Cachot du Capitaine et du Sergent...

Alors qu'Erwana et Roach étaient tout deux ammener dans une cellule, où ils devaient y passer une nuit, la jeune guerrière se mit à réfléchir à propos de Pat. Il venait de lui sauver la vie, elle avait une dette enves lui. Elle avait essayé de sauvé la peau de Roach lorsque ganelon était arrivé , amsi cela n'avait pas fonctionner. Assise dans un coin de la cellule, Erwana regardait sans cesse Pat, puis, elle se leva et alla s'asseoir près de lui. Il était un peu moins saoul, alors peut-être pourrait-elle avoir une conversation avec ce grand gaillard.

"Je tenais à vous remercier pour m'avoir sauvé la vie, sans vous je ne sais pas ce que je serait en ce moement. "

Elle vit soudainment la vilaine blassure que Pat portait sur la tempe. Elle déchira un morceau de la manche de sa tunique et l'appliqua sur la blessure du sergent.

"Je suis vraiment désolé pour votre grade, je mérite moi aussi de me faire reprendre mon grade de capitaine, mais je ne sais pas pourquoi il ne me l'enlève pas ..."

Soudainement , la jeune femme laissa glisser sa main sur celle de Pat. Elle ressentait quelque chose de fort, quelque chose qu'elle n'avait jamais ressentit. Elle ferma les yeux et ses lèvres virnrent se poser sur celle du sergent

Lorsqu'elle se recula, légèrement, elle dit tout bas ;.

" Je n'ai jamais ressentit cela, mais je suis amoureuse de vous..."

Tout d'abord, Pat qui était moins ivre, mais toujours assez frustré contre Ganelon, avait grogné:

'' Je crois bien que c'était mon devoir...''

Puis, au propos de la jeune femme, Roach eut un petit sourire au coin des lèvres et eut un rictus:

'' Il n'ose pas vous enlever votre badge parce qu'il n'a pas le même sentiment puissant de vous humilier! Toutefois, je ne vois pas comment un homme pourrait être assez fou pour faire du mal à une si jolie guerrière...''

Le gaillard musclé et habituellement si rude avec tous, se surpris à dire ses paroles, toutefois, ce fut lorsqu'Erwana posa ses lèvres sur les siennes, qu'il sursauta. Que venait-elle de faire? Puis, il reçut le coup final après avoir entendu la révélation de sa compétitrice de toujours. Roach ne pouvait pas en croire ses oreilles...

'' Voyons, vous êtes sans doute encore sous l'effet de l'alcool! C'est... c'est impossible?''

Il essayait de fuir son regard, mais une force magnétique l'obligeait à faire le contraire. Dans un balbutiement, il ajouta:

'' Personne... ne peut aimé un homme... aussi impulsif que moi! Je suis une brute, une invention des dieux qui n'a qu'une utilisation: détruire son ennemi! Et vous...''

Il se tut. Jamais de sa vie il n'avait fait de compliment à quelqu'un. Il ne savait pas comment faire cela. De plus, Erwana n'était pas comme toutes ses pembêches de femmes qui se vautraient dans le luxe à attendre de recevoir le collier de diamants qu'elles voulaient. Erwana était une fière guerrière...

'' En fait, vous n'êtes pas comme toutes les autres femmes, je dois bien l'avouer...'' ajouta-il, en mettant sa main sur sa tempe qui venait d'imbiber complètement le chiffon que la guerrière lui avait donner.

Erwana avait bien antissipé cette réaction. Elle savait qu'il réagirait comme cela. Voyant que le chiffon etait imbibé, elle déchira l'autre manche de sa tunique, de toute facon, celle ci n'était plus portable, elle était tachée de sang. Elle remit le nouveau morceau de tissu sur sa tempe et fit une légère pression, puis dit:

" Les coups que j'ai recu mon vite fait revenir à la réalité. Je suis en pleine possesion de mes moyens et je sais parfaitment ce que je dis. Je ne vous considère pas comme une brute, loin de là. Je sais qu'au fond, il y a un homme gentil, il faut seulement le trouver.

Prenez par exemple, vous m'avez sauvé la vie tout à l'heure et m'avez complimentée. sachez que j'en ai rougit, mais c'était agréable d'entendre ces mots que jamais personne n'a prononcé.

Je vois en vous un fier combatant, un homme serviable, un ami, mais aussi un homme qui fait battre mon coeur. L'Amour est un sentiment qui ne m'est pas familier, mais je sais ce que je ressens pour vous et je ne peux rien y faire. C'est cette impulsivité qui m'attire..."

Pat, plutôt silencieux, observait cette guerrière avec soin: il ne pouvait pas faire vraiment autrement en ce moment. Ses courbes étaient si belles, fragile et féminimes et refletaient, d'une autre part, un courage accru qui ne se retrouvait dans le coeur que de peu d'autres femmes. Pat paraissait soucieux et pensif, traits qui ne s'était jamais vu dans ce visage, le plus souvent enragé. Puis, il dit:

'' Il faut avouer que je vous aie toujours trouver différente. J'ai toujours eu, dans mon coeur, cet incompréhensif besoin d'être supérieur à vous pour vous impressionner, sans doute... Peut-être était-ce pour moi un signe de vous démontrer plus qu'une compétion?''

Il se tut. Il était un peu gêner d'avoir à avouer cela, mais, le coup qu'il avait reçu à la tête et son ivresse qui l'avait possédé, ne lui donnait pas accès au souvenir du compliment qu'il avait fait à l'égard de la jeune guerrière. Toutefois, comme il ne voyait rien de mieux à faire et qu'il sentait, encore ses sens engourdis par l'alcool et frétillant d'une envie sexuelle démesurée (je m'excuse pour les plus jeunes de ce forum, j'ai pas pu m'empêcher d'écrire ça, XD), il attrapa, gauchement et fortement, Erwana par la taille et l'obligea à se coucher sur le dos.

'' Savez-vous que vous êtes la seule personne à avoir pu me décrocher un compliment?'' ricana-t-il.

Erwana fut surprise de cette vigueur qu'avait Pat. Elle sentait ses sens s'éveiller, mais se sentait un peu gênée. Lorsqu'elle constata qu'il n'y avait aucun garde, elle ne sentait plus la gêne l'envahir.

Couchée sur le dos, la jeune guerrière sentait qu'elle allait passée une très belle nuit, même dans un cellule. Elle embraasa fougueusement le vigoureux soldat. Ils étaient si proche l'un de l'autre, que le jeune femme sentait leur coeur battre à l'unisson.

"Quelle drole de coincidence, vous êtes le premier à me faire des compliments...dit-elle entre deux baisers

Elle caressa tendrement la nuque de son amant.

Si vous sentez vraiment le besoin de vous montrer supérieur, dominer moi, alors ...

Un peu brusquement, n'étant pas terriblement habitué à la romance, il donna à la guerrière maintes caresses un peu partout sur son corps. Tout à coup, un courant d'air chaud enveloppa tout son corps et il décida d'enlever sa chemise noire, récemment gradé d'un badge, qui risquait, toutefois, fort d'êre enlevé bientôt, mais cela ne l'importait pas pour le moment! Il démontra, ainsi, à nu sa montagne de muscle: c'était assez spectaculaire à voir, il en avait partout, même dans le dos...

Peut-être était-ce le fait que l'alcool engourdissait toujours ses sens qu'il avait ce goût si violent d'étreindre cette femme qu'il avait toujours qualifié d'irritable et d'insoutenable, mais il s'en foutait aussi. Il était un homme d'impulsion et se posait peu de questions, cela ne changerait pas pour autant! D'un geste plutôt provocateur et lent, l'homme déposa sa main sur la boucle de son ceinturon en s'exclamant, un peu hésitant, franchement pas habitué à la romance:

'' Je ne veux pas vous forcer à être celui qui vous enleverra votre virginité, mais... comme, apparemment nous sommes pris à errer dans ce trou puant toute la nuit.. je veux dire.. heu...''

Le sergent (en tout cas, pour le moment j'peux encore l'appeller comme ça, XD) se recula. Décidemment, il n'avait pas le tour de parler avec personne... Autrefois, cela ne le dérangeait pas, mais face à cette femme il sentait un sentiment nouveau: la honte.

Erwana réfléchit un peu à ce qu'il venait de dire, mais y porta peu d'importance. Elle le gardait, contre elle, avec force. Elle ne voulait pas laisser le seul homme qu'elle aimait partir ainsi. Même s'ils devaient passer la nuit dans cette cellule, ensemble, ils pourraient rendre cette nuit agréable, même si cette cellule n'était pas ce qu'il y avait de pus romantique.

"Vous savez, je ne suis pas comme toute ces femmes qui pensent pêcher si elle ne sont plus vierges avant leur épousaille.

Tout ce que je veux c'est que nous fassions de plus ample connaisance..."

Elle passa sa main avec légèreté sur le torse nu de Pat, s'attardant sur quelques cicatrices sur le bas de son ventre.

Un bruit sourd et sonore retentit soudain : le garde affecté devant la cellule de la guerrière et de Pat Roach venait de tambouriner contre la porte du cachôt ...
En effet les paroles prononcées par les deux tourtereaux étant répercutées par les murs de cet endroit ( évidemment vide de meubles), le soldat qui sommeillait à côté avait été réveillé ...

- Ooh !! ...

Silence la d'dans ! ...

Vous m'empéchez d'roupiller tranquillement !

La nuit est faite pour dormir nom de diou ! ...

Sans attendre de réponse, le geôlier se cala de nouveau contre un mur et ferma les yeux, après avoir poussé un long soupir ...

Roach ricana, même quand il ne le voulait pas, il réussisait à exaspérer quelqu'un! Il aimait bien ça! Puis, dans le silence le plus complet (seul une petite goutte d'humidité martelait, bruyamment le sol), Pat détacha sa ceinture, ce qui rendit celui-ci, plus facile à tomber. Toutefois, il ne l'enleva pas encore. Il adorait faire durer le plaisir! Toujours aussi brusquement, il attrapa la jeune guerrière et la pencha vers l'arrîère, ses lèvres contre les siennes. Finalement, il se retira pour dire:

'' Je n'aurai pas engueuler ce salaud de Ganelon pour rien, finalement!''

Ensuite, il tourna la tête vers le garde: il venait de se rendormir! Comme pour parler à son égard, même s'il savait qu'il ne pouvait pas l'entendre, il lança:

'' Comment tu voudrais qu'on dorme dans ce trou puant!''

Erwana s'approcha de l'oreille de Pat et dit en murmurre:

"Toute chose à un bon coté..."

Elle colla ses lèvres contre les siennes et elle lui donna une séries de baisers, plus brulants les uns que les autres. Ils passèrent la nuit ainsi, cherchant à dominer l'autre. Ils s'mbassaient comme ils faisaient la guerre, avec force et avec ardeur.

Au petit matin, alors que le soleil pénétrait par le minuscule fenêtre de leur cellule, Erwana se réveille dans les bras du sergent, les deux à moitié nu, seul une couverture les recouvrait. Ne désirant pas se défaire de cette forte étreinte, elle posa sa tête sur le torse de Pat et lui murmurra:

"Le soleil s'est levé..."

En se réveillant endemain de cette nuit de violents coups et de passion, Pat grommela. Au simple fait d'ouvrir ses yeux lui donnait mal à la tête. Comme à chaque lendemain de veille alcolisé, Roach avait une de ses gueles de bois! Laissant la guerrière sur son torse, il renchérit, en grognant:

'' Est-ce vraiment une bonne nouvelle?''

Il ne se rabilla pas immédiatement. Il attendait, patiemment, qu'Erwana se décolle de lui. En vérité, il était bien, ainsi et ça même s'il avait la nausée et un mal de tête effroyable.

Erwana sourit, puis se leva, s'assisant près du sergent. Elle remit ses vêtements, puis marcha un peu dans la cellule.

"Si l'on compte qu'aujourd'hui nous devons reprendre nos tâches quotidiennes, qui sont pour le moment d'interroger ses suspects, alors c'est correct, mais si l'on compte que ce soir, par le faute de ce maudit, Ganelon, nous devons passer une nuit blanche à faire la garde, alors non. "

Elle se rasseoya puis ajouta:

"Il parait que le suspects que vous avez interroger saurait perdu connaissance grace à votre coup ! Peut-être voudriez-vous m'assister dans l'interogatoire de mon suspect ! "

'' Si vous voulez... mais s'il est aussi faiblard que les miens, il ne restera pas éveillé longtemps!'' ricana-t-il en reprenant, ses enflammations habituel.

Il se leva à son tour, puis, en se tenant contre un mur, se rabilla à son tour.

'' À ce que je vois, vous détestez Ganelon aussi? QUEL PRÉTENTIEUX! Il se croît tout permis et N'ÉCOUTE QUE LUI! Il pense tellement que le roi l'estime. Qui sait, peut-être que même Sir Mordred n'est pas capable d'entendre ses jugements qui laissent à désirer...''

Il frappa le mur de son poingt. Ensuite, il s'approcha des barreaux pour regarder le garde endormi. En le réveillant sans doute, il demanda:

'' Hey, tvous, vous pouvez nous dire ce que son altesse et... le '' commandant'' Ganelon attend de nous, maintenant? J'imagine qu'ils s'attendent qu'on interroge des vermisceaux? Le savez-vous? Restons-nous ici encore longtemps à pourrir dans ce trou d'égoût? Si je reste une minute de plus ici, j'pense que je vais défoncer les murs avec ma tête et c'est pas une farce! L'odeur de l'endroit est insoutenable!''

Puisque le soldat ne semblait pas vouloir répondre, Erwana se facha. Il était addosé contre les barreaux, il devait someiller encore un peu. Elle le prit par le cou et lui lanca:

"On avait droit a une nuit dans ce trou puant, pas une nuit et une journée! Faites nous sortir maintenant, où vous ne vivrez pas très vieux. "

Elle le lacha finalement, croyant qu'elle allait vraiment l'étouffer.

"Cet espèce de vermine doit encore dormir, bien confortablement... Et pour répondre à votre question, je ne le porte vraiment pas dans mon coeur. J'ai plus de pitié pour un saxon que pour cet imbécile de Ganelon..."

Le geôlier se retourna en toussant et s'adossa au mur qui faisait face à la cellule ...
Tandis que le garde venant relever son comparse arrivait ...
Le soldat à moitié étranglé par Erwana déclara :

- Morbleu ! ...
Roach ...
Tu devrais apprendre les bonnes manières à ta donzelle ! ...


L'autre soldat intervint dans la conversation :

- Je sens que notre ami aura tôt fait d'être mené à la baguette ! ...

Les deux geôliers partirent à l'unisson dans un rire gras ...
Puis saisissant deux ecueilles remplit d'une bouillis assez douteuse, l'un des soldats ouvrit la petite trappe située au bas de la porte et fît glisser ce qui allait être le déjeuner des deux détenus d'un soir ...
Enfin pour compléter ce repas de fortune, deux gobelets d'eau fûrent introduit de la même façon ...

Puis l'un des gardes lança à nos deux amis :

- Allons, vous ne voulliez pas partir sans avoir goûté à la spécialité du chef ?! ...

Et désolé, les tourtereaux, il manque quelques fleurs, mais comme vous le savez, nulles roses ne peuvent pousser et s'épanouir ici bas ! ...

En tout cas je vous conseil de vous tenir tranquille ! ...

Et vous pourrez sortir dans très peu de temps ...

Après ces échanges, les deux soldats s'éloignèrent et allèrent déjeuner dans la salle des gardes ...

Pendant tout le temps que les gardes avaient ri de leur gueule, Roach avait gardé un regard noir et soutenu, sans broncher le moins du monde, sur ceux-ci qui, avec amusement, venaient de partir pour manger un vrai repas! Avec dégoût, Pat regarda la bouillis qu'il leur avaient tendue avant de l'envoyer sur le mur avec violence. Aussitôt, l'ecueil se fracassa en mille miettes éclabousant le mur, de même, de l'étrange mixture. Pat se contenta donc de boire l'eau.

'' Parce qu'ils croient qu'on est imbécile au point de manger cette horreur? Mais quel façon de traiter des gens de notre rang!!! Et puis, de toute façon, j'avais pas envie de manger...''

Le sergent Roach commençait réellement à être impatient! Il n'avait qu'une seule envie: frapper les barreaux fortement de sa tête pour les défoncer! Toutefois, il ne le fit pas, car, pour la prmière fois de sa vie, il ne voulait pas faire quelque chose d'irréfléchis qui aurait pu, d'une part, lui donner encore plus d'ennuis, mais de l'autre, donner des ennuis à cette merveilleuse guerrière... Il se retourna vers Erwana pour dire:

'' Ils ne méritent même pas des gens comme nous dans leur armée à Orcanie!!! On est trop puissant et doué pour eux! ils ne nous méritent pas!''

Puis, dans un excès de colère, il hurla:

''JE VEUX VOIR LE ROI!!! JE CRIS AU SCANDALE!!!''

Devenue très impatiente par le comportement des gardes, Erwana se retint plus sa colère et frappa fortement dans le mur de pierre pour se défouler. Son poing ensanglanté, la jeune guerrière n'en fit pas un cas. Sa colère était tellement vive qu'elle ne ressentait pas la douleur.

Après avoir fait les cents pas dans la cellule, elle s'asseoya par terre et tenta bien que mal de se calmer.

" Ils ne font jamais arrivé à rien s'il ne nous sorte pas de cette abominable prison. Quand je sortirai d'ici, j'irai voir ce foutu Ganelon et lui dirai ma facon de penser, je lui dirai qu'il n'est qu'un pauvre imbécile sans cervelle qui ne mérite pas le satané poste qu'il a ! (Noté le haussement de ton) "

Elle se contenta de regarder le sol, puis leva légèrement les yeux sur son poing, qui était recouvert de sang.

Hj : aha ! ha! ha!! ... Je me marre ! ont fait moins les malins hein ?! ... remarquez quand on voit comment momo traite ses propres soldats, ses ennemis ont vraiment du soucis à ce faire ...


L'un des soldats, qui revenait en titubant de la salle des gardes répondit aux dernières paroles de Pat :

- Le Roi ?! ...

Rien que ça ?! ...

Pourquoi pas Arthur, le pape et Dieu le père aussi ?! ...

Ah ! Aah !! Aaaah !!! ...

Croyez moi, faudrait mieux pour vous que le Roi ne sache rien de tout ça ...

Il pourrait revenir sur vos avancements ! ...

Après avoir laché un rôt bien sonore, le geôlier déverouilla la lourde porte du cachôt ...

- Aller ! pouvez sortir m'tenant ! ...

Y a du boulôt qui vous attend, dans la cellule de l'orcadien ...

Savez ? ...

McGregan ! ...

Et puis sans rancune, hein ?! ...

J'fais qu'obéir aux ordres, moué ! ...

Sur ce ...

Sans attendre que les deux officiers sortent de cellule, leur gardien tourna les talons et alla rejoindre sa chambrée au plus vite ...
En effet celui ci tenait à peine debout ...