Confessional [ Erwana ]

[ Je brise la glace ! ]

Bien qu'elle n'y allait pas très souvent, et avec raison, Erwana se rendit à la chapelle du royaume. Ce n'était parce qu'elle avait quelques choses à se reprocher, mais l'évêque Florin avait émit une annonce disant que tout le monde devait venir au confessionnal pour se repentir des ses fautes et de ses péchés, sinon, ils serait reconnu comme hérétique et la jeune guerrière savait très bien quel était le sort des hérétiques, elle ne voulait certainement pas le subir.

Elle entra dans la chapelle, un endroit qui n'était pas tellement famillier à la jeune guerrière. Laisant se armes à l'entré de l'endroit sacré, elle foula la sol de cette froide chapelle qui avait un odeur de renfermé ...

Elle regarda partout puis se risqua à dire:

" Monseigneur Florin ? êtes-vous là ... ? "

Elle N'avait pas mit les pieds dans une église depuis la mort de ses parents, voila pourquoi elle trouvait cela effrayant ...

Le son se répercuta contre les murs de la chapelle, comblant le vide entre chaques failles taillés dans la pierre grise, caressant la surface des voûtes gracieuses.

Quelque chose, de froid et de léger, frôla le flanc d'Erwanna. Elle eut pu le prendre pour une brise légère... mais un éternuement attira son attention. Il s'agissait d'un jeune garçon, âgé d'une dizaine d'années). Bien qu'il fut chétif, l'enfant n'en demeurait pas moins beau. Il ressemblait à ses pages (en plus menu) qui servait les souverains obnubilés par la beauté ou encore à ces chérubins blonds qui seront peint des siècle plus tard, dans une Venise où l'art connaissait un grand essort.
Ses deux grands yeux aux iris de la couleur d'une lame rouillée n'exprimait aucune expression mais brillait d'une intensité effrayante. Intelligence? Passion? Dévouement? Nul n'aurait sut le dire...

Il dépassa la Capitaine, l'invitant d'un bref mouvement de main, à le suivre. Il la conduit jusqu'à une petite cabine.
À celle-ci, il y avait deux entrées. L'une pour le prêtre et l'autre pour le pêcheur...
Amadeo (car le jeunot s'appelait ainsi), sans dire un mot (fidèle à lui-même!), indiqua à la fille d'Ève celle dans laquelle elle devait entrer.





Une fois Erwanna installé, assise peu confortablement sur une chaise en bois grinçante, une petite porte s'ouvrit à la hauteur de son visage.
À travers le grillage, le visage de l'évêque apparut. Il fixait droit devant lui et attendait que la guerrière prononce la phrase clé.
Il ne savait guère si celle-ci la connaissait. Dans le cas où celle-ci lui aurait échappée, la faire patienter et ainsi faire bouillir un tant soit peu sa colère (d'impuissance?) lui rendrait son sourire.

Bien que l'endroit lui donnait froid dans le dos, la jeune guerrière suivit le petit garcon et entra dans la petite cabine que le jeune garcon lui avait montré.

La confession n'était pas quelque chose d'inconnu à Erwana, car lorsqu'elle était encore jeune et que ses parents viviaent, sa mère la forcait à y aller chaque fois qu'elle commetait une bêtise ( ce qui veut dire, très souvent).

Il allait sans dire que depuis cet horrible événement que fut l'assasinat de ses parents, Erwana n'avait plus jamais mis les pieds dans une chapelle. Elle avait tout perdu , sa famille, et sa foi .

Elle avait toujurs remis la faute sur Dieu. Oui, pour elle, le seul responsable de la mort de ses parents était Dieu. Elle savait qu'elle avait tort, mais elle s'entêtait.

Voyant que le prête ne disait pas un seul mot, Erwana se souvint qu'il fallait toujours dire quelque chose avant que le prête parle, mais elle ne s'en souvenait pas. Il y avait si longtemps qu'elle n'Avait pas mis les pieds dans un confessional, que cette phrase lui était sortie de la tête.

