Un changement de toilette [PV Alicia et Celieth]

La jeune épousée était donc sortie de la chapelle en compagnie de son nouveau chaperon - qu'elle ne connaissait absolument pas, sinon de nom pour l'avoir ouïe dire par son père pendant leur houleuse conversation, ainsi que de la princesse d'Austrasie - envers qui elle se sentait infiniment mieux disposée.

Mais Isabelle n'était pas la première rustaude du coin ; aussi, tout juste arrivée dans la chambre qu'on lui prêtait pour se changer, se fit-elle un devoir de présenter les deux dames l'une à l'autre.

-"Princesse Alicia, je vous présente ma toute nouvelle dame de compagnie, la comtesse Celieth de Hanes. C'est vraiment très généreux de votre part de vous priver de la présence de votre fiancé pour m'accompagner ici !"

La mariée semblait un peu nerveuse. Elle ne savait pas bien comment se comporter devant son nouveau garde-chiourme, et ... un certain état de fébrilité s'était emparée d'elle.
Que n'eut pas donné Isabelle pour discuter librement avec celle qu'elle considérait le plus comme son amie !

[HJ réponse au soupé mesdemoiselles]

hp : Alors j'attends la réponse de Celieth pour enchaîner Smile

[hj : $regarde celieth avec adoration*]

Celieth avait suivit sa suzeraine discrètement, robe grise surmontée de cheveux noirs masquant un visage fin mais mutilé. Le seul bijou visible que portait la comtesse était un lord torque d'or quasiment masqué par les mèches qui tombaient devant son visage.

"Princesse, c'est un honneur de vous rencontrer. Ma Dame, je suis navrée que votre père m'ait jetée dans vos jambes de manière si cavalière. J'espère que mon service auprès de vous saura vous satisfaire."

Celieth fit le tour des appartements du regard et se dirigea vers le paravent qu'elle avait fait mettre en place plus tôt lorsqu'elle avait supervisé les changements d'aménagement pour la nuit qui allait venir après le banquet.

"Les robes que vous aviez choisies sont ici Dame Isabelle. Commençons."

-"Princesse Alicia, je vous présente ma toute nouvelle dame de compagnie, la comtesse Celieth de Hanes. C'est vraiment très généreux de votre part de vous priver de la présence de votre fiancé pour m'accompagner ici !"

Alicia sourit à la mariée

- Allons Isabelle c'est à cela que servent les amies ne croyez vous pas ? Ravie de faire votre connaissance Comtesse!

La pauvre Isa semblait terriblement anxieuse. Lorsque Celieth proposa de commencer à la vétir elle hocha affirmativement la tête. Toutefois la princesse pinça légèrement les lèvres lorsqu'elle vit les toilettes choisies pour la mariée. Des robes richement cousues mais lourdes et rigides au possible! Aucune chance que la nouvelle Madame Kadoudal ne se sente à l'aise. Sans parler de la chaleur étouffante! Si Alicia avait pu elle se serait chargée de modifier les robes avec quelques bons coups de ciseau. Elle fit appeler une de ses servantes qui lui remit une boîte rectangulaire décorée d'un encadrement d'albâtre et de faïence bleue. Elle fit jouer le mécanisme et en sortit une boîte plus petite dont elle enleva le couvercle

- Ceci est un onguent fabriqué à base de jasmin et de menthe. Outre les propriétés relaxantes qu'il possède et son parfum agréable il rafraichit le corps. Voyez plutôt...

Elle fit respirer aux deux femmes l'envoutant et discret parfum de la boîte

- Si vous le souhaitez Isabelle vous pouvez l'utiliser...

La jeune épousée retira les épingles qui retenaient le lourd voile de mariée à sa chevelure bouclée, puis le laissa glisser à terre, dans un petit soupir de soulagement.

Bien cachée derrière le paravent, elle ôta sa robe carmin, pour se saisir d'une robe couleur amande, à rubans jaunes, joyeuse comme le soleil et la grande jeunesse.
Elle fit signe à Celieth d'aller voir ce que lui proposait Alicia, et de le lui rapporter.

