Cellule de la Capitaine ...

Ammenée dans une cellule sombre, lugubre et sans fenêtre, donc sans air ( ou presque !), Erwana s’assit dans le coin de la cellule. Elle se recroquevilla sur elle-même. Pour la première fois depuis qu’elle avait refait sa vie, elle avait peur …

Peur de ce qui allait lui arriver. Elle savait que ses mensonges étaient responsables de tout cela … Tout était de sa faute …

Pat était son dernier espoir, mais l’évêque avait été très clair avec les gardes qui avaient ammenés la guerrière, toute personne qui voulait passer, devait être tué sans exeption … Le guerrier ne pourrait donc pas venir la chercher …

Il les aurait peut-être tous terrassés, mais our le moment présent, il devait être occupé à d’autre chose … Pendant qu’elle pourrissait dans cette cellule macabre, lui devait bien s’amuser ou faire les choses qu’il faisait au quotidien …

Elle s’en voulait de ne pas pouvoir le rejoindre comme elle lui avait promis … Lui … Le seul homme qu’elle avait réellément aimé …

Elle cacha son visage dans ses mains et pleura … Chose qu’elle avait rarement fait dans sa vie … Elle traversait de durs moments et elle croyait bien qu’elle vivait les derniers de sa misérable vie …

Elle ne voulait pas mourir aussi lâchement … Non … Le jour où elle avait choisi cette vie, elle s’était promis de mourir sur un cahamps de bataille, dignement, mais elle avait trop mentit … et cette fois, c’était un mensonge de trop …

Elle savait que Florin ne tarderait pas à venir … Elle, elle ne voulait tout simplement pas le voir, mais elle n’avait guère le choix …

Cet homme démoniaque, elle le détestait à mourir … Il était dur de croire qu’il était évêque car il semblait se réjouir de la faiblesse et la souffrance des autres … Il en profitait pour les ecraser encore plus …

* Si seulement ils pouvaient m,enlever que mon grade et non la vie …* pensa-t-elle …

Les gardes chargés de surveiller la cellule se gaussaient des mahleurs d'Erwana. Mais furent interrompus par la venue d'un Bossu.(HJ:Toute référence au Bossu avec Jean Marais est fortuite)

Bossu! Que fais-tu ici?

J'apporte la nourriture de la prisonière. Déclara-celui ci.

Je ne vois pas l'êveque, tu vas devoir mourir.

Le garde sortit sa lame.

Je crois que non. Le Bossu se redressa, avec deux épées dans ses mains. Il trancha le premier garde comme une part de quiche (HJ:Toute référence à Naheulbeuk n'étant pas fortuite). Puis fit un salto arrière, deux gardes s'embrochant ensemble. Puis Marth trancha les scéllés de Narsil et Hadhafang. Puis il lança Balmung, une de ses deux épées, dans un garde, attrapa Hadhafang et lança le sabre sur la serrure de la cellulle, libérant Erwana, et lui lança Nothung, continuant le combat avec Balmung et Narsil. Et mettant le dernier garde à terre.

Dépéchons nous, prend Hadhafang et Nothung, et fuyons avant l'arrivée de renforts. Il nous faut rejoindre l'écurie.

Marth était froid, distant. Toute chaleur, toute tendresse avait quitté sa voix,son regard, son visage. La Peur, la Colère, la Haine et la Souffrance habitaient son coeur. La Peur de perdre Erwana, la Colère contre Florin, la Haine contre Pat Roach et la Souffrance à cause d'Erwana, et de l'Amour qui'il éprouvait pour elle, mais n'était pas réciproque.

(HJ: Toute référence à Star Wars et au Côté Obscur est bien évidement fortuite, tout comme le fait que je conseil d'écouter Anakin's Dark Deeds [Anakin's Dark Deeds par John Williams & le London Symphonic Orchestra, bande son de Star Wars Episode III, La Revanche des Siths], en lisant ce post)

Une pointe froide perça la chair à travers la poitrine de Marth, juste au dessous du coeur.

- Scellerat!

La lame se retira. Marth s'effondra sur le sol, mortellement blessé.
Deux gardes se précipitèrent sur Erwanna, la retenant pour ne pas que celle-ci tente quelques manoeuvres.

Nicolas entra dans la cellule, entouré de cinq autres gardes.
L'un d'eux se précipita sur le fils d'Austrasie et lui arracha ses armes. Un autre le fouilla et lui retira tout ce qui pourrait savérer utile pour se défendre.

- Marth, Marth, Marth... Mon pauvre sot!
Comment avez-vous su que votre maîtresse se trouvait ici? Pourquoi avoir commis la sottise de tenter de la libérer!
Oh! Marth, mon pauvre enfant... tu vas devoir mourrir... regarde! Tu perds tout ton sang.