Elle y réfléchi un moment puis dit finalement:

" Pardonnez-moi mon père, car j'ai péché... "

Le long silence d'Erwanna enveloppa l'évêque d'un sentiment de bien être. La partie serait facile à gagner...
Il ne savait guère si cela l'enchantait ou non. Mais qu'importe! L'hérétique était désormais dans ses filets.

- Parlez mon enfant, je vous écoutes... Et tâchez de ne point mentir et de ne point ommettre quelques informations. Le Pardon de Dieu n'est accordé, en vérité, qu'à ceux qui sont prêt à faire de nobles sacrifices pour purifier leur âme.

Ce petit avertissement avait pour but d'informer Erwanna qu'il ne fallait pas sous-estimé les connaissances de l'Homme de Dieu sur sa vie privée. Si les gens l'haïssaient, ce n'était pas pour rien.

En vérité, Nicolas espérait que certains détails de la vie de la guerrière, quelque peu gênant, ne lui soit pas révélé... ainsi, lorsqu'il les découvrirait, il pourrait aisément perdre la soldate du roy.

La nervosité commencait à gagner la jeune guerrière et elle ne su pas quoi dire au début.

Elle ne savait pas si elle devait oui ou non lui dire toute la vérité . Toute sa vie, elle s'était mentie à elle-même voila pourquoi dire la vérité à Florin était maintenant difficile.

Elle prit son courage à deux mains puis dit:

" Monseigneur ... je dois me confesser d'une chose ... il y a de cela quelques temps, j'ai ... j'ai laissé un sergent me prendre une chose ... et cette chose est ... ma virginité ... je ne suis donc plus vierge ..."

Elle respira lentement, se disant dans son fort intérieur que tout allait bien se passer ... du moins, elle l'esperait ...

Nicolas, qui prêtait une attention toute particulière à ses ongles nouvellement remanucurés, faillait s'étouffer (avec sa salive) en attendant l'aveu d'Erwanna. Il connaissait certe l'information mais il ne s'attendait pas à une confession aussi brutale!

(Hj: 1 Florin, 1 Erwanna! Oh, le match est serré :p!)

L'évêque se racla la gorge.

- Certes, mon enfant. Ceci est un grave péché... auquel il est possible de remédier.
Nous sommes tenu dans le secret de la confession. Cependant... la gravité de votre acte m'entraîne à penser... qu'il serait peut-être... sage... de prendre certaine précaution... dont je m'aviserai...

Nicolas se tut, quelques secondes, histoire de trouver ses mots.

- Regrettez-vous votre geste, Capitaine?

( hj: C'est de la manucure francaise ? )

Erwana savait que cette aveu pourrait grandement jouer sur sa carrière militaire, mais elle avait promis de ne pas mentir et elle allait tenir ce serment jusqu'à la fin de cette confession. Habituellement, elle n'aurait rien dit, mais elle connaissait Florin, il aurait trouver u moyen pour tout savoir.


" Je ... je regrette énormément ... ce soir là, j'avais ubu quelques verres à la taverne, avec le sergent Roach. Et puis, il y a deux soldats qui nous ont attaqués et une bataille à éclater, du coup, le Capitaine Ganelon est arrivé et nous a dit, à moi et à Roach, que l'on passerait la nuit dans une cellule, au cachot et que ca nous servirai d'avertissement.

Et puis voila que c,est arrivé entre moi et Roach, alors que cela n'aurais jamais du se produire ... et par la suite, on a continué à se voir ... "

Elle était honteuse de tout avouer cela, mais elle savait que si elle le disait en confession, personne ne le saurait...

[ Naaan! Anglaise! Tssss! ]

Florin dissimula son sourire de contentement derrière sa main.

- Vous insinuez que votre liaison s'est poursuivie par la suite, hors des liens du mariage...