-"Vous êtes si gentille avec moi, dame Alicia, et c'est avec grand plaisir que j'accepte votre cadeau très généreux. Cependant, êtes-vous vraiment sûre de vouloir l'offrir à la nouvelle dame Kadoudal ? En agréant à sa femme, vous agréerez au mari. Et je ne voudrais vous forcer en rien."

Le bruit d'étoffe que l'on remue se tut, et Isabelle fixait avec attention son reflet dans la bassine d'eau, comme si elle pouvait à travers le liquide transparent regarder dans les yeux hardis de la princesse d'Austrasie.
Elle ne faisait que soupçonner une haine féroce entre les deux, non, trois personnes, son mari, Alicia, et le sieur de Padoue ; et maintenant qu'elle était femme, elle voulait y voir clair.
Le commencement de promenade avait suffisament été agité comme cela...

D'une main habile, Isabelle se mit à dénouer ses longs cheveux, choisissant dans une boite de bois rose une longue chaîne d'or.

Gwen entra très silencieusement dans les appartements. Elle était si triste en ce moment joyeux.

- Désolée de ne point être restée avec vous, Dame Isabelle. Mon oncle et ma grand-mère tenaient a me parler et je m'excuse pour ce malentendu.

Ses yeux rougis commençaient à retrouver leur bleu étincelant.

Valéria lui avait donné le cadeau qu'elle avait fabriqué avec Gauvain.

- Quand ma mère était vivante, mon père prenait soin de toujours lui offrir un présent. Et je vous ai confectionné une broche. Pour vous témoigner , tout ce que vous avez fait pour moi.

Elle lui tendit une petite boite où se trouvait une broche faite par la peste avec les fleurs que le jardinier avait voulu lui donner. Son travail était impeccable et la raison de l'offrir a Isabelle était la meilleure.

hp : Celieeeeeth^^

[HJ : Bouloooot :'(]

Celieth avait bien peiné pour aider sa maîtresse à s'habiller. Quelle idée de se choisir des robes trois tailles trop petites qu'il fallait lacer le pied au milieu du dos de l'habillée...

"Comtesse, votre mari est bien assez épris, vous auriez du prévoir quelque chose qui vous laisse mieux respirer, avec les émotions de la soirée, vous risquez de tourner de l'oeil."

Le ton mi-sévère n'empêchait pas la jeune femme d'aider au mieux sa maîtresse selon ses indications plus ou moins cohérente vu son état de préoccupation et son manque de plus en plus flagrant d'oxygène.

"Allons, ma Dame, je crois que vous êtes prête. Nous pourrions peut être remplacer ce camée par cette jolie chose que la princesse vous a confectionnée, qu'en dites vous ?"

Celieth regarda la tenue qu'elle s'était choisie et qu'elle allait devoir prendre le temps de passer avant le banquet. Pour elle c'était le vrai moment de remercier les Dieux, après tout, et il lui faudrait faire honneur à ses païens de maîtres. Heureusement que sa cousine et la femme de son cousin attendaient dans l'anti-chambre pour l'aider, tout en faisant des gorges chaudes de la tenue d'après banquet que Celieth avait préparée pour sa maîtresse.

[HJ : une grande blonde et une petite brune se bidonnent dans la pièce à coté en discutant dans un mélange d'anglais et de norvégien]

hp : arf le boulot! Vivement les vacances!

Alicia donna la boîte à la servante d'Isabelle en lui spécifiant bien quels endroits du corps elle devait masser avec cet onguent. Elle espérait que grâce à cette crème la nuit de noce d'Isabelle serait plus douce...si la belle était plus détendue se serait déjà plus simple pour elle. La princesse perçut dans le ton d'Isabelle que celle ci savait qu'entre elle et le conseiller ce n'était pas l'amour fou. D'un autre côté il aurait fallut être aveugle pour ne pas le remarquer

- Oh mais je ne me sens forcée de rien Isabelle. C'est avec plaisir que je vous offre cela. Ce n'est vraiment pas grand chose...

En apparence du moins car en réalité le jasmin était plutôt coûteux mais ça n'avait aucune importance. La petite Gwenaelle entra avec un cadeau qu'elle avait fabriqué. Alicia en était toute attendrie

- Bonjour Princesse. La broche de dame Isabelle est très réussie. Est ce des perles que vous avez utilisé ? Dame Celieth a là une bonne idée. Ce bijoux irait très bien avec la robe.

