penelope d'Austrasie, qui tentaient de s'en emparer, m'aurait voulu quelques gratitudes.
Car ne l'oubliez pas, si Nathan parvient à garder la cohésion de l'Austrasie, je.... C'est moi qui l'ai réunifiée et ai étouffé dans l'oeuf la Guerre civile."

Simon respirait lentement, et jamais il n'avait semblé si abattu.

"Faites ce que vous voulez, dans tout les cas la reconstruction de Reims est au dessus de mes moyens et vous devrez participer car il s'agit d'un domaine royale. Ne pas respecter cela déplairait aux autres vassaux et vos opposants auront un sacré argument lorsqu'ils verront comment vous traitez vos plus fidèles vassaux. Quand aux menaces de scission, il serait bon de confronter les deux architectes capables de pondre des devis si différents. Cela pourrait peut-être nous apprendre quelque chose."

La voix était faible.

HJ: Un quatrième intervenant arrive!

Quel était ce cris? La voix était aisément reconnaissable: Morgause.
Aussitôt une présence accourue. Qui était-ce? Nathan!

Le jeune homme, qui était encore un peu naïf et avait une confiance absolue en son cousin, mais plus encore en sa souveraine (et pas sa régente nananère! ^^) pénétra alors brusquement dans la pièce. Il n'avait entendu que le:

Citation :

ET VOUS AVEZ TORD...

Et pénétrait donc l'arme au poing.

"Votre Atlesse! Oh Simon...."

Soudain Nathan se sentait ridicule. Il rengaina alors son arme et se courba poliment vers la Reine et la Régente. Puis il remarqua l'air abattu de son cousin.

"Que se passe-t-il ici? Puis-je faire quelque chose?"

Nathan semblait désireux de se montrer utile afin de faire oublier sa déconvenue de l'instant précédent: ses yeux étaient fixés sur sa Reine, respectueusement, avec admiration. L'admiration d'un vassal pour sa suzeraine ou celle d'un fils pour sa mère? Connaissant Nathan toute lubricité était évidemment à écarté, pas comme pour son cousin...

hp : Maxou tu pousses beaucoup trop et je crois que je n'ai pas la patience. Alicia ne t'accuse de rien. Elle a même admit une erreur administrative. On peut continuer trés longtemps comme ça on aura toujours quelque chose à répliquer et à défendre. Cette ambiance P ne me plait pas c'est donc mon dernier post ici avant que je ne sorte de mes gonds.

Alicia était glaciale cette fois

- Qui vous a accusé de quoi M. de Reims ??? N'est ce pas vous qui depuis tout à l'heure me calomniez pour arriver à je ne sais quelle fin douteuse ?

Elle se pencha en avant vers lui

- Vous voulez me faire tomber ? Pour quelle raison ? Qu'avez vous à y gagner ? Et pourquoi vouloir obtenir une somme aussi inconsidérée pour votre propre comté ? Vous croyez vous seul au monde ?

Quoiqu'il en soit elle n'était pas prête de se laisser faire.

- Nous avons fait le détail de vos comptes. Tout a été clairement posé. Je vous ai même proposé une contribution personnelle. Vous avez de quoi faire restaurer Reims. Si vous n'y arrivez pas alors...c'est que vous n'avez plus les capacités qui conviennent
pour la gestion d'un comté. Dans ce cas inutile de rejeter votre incompétence sur moi.

Le regard d'Alicia se porta ensuite sur Morgause. Elle était touchée du fait que celle ci lui fasse autant confiance.

- Ma soeur si vous êtes d'accord j'aimerais, une fois que vous l'aurez lue récupérer cette lettre. Un complot se forme contre moi et je compte bien savoir qui en est à l'origine.

Alicia plongea un reagrd perçant dans celui de Simon. Elle espérait de tout son coeur que dans cette hsitoire il n'était qu'un pantin dont une affreuse main tenait les ficelles. Nathan arriva sur ses entrefaits. Alicia le saluat mais ne pronnonça pas un mot.

HJ: Tinkiet Nathan est là pour calmer Simon^^

A Morg!

pendant ce temps j'écris la lettre de budget.

Fausse évidemment.

hp : je ne m'inquiéte plus puisque j'arrête ici