Jetant un regard en biais, l'évêque trouva, pour la première fois, une certaine beautée à l'hérétique guerrière qui tentait tant bien que mal d'éviter le bûcher.

- Le Sergent est-il chrétien, Erwanna? Et si oui, vous prendrait-il pour épouse? Accepterait-il de partager sa vie et sa couche avec vous... et avec vous seule?

Erwana fut presque choquée par ce que l'évêque venait de dire, mais elle ne se laissa pas faire.

" Je n'ai aucune idée si le Sergent est chrétien, mais je n'accepterai pas d'être son épouse ...

Tout cela n'était qu'une simple aventure, oui notre liaison s'est poursuivi, mais ce n'est qu'une simple aventure, il n'y a rien de bien sérieux entre moi et lui

Ce n'est même pas par amour que je lui ofre de partager ma couche, mais par simple plaisir ..."

Elle ne se voyait pas mariée à un homme tel que Roahc , oh non ...

HRP : ouuuuh ... elle n'aurait pas dut dire ça ... ( pardon ! ... )
*s'eclipse* ...

- Par simple plaisir, dites-vous? Vous avouez donc, ma chère enfant, que vous ne regrettez point le péché commis?

Le ton de l'évêque indiquait à la perfection son étonnement... et la soif de découvrir une réponse qu'il connaissait déjà.

[HRP: C'est un confessional , Momo, c'est privé ! ]

Se sentant pégé dans une situation embarassante et très délicate, Erwana eut du mal à réagir face à cette situation.

" Je ... je le regrette sincèrement, j'avais bu ce soi là, je n'aurais jamais voulu que ca se passe ainsi ... C'était pour le plaisir du sergent et non le mien ...

Comprenez, mon père, que jamais je n'aurais voulut donner ma virginité à cet homme, jamais ... mais l'alcool m'a fait faire des choses horribles ... "

Elle commencait à paniquer. La situation se revirait contre elle alors qu'il ne le fallait pas. Des larmes coulèrent sur ses joues, signe de son désespoir.

[ Oh!!! Merci... désolé lol! Je fais des opérations secrètes avec Ophé! ^^!]

Le timbre tremblant de la voix d'Erwanna procura une joie morbide à l'évêque. Il était parvenu à coincer la si fière et si démenée capitaine des armées d'Orcanie! (L'exploit, quand même XD)

- Vous vous égarez, ma jeune enfant. Ne venez-vous pas d'avouer que plus d'une fois vous avez offert votre corps à Sire Roach?
Donc... ce n'était point un viol. Et vous y avez pris votre part de plaisir...
Je ne suis pas ignorant. Les douces paroles, vos fiévreux ébats. Ma main s'étend bien au delà de cette chapelle.

Erwana commencait vraiment à perdre la tête. Elle n'en pouvait plus, elle voulait sortir de cette enfer pour de bon.

" ... Oui j'étais conscentente, mais j'ai été naïve, c'est tout ... Je ne me suis offert au sergent que deux fois, une fois dans la cellue et l'autre fois je lui avait demander de venir dans mes appartements ... mais .. y a-t-il une facon de me faire pardonner cette erreur ?

Je vous en supplie ... je ne veux pas vivre toute ma vie avec ce péché sur la conscience ... je vous implore, monseigneur ..."


Elle était à bout.

Elle se serait jeté au pieds de l'évêque si elle aurait pu. Sur un champs de bataille, elle pouvait mener, mais dans ses sentiments elle n'était rien du tout...

Florin sourit. Il sentait la panique à travers la voix de la guerrière... et cela le comblait d'aise.

- Mais certainement, mon enfant. Vous pouvez épouser le sergent, brûler sur un bûcher ou... Regrettez-vous votre geste?

Bruler sur un bûcher ? Non, Erwana ne voulait pas finir comme cela, elle s'était promis de mourir dignement et non sur un bucher pour avoir offert son corps à un sergent ...