Alicia pensa à son petit garçon qui lors de sa dernière visite lui avait fièrement offert...un lance pierre fabriqué par lui même. Elle sourit à ce souvenir et tâta une poche de sa robe dans laquelle il se trouvait. Elle aimait bien garder ce petit trophée sur elle et penser à son fils chéri.

(j'ai fait un post de 10 pieds de long... et ça m'a déloggé, et ... j'ai tout perdu en devant me relogguer... j'ai plus le courage de réécrire maintenant.)

Nous t'attendrons avec la patience de l'ours !
(parce que c'est un animal qui me va bien : il dors et grogne Very Happy

)

hp : pas de probléme de mon côte^^ Juste que moi je pars deux semaines en avacances à partir de demain et loi de tout ordinateur. Je reprendrais le rp dés mon retour mais en attendant ben...m'attendez pas lol ça serait dommage....Bon il faut que je retrouve le topic des absences (mode boulet on) mais où c'est qu'il est ???

La jeune comtesse haussa les sourcils.
Elle avait peut-être l'âme d'une nonne ; mais elle possédait néanmoins la fierté naturelle des grands seigneurs. Aussi répondit-elle à sa suivante, avec une lenteur calculée.
-"Cette robe appartenait à feu ma très chère soeur, Comtesse. La porter est un honneur insigne, et elle est toute à fait convenable pour ce genre de cérémonies."

Puis sa voix se radoucit, offrant un paisible sourire à sa suivante.
Elle savait - ou en tout cas espérait ! - que cette dernière avait compris le message : on ne lui faisait pas de reproches mal placés.
-"Merci de vos bons soins, Dame. Vous pouvez vous retirer pour vous vêtir... et n'oubliez pas de dire à vos cousins que je serais ravie de les accueillir aux fêtes de mon mariage. Me retrouverez-vous après la fin du banquet ?"

Isabelle de Mannach attendit que son interlocutrice lui réponde, puis se tourna vers Gwenaelle, émergeant enfin du paravent d'où elle protégeait sa pudeur.
La jeune épousée s'agenouilla devant la petite princesse, les yeux remplis d'un immense amour maternel, où se mêlait le respect et une certaine dose de reconnaissance.
Elle accrocha elle-même la broche sur le décolleté de sa robe, puis lui tendit un mouchoir... eut égard à ses yeux rougis.
-"Ma chère princesse... c'est un geste très beau que vous avez là, et ce cadeau est bien le plus beau que j'ai pu recevoir jusqu'à présent. Je vous en remercie, jeune Gwenaelle. Mais qu'est-ce que ce gros chagrin ? Voulez-vous l'expliquer à votre grande amie ?"

Elle resta attentive à l'enfant, tut en regardant de côté Alicia. Oh, comme elle aurait désiré que celle-ci lui raconte tout !

La remarque d'Alicia fit réchauffer le coeur de la petite princesse orcanienne. Mais celle-ci ne put s'empêcher de tomber dans les bras de la dame Isabelle.

Le roi ne m'a pas écouté. Je n'ai pas fais ma demande. Il n'a pas voulu.

Gwen en avait assez du fardeau de son père et de vivre sans mère. Valéria se présentait comme une mère attentive a elle.

Et celle-ci ( Valéria) se trouvait derrière la porte, ou elle avait conduit la jeune enfant.

Tout le monde savait comment Isabelle et Valéria avaient su gérer cette petite tempête.Mais Isabelle était mariée et aurait très certainement un enfant, a s'occuper.

"Dame, votre duègne n'a pas fait venir des couturières pour l'ajuster un peu ? C'est presque criminel de vous envoyer dans cette salle de banquet en faisant en sorte que vous ayez un malaise. Et puis bon, la cérémonie est passée, non, le temps est venu de fêter votre mariage !"

Le ton de Celieth était joyeux. Un banquet était une autre célébration pour la jeune païenne, au delà du contrat, au delà de l'engagement, le partage d'un moment avec le clan. Et dans le pire des cas, on pouvait considérer le banquet comme une démonstration de pouvoir.