Le ton qu'employait l'évêque était plus qu'effrayant... Le rythme était lent et aussi doux que mielleux.

- Il y avait un poison sur la lame, Marth... Alors... Il ne sert à rien de résister!
Voici le Dernier Jugement!

HJ: Je croyais qu'il fallait une autorisation pour tuer un personnage....

Voici un compromis:

Marth se retourna. Ces gardes n'étaient naturellement pas discret, alors avec armes et armures, on pouvait les entendre des lieus à la ronde. Il para donc cette lame visiblement empoisonée qui se brisa sur le sol. Mais Erwana ne réussirait pas à parer l'attaque d'un homme et la flèche d'un archer visiblement plus inteligent que ses amis. Marth affrontait un des pingouins en armure quand il vit l'archer tirer. Il se jetaentre Erwana et l'archer, faisant bouclier de son corp et reçut la flèche juste à la clavicule droite. Il laissa tomber Balmung mais affirma sa prise sur Narsil. Maisl lorsqu'il laissa tomber Balmung il shoota avec son pied et l'envoya voler sur l'archer.

Comme ça je suis blessé, mais encore en vie. Et j'avoue une grande envie de libérer Erwana...........

Erwana regarda la scène qui se dérouillait et ne elle ne pouvait pas intervenir ... Elle ne s'était même pas battue pour échapper aux gardes alors que la cellule était grande ouverte.

Lorsqu'elle vit la flèche arrivée vers elle, elle sentit la dernière heure arrivée, elle en fut " contente" car elle pensait ne pas à voir la souffrance peser sur sa vie, mais Marth pris la flèche à sa place ...

Certes elle voulait le remercier, mais il n'avait pas étét obligé de faire cela ... Elle avait accepter cette sentence et savait qu'elle méritait amplement de pourrir dans un cachot...

Pour la première fois depuis qu'elle avait été arrêtée, elle dit:

" Je ne partirais pas d'ici ... J'ai été reconnue coupable de désobéissance à un ordre royal et j'assume la sentence que l'on m'imposera ...

Tu as peut-être la grande envie de me libérer, mais je n,ai pas l,intention de m'enfuir comme une lâche ...

Jamais ..."

Hj: Voilà enfin quelqu'un qui a compris !
Merci Erwanna !

Écoute, Marth. Oui, il faut la permission du joueur. Cependant, si ton personnage se comporte comme un imbécile et qu'il se jète dans la gueule du loup, scuse moi mais... je pense que le loup ne se privera pas d'un bon repas ce soir!
Et puis, tu vas contre les lois établis. Et qu'arrive t'il aux gens qui à l'époque comettait des crimes?
Tu entres dans la cellule, armés jusqu'aux dents, tu tues MES gardes (^^) et puis... tu te permets !
D'autre part, tu fais la remarque (désobligeante) de me rapeler les règles alors que toi-même tu ne les suis pas. Ce que tu fais, c'est clairement du Pk!
Comment Marth a su qu'Erwanna avait été arrêté?
Jveux pas mettre de la merde, c'est juste un tantinet chiant... surtout après une journée de travail intense et une déprime profonde pour une raison X... sans parler de ma faim inssatiable de ses derniers temps!
( Comment jvais faire pour perdre du poids moi )
Sans rancune (ne le prend surtout pas mal stp!)!!



Florin dirigea son attention vers Erwanna. La réplique de la guerrière le sidéra.
Avait-il bien entendu? Assumait-elle les conséquences de ces actes?
... sans broncher?

Nicolas en fut heureux... et sincèrement.

- Bien! Emmenez Messire Marth dans une cellule éloignée de celle-ci.
Les règles demeurent les mêmes que celle de la capitaine.

HJ: Attends, tu crois qu'une nouvelle aussi importante que la mise au cachot d'un capitaine, surtout une femme, va rester longtemps secrète? Bonjour les ragots..........

Sinon: Marth fut secoué par ses paroles, et baissa sa garde, si bien qu'un homme vint le frapper du plat de sa lame au ventre, le faisant tomber à terre, et pointa la lame sur le cou.

Marth c'était montré trop impulsif, une fois encore. Mais le nombre de morts avait été plus faible cette fois ci.

Et bien vous avez gagné mon père, alors? Heureux?

Nicolas dévisagea haineusement Marth.

- Pourquoi serai-je ''heureux''? Pour qui me prenez-vous, jeune imbécile?
Non, je ne le suis pas!
Nous vous avions accordé notre confiance... et vous l'avez trahit!
Je suis déçu... Je suis peiné.

Hj: C'est Florin, pas Ophelia...........

Marth enleva son regard noir de Florin, et le posa sur Erwana, mais le regard avait changé, ce n'était pas de la haine mais de la souffrance qu'on y trouvait. Il avait d'abord défié son père en demandant Erwana en mariage. Il lui avait offert de partager sa vie, et là il avait risqué sa vie pour la sauver. Marth avait été près à tout sacrifier pour elle, et elle le poignardait.

Erwana regarda MArth, mais n,avait aucune émotion fasse à son état. Elle en avait assez de sa propre situation, elle n'était pas pour se sacrifier pour lui aussi.

Elle regarda Marth puis dit:


" Ce que vous avez fait était irresponsable ... Si je n'ai pas tenté de me débattre ou bien de m'enfuir, c'était pour la simple et bonne raison que je ne le voulais point ...

Vous perdez votre temps et en même temps , votre dignité ..."

Elle n'avait aucune émotion pour lui, elle voulait seulement savoir quand pourrait-elle mourrir.

Elle se tourna alors vers Florin:

" Monseigneur, quand donnerz-vous l'ordre que l'on m'exécute ... ? "

Naaaaan!!!!!!!!!!!!

Marth ne pouvait pas l'accepter. Il n'y arrivait pas.

A chaque fois qu'il aimait une femme, sois ellel e repoussait,soit elle mourrait. Et là s'allait être les deux.

Non...... Erwana...... Marth sentait les larmes couler sur ses joues. C'était trop dur. il yavait eu trop de morts auxquels Marth tenait.
Son Maître,de nombreuxamis, celui qu'il avait crut être son père, sa mère........ Elle aussi était morte. Et cette mort l'avait traumatisé. Il n'avait que 5 ans a l'époque.

Marth ne voulait pas perdre Erwana comme il avait perdu sa mère. Pourquoi ne l'avait-elle pas suivi, pourquoi?

Les gardes se saisirent de Marth et l'entrainèrent, sans qu'il ne put réagir. Il faut dire qu'ils étaient trois contre un... et dans un élan de surprise et de desespoir, un homme ne sait comment réagir.

Nicolas entra dans la cellule. Il traversa la semi-obscurité, comme s'il se trouvait dans son propre élément. Il fallait savoir que l'évêque de Rome ne passait guère plus de temps dans son bureau ou à la chapelle.
Ses manches relevés laissaient voir ses mains étrangement blanches... et ses ongles sous lesquelles résidaient une croûte de sang fraîche.
L'émissaire du Pape passait le plus clair de son temps à torturer les prisonniers.

Il s'agenouilla face à Erwanna, rassuré de sa réaction fataliste. Quelle belle enfant sage elle était devenue, en si peu de temps!

- Erwanna (il lui faisait si étrange de l'appeler ainsi!)... Vous ne serez point tué tout de suite. Vos tourments n'ont pas encore pris fins.
Je vous sais bonne chrétienne et il me chagrine de conduire une brebis aussi censé que vous sur le bûcher.

Il passa sa main dans les longs cheveux bruns et soyeux de sa captive.

- La mort est le dernier espoir, la dernière délivrance que j'accorde à mes suppliciés.

Il sourit aimablement en relevant le menton d'Erwanna.

- Mais vous n'êtes point encore ma supplicié... et je ne prendrai pas plaisir à blesser une femme qui n'a rien à avouer.
Et pourtant, je devrai vous punir pour votre faute...
... est-ce vraiment là ce que vous recherchez?
Désires-tu réellement mourir et brûler en enfer? Désires-tu être excécuté publiquement? Veux-tu réellement qu'on se souvienne de toi comme une sale gueuse qui n'a pas su respecter son roy? Ou bien désires-tu qu'on se souvienne de toi comme d' ''Erwanna, la grande guerrière orcanienne qui a su mener les troupes du roy Mordred à la victoire''!

Erwana devait l'avouer , elle avait terriblement peur de Florin. Avec lui, on ne pouvait pas savoir qu,elle serait sa réaction car il était mystérieux.

L'air qu'il adopta avec la jeune femme donna froid dans le dos à la jeune capitaine. Lorsqu'il passa sa main dans les cheveux de la guerrière, celle-ci fut en proie à un grand frisson qui lui traversa tout le corps.

- Vous avez raison, Monseigneur, je ne veux certes pas mourrir ... mais si tel est le chatiment que vous m'imposerez, alors je ne tenterai pas de fuir cette mort ...

Des larmes perlaient sur le visage de la jeune femme. Elle tentait de contenir ces larmes, mais la penser qu'elle allait peut-être tuer, lui déchirait le coeur

- Je m'étais toujours promis de mener les troupes à la victoire, oui ... C'était mon objectif dans cette armée, mais je me suis tellement mentit à moi-même que je pourrais je me suis retrouvé à désobéir au roi .

Pourrais-je être pardonnée pour cette faute ... ?

Je ne désirre pas mourrir, maintenant ... j,ai trop de chose à dire à quelue'un ...

Elle s'interrompit un moment puis reprit:

- Je vous avait mentit en confession ... Je ne regrettais pas le geste que j'ai posé avec le sergent Roach ...

Encore plus de larmes coulèrent sur le visage triste de la jeune guerrière...

Nicolas essaya tendrement les larmes roulantes sur les joues d'Erwanna, tout en caressant sa machoire.

- Je sais... Je sais... Et vous participerez à la bataille, j'en fais serment.
Je ne sais si le roy vous permetteras de mener ses hommes au combat... mais je lui en toucherai un mot.
Pour le moment, vous resterai ici... sous la garde de mes officiers.
Si je puis faire quelque chose pour vous, demander aux gardes une plume, de l'encre et du papier et faites moi parvenir une missive.

L'évêque sembla hésiter...

- Désirez-vous que j'entende votre confession... ici?

Un brin d'espoir sembalit renaitre dans la coeur de la jeune femme . Elle cessa ces larmes, puis dit:

" Je vous remercie ... Monseigneur ...
Je ne croayis pas pouvoir avoir une deuxième chance, mais vous m'avez redonner espoir ..."

Elle aurait voulut sauter au cou de Florin, mais elle se retint. De qui aurait-elle l'air ?

Lorsqu'il fit mention de papier, encre et plume, Erwana demanda:

" Pourrais-je avoir de quoi écrire, j'aimerais écrire une lettre à ... au Sergent Roach ..."

Il la question pour savoir si elle désirait se confesser maintenant, et elle répondit:

" J'ai les idées chamboulées en ce moment ...
Je ... je ne me sens pas d'attaque pour me vider le coeur ...
Seulement, si cela vous dérange de revenir, alors je peux toujours me confesser maintenant ... "

Nicolas n'était pas dupe. Et l'attitude innocente d'Erwanna l'irrita.

- Ce n'est point une deuxième chance, ma chère amie! Vous serez puni, comme il se doit!
Vous le devez sur-le-champs, Erwanna!, dit-il avec une douceur surprenante, malgré son ressentiment. Car demain, il sera peut-être trop tard!
Oh! Combien de malheureux n'ont point suivient mes conseils et sont décédés une nuit... dévoré par les rats! Transit de froid!
Vous ne voudriez quand même pas...

L'évêque s'interrompit, mimant une mine de stupéfaction horrifiée.
La Capitaine n'en démordrait pas aussi facilement!

Erwana avala de travers lorsque l'évêque parla de ceux qui étiane tmorts car ils avaient ignorés ses conseils, alors plutot que de répliquer et de se mettre encore plus dans le pétrin, elle baissa la tête, honteuse puisque avait eu du culot de demander de telles choses…

- Je suis prête à recevoir le chatiment que je mérite pour cela ...
Pur ce qui est de ma confession, alors je pourrais commencer par ce que j'ai fait ...
C'est-à-dire, cette erreur stupide de libérer messire Marth de sa cellule ...

Comprenez que lorsque j'étais venue vous voir au confessionnal, j'étais appeurée à l'idée de devoir épouser un homme pour lequel je n'aurais pas de sentiments ... et il n'y avait aucun qui me plaisiat vraiment ...

Au début, j,ai cru que ma relation avec la sergent serait une simple aventure d'un soir, rien de trop sérieux, mais cettefois, je comprenais ce qu'il en est ...

J'avais dit à messire Marth que j'allais l,épouser, mais c'était juste pour bien ne pas élever les soupcons de ma relation avec le sergent ... Voila pourquoi j'ai menti et j'ai fait une telle betise...

Nicolas ferma les yeux. Quelle sottise! Quelle horreur! Quelle infamie! Comment avait-elle put? Comment…?



L’évêque ferma les yeux, et ses traits se tendirent. Cette histoire, il la connaissait déjà. Cette vérité, il l’avait apprise par ses espions. Cette traîtrise méritait punition.



Il ne répondit cependant pas, attendant la suite de cette confession.

Puisque l'évêque n répondait pas, elle continua :

- ... J'avaias de grandes amibtions ici, mais voilà que tout s'éffondre par un simple mensonge de trop ...

Je ... Je ferais tout pour être repentie de ces fautes ... tout ...

Mais ... mais je n'ai jamais eut de mauvaises