" Je ... Je le regrette plus que tout, Monseigneur, mais je ne veux point une sentence ausssi dure ..

Je ne veux pas me retrouver sur un bûcher et je ne veux pas épouser le sergent Roach ...

Je le regrette sincerement... c'est la plus grosse erreur que j'ai faite dans ma vie et j'apprécirais que l'on me pardonnes pour ce péché ...

Je promets que je le le ferai plus ...c'est promis ... je vous la jure ..."


Sa voix s'étrangla par un leger sanglot. Cette femme forte au combat et faible dans ses emotions. Elle se sentait perdue, condamnée au pire ...

Des larmes! Oh! Des larmes...
Nicolas se sentit envahir par l'extase. Une profonde joie parcourut les moindres cellules de son corps, du bout de ses ongles d'orteilles à la pointe de sa chevelure blanche.
Erwanna, cette femme si brave et si courageuse, prête à affronter la moindre menace, écarter l'ennemi d'un revers de la main... si faible devant ses propres erreurs.
Désormais, il avait triomphé! Il avait gagné! Non pas la bataille... mais bel et bien la guerre. Il ne lui restait plus qu'à faire d'Erwanna son alliée... elle devait lui être éternellement recconnaissante.


- Calmez-vous, mon enfant. Dieu, dans sa grande miséricorde, vous accordes son pardon.
Heureusement pour vous, Sire Mordred a besoin de votre potentiel afin de mener cette guerre. Je ne vous enverrai donc pas au couvent...
Cependant, nous vous trouverons un époux et ce le plus rapidement possible. Peut-être portez-vous l'enfant de Pat Roach, sans le savoir? Qui sait! Nous devons étouffer un potentiel scandale... et donner un nom à cet enfant.
Si d'ici la nouvelle lune, nous ne vous avons point trouver un noble époux... et que vous m'annoncer que vous n'avez point saigner... Je crains qu'il faudra vous envoyer là où réside notre bien-aimée Souverraine...

Erwana resta scandalisée par ce que venait de dire Florin. Peut-être que la pire chose qui pouvait arrivé à Erwana arrivait, elle attendait peut-être un enfant ... du sergent ...

Non ! Elle ne le prendrai pas, elle préférerai mourri plutot que de ne plus se battre pour la simple raison qu'elle fut mise enceinte. Elle avait une opinion assez correct de Roach, mais elle ne l'aimait pas, il lui donnait seulment du plaisir , voila tout ....

" Je ... Je refuse de croire qu'un enfant grandit en mon sein ... je ne suis pas faites pour cela ... "

Elle laissa planer un silence puis se souvint de son enfance ...

" Lorsque j'étais enfant, on a voulut m'envoyer dans un couvent, et je me suis enfuie ... si vous m'y envoyer, je referai la même chose, j'en fait le serment ... Je ne veux pas aller là et je ne veux pas épouser aucun homme, je ne sui pas une femme que l'on soumet ... "

Elle commencait à redevenir agressive , mais elle restaot toujours aussi perturbée...

- Mais aujourd'hui, Erwanna a grandit et est devenue une femme sage et avisée. Elle fera donc ce que lui ordonnera son roy au risque de subir le châtiement des traîtres.
Il est facile de trouver des preuves, Capitaine... même lorsque des évènements ne se sont pas produit.
Vous ferez ce que j'ordonnerai pour votre sentence. Pour l'instant, vous demeurerez. Lors de la date de vos prochains saignements, vous reviendrez vers moi.

Cherchez un homme qui puisse vous plaires, ou je trouverai l'homme qu'il vous conviendra.
Autrement, ma chère enfant, je vous perdrai...
Vous ne cesserez pas vos activités guerrières, n'ayez crainte. Mais femme vous êtes né et femme vous resterez. Votre but, dans la vie, est d'offrir une descendance certaine à votre futur époux.
Et nous devons éviter le scandale.
Il n'y a rien à rajouter à ceci.
Vous ferez, en supplémentaire, dix ''Je vous salue Marie''.

N'y a t'il point d'autres péchés, douceheureuse brebis? Des complots, des excès, d'autres aventures, une haine incontrôlable...?

HP: Nicolas Florin, mais pourquoi est-il si méchant?

Elle n'ajouta plus rien en ce qui concernait cette sentence qu'elle venait de recevoir de la part de Florin. Elle ne voulait certainement pas aggravé son cas.

Elle décida donc de lui dire son autre péché pour lequel elle devait se confesser.

" Une haine immense, qui vit en moi depuis maintes années ... Lors de la mort de mes parents, j'ai tout fait pour ne pas mettre la faute sur une personne, et au couvent où j'ai étét placé, ils ont tout fait pour que cela n'arrive pas, mais j'ai remis la faute de la mort de mes parents sur Notre Seigneur.

Il m'a donné ce destin et je Lui en veut pour cela. Il n'y a jamais eut de justice dans ce monde ... dans Son monde ... Par Sa faute, je n'ai pas pu vivre une vie normale ... je n'ai pas eut une vie que des jeunes filles sont supposée avoir ... J'ai étét de me battre toute ma vie pour avoir ma liberté, mais Il ne veut pas me la donner... mes combats sont sans succès ...

- Vous vous perdez, mon enfant. Ne rejetez pas la faute sur Notre Père.
L'Homme possède le libre-arbitre. Il peut donc faire de sa vie ce qu'il en a choisit. Vous avez décidé de devenir ce que vous êtes aujourd'hui.
Vous êtes l'unique maîtresse de votre destin. Ne croyez pas hasard... Car il n'existe pas.
Certe, Dieu est intervenu à plusieurs reprises dans votre vie. Mais quelque chose vous aveugles et vous empêches d'admirer les efforts qu'il déploient pour vous.
Vous, fille d'Ève, espérer un miracle... alors qu'il n'y a que vous qui puisse diriger votre vie.
Est-ce Dieu qui a condamné vos parents? Était-ce pour un mal?
Tous doivent un jour mourir... Chacun laisse derrière lui des gens qui n'auraient pu se passer d'eux... Dieu aurait-il dût nous faire immortel, comme Lui?
Mais sachez qu'il vous pardonnes ce péché car il est bien facile de rejeter la faute sur autrui. Et l'Homme est une bien faible image à côté de celle de Dieu!

Si vous ne trouvez pas votre Voie dans celle de la guerre... peut-être avez-vous fait un mauvais choix.

Si la Liberté vous attires, sachez qu'elle n'existe pas. Du moins, pas dans ce royaume. La Liberté est un rêve utopique que ce sont créés les Hommes pour mieux servir le Mâlin.

Oubliez la...

Et servez fidèle et votre patrie, et votre roy (et va sans dire votre reine) et Dieu!

Erwana avait une tout autre opinion de Florin, mais elle ne voulait pas le contredire de peur de se voir doublement punir par lui. Elle en avait plus qu'assez, mais elle devait aller jusqu'au bout de cette confession ... Ensuite, elle serait libre d'aller réfléchir à tout cela toute seule ...

" Si la Liberté n'est qu'un rêve, alors ... Pourquoi vivre dans un tel monde si ce n'est que pour mourir ?

Sommes-nous seulement des pions à Son service ? Chacun nait en étant un serviteur et voila tout ... Est-ce la vie ? "

Elle ne pouvait pas croire que la liberté ne pouvait pas existée en quelque part.

" Si nous sommes seuls maitre de nos destins, alors pourquoi devons-nous nous faire chatier pour les actions qui ne sont pas dans le droits chemin ?

Dites le moi si je me trompes, mais j'ai l'impression que nous sommes guider à faire des choix, qui en temps normal, ne seraient pas les notres ..."