"Merci pour votre invitation, mais mes cousins seront au petit bout des tables avec les autres chevaliers de votre père. Je vous retrouve au banquet."

Celieth se dirigea vers la porte après avoir ramassée sa robe - clairement plus légère que celle d'Isabelle.

"Ma Dame, Princesse, Princesse"

Elle fit une demie-révérence devant chacune des trois personnes avant de se retourner vers les deux commères qui attendaient dans l'antichambre.

"Bon, c'est pas bientôt fini de faire les snakkesalig vous deux, venez plutôt m'aider à passer ça avant que la comtesse ne soit sortie de sa chambre !"

Les yeux de la jeune comtesse se firent préoccupés.

-"Pourquoi ne pas oser demander ? Savez-vous si dans le privé, votre père a accepté de l'épouser ?"

Elle caressait les cheveux de l'enfant, pleine de compassion pour cette petite-fille qu'on laissait peu ou prou à elle-même.
Puis elle lui glissa, sur le ton de la confidence :

-"Je suppose que vous vous souvenez, princesse, de l'accord convenu avec votre grand-mère. Je vais m'occuper de vous, et de votre éducation. Nous allons bien nous amuser ensemble... ainsi que Dame Valéria, qui sera la promise de votre père (s'il le souhaite expressément) lorsque je commencerai ces leçons. Je vous promet de faire mon possible pour que cela se produise, si tel est votre souhait... Mais à une condition."

Elle paraissait très sérieuse, très adulte, malgré son voile enrubanné et son visage rond et blanc. Isabelle fixait la jeune princesse dans les yeux, en lui tenant doucement les deux mains, afin de capter au mieux son attention.

Il trouve seulement a râler sur ce qui est arrivé a la chapelle.Il ne m'a pas écouté et ils s'aiment tous les deux. Je sais qu'il faudrait que Mordred reconnaisse les titres de duchesse A Valéria, mais, il l'aime tant, et moi aussi.

Et voila pourquoi Gwen était très irritée.

Oui, je me souviens de l'accord.
Et en plus, si Isabelle et Valéria s'impliquaient pour la vie de la jeune princesse, tout irait pour le mieux

Quelle est la condition ?

Habituellement, elle émettait ses conditions aux adultes et non l'inverse, mais elle donnerait tout, pour avoir une mère.

Isabelle se pencha vers l'oreille de l'enfant, comme pour lui faire confidence.

Les plis soyeux de sa robe claire se détendirent sous ses doigts blancs, émettant un bruit de froissement, qui couvrait adroitement ses mots chuchotés... comme pour un secret capital.

-"Ma chère princesse... voilà ma condition : vous n'avez pas le droit de pleurer ou faire la tête en cet heureux jour qu'est celui de mon mariage. Voilà votre paiement au service que je vous rend : j'obtiendrais dès demain ce que vous désirez. Dame Valéria aura un titre."

La jeune épousée releva la tête, et, s'agenouillant à nouveau devant l'enfant pour se mettre à sa hauteur, se remit à parler à voix intelligible.

-"D'ailleurs, jeune Gwenaelle, l'entretien que vous avez du avoir avec votre oncle, notre bon roy, a du être orageux. Voulez-vous me confier quel était le but de cette visite ? Que s'est-il passé dans la chapelle ?"

Gwen acquiesça et sourit. Elle prit la main de la Comtesse de Mannnach et l'amena un peu plus loin, pour s'asseoir.

Quand tout le monde est parti,une femme s'est approchée de moi et m'a parlé de mon ex tante. En réalité Morgause ne veut pas que l'on prononce son nom.

Quand mon père a vu le teint livide de Blanche et encore la colère de Morgause a l'égard du nom d'Ophélia, il m'a rappelé.

Gwen soupira et continua.

A Camelot, on m'a élevé j'avais mes cours de catéchisme, ici, aussi, mais j'ai seulement découvert qui était ma mère.

J'ai hérité des pouvoirs de ma mère qui était chrétienne. Seule Arthur Pendragon en était vraiment au courant. Je n'échappe pas au sang, tout comme Morgane, ma tante.

L'esprit d'Ophélia est ici et c'est pour se venger de la reyne Blanche. Le roy ne veut pas m'écouter

L'esprit d'Ophélia ? Des pouvoirs maléfiques ? En Gwenaelle ?

Quel horreur! Quelle... injustice !

Isabelle, tétanisée, figée, horrifiée, fixait l'enfant avec stupéfaction.

Non. La petite devait .. s'être trompée. Oui, c'était cela.

La jeune mariée serra l'enfant contre elle, oubliant le protocole qu'elle appliquait pourtant strictement d'ordinaire.
Elle avait repris un peu l'empire qu'elle exerçait sur elle-même d'habitude, et affichait à nouveau un gentil sourire, refoulant au fond d'elle-même la peur viscérale qui s'infiltrait dans ses veines.

-"Ma chère Princesse, ne vous inquiétez pas. Je m'occuperais de tout."

Il faudrait qu'elle aille voir Dame Morgane au plus vite.
Cette païenne saurait bien lui avouer quel mensonge elle avait bien pu proféré... Ou au moins, lui fournir des explications.

-"Ha. Bon. Pensez-vous qu'ils sont tous en bas ?"

hp : de retour. J'essaye de reprendre^^

Alicia avait salué dame Celieth et avait elle aussi hâte de se rendre au banquet. La petite Gwenaelle qui avait le coeur gros se confia à Isabelle. L'Austrasienne ne savait pas trop quoi faire. S'éclipser discrètement alors qu'on ne le lui avait pas demandé ou rester là à écouter ? Elle opta pour la deuxième solution, assez gênée d'être au milieu d'Isabelle et Gwenaelle. Pendant un moment elle fut bouleversée de comprendre que la petite avait à faire à des choses qui dépassaient de loin ce qui était rationnel et surtout son âge. Gwenaelle était très mâture, trop même. L'enfance s'était elle prématurément envolée ? Alicia ressentit vis à vis de la petite princesse un besoin de la protéger. Mais d'une part Isabelle semblait le faire et d'autre part...est ce que tout cela la regardait ? Elle savait que Ophélia avait été longtemps appelée sorcière. Jusqu'ici elle n'y avait pas prêté vraiment attention. Pour elle Ophélia avait sombré dans la démence rongée par son ennui à la cour et une passion trop violente. Alicia savait que les personnes qui héritaient des pouvoirs dont parlait la petite Gwenaëlle devait apprendre à les domestiquer. Allait elle recevoir cette éducation ? Il le faudrait. Ça ne servait à rien de les ignorer. Tôt ou tard ils finiraient par la rattraper.

- Pardonnez moi Princesse et Comtesse de m'immiscer dans cette conversation qui ne me regarde en rien. Mais comme je suis là j'ai entendu. Sachez Gwenaëlle que si je peux faire quoique ce soit pour vous aider en complément avec Isabelle ce sera avec plaisir. Et vous n'avez aucune crainte à avoir mes lèvres resterons scellées à propos de tout cela.

Alicia pensa brièvement à son épée magique "Poussière de Larme". Pourquoi l'épée avait elle choisit la fervente chrétienne qu'elle était ?

Gwenaelle se sentit apaisée, par Isabelle et Alicia.

- Merci Dame Alicia. Merci Isabelle.

Elle était chanceuse d'avoir deux femmes prêtes à l'aider.

Puis le temps passait et les invités devaient être tous en bas.

-Je crois que l'heure est venue de descendre aux festivités !
Sir Kadoudal doit déjà y être.

Une mauvaise pensée passa dans son esprit et elle sourit :

Et mon père doit me chercher encore .

Celieth rentra après avoir frappé à la porte, mais sans attendre de réponse. Elle s'était habillée d'une robe parme qui lui laissait les épaules nues, au corset deux tons plus foncé que le reste. Elle postait un tour de cou assortit au corset auquel pendait une rune "Gebō".

"Dame Isabelle, Dames, je crois que les invités importants sont tous arrivés, ainsi que la plupart des insignifiants. Que diriez vous de se diriger vers la salle du banquet ?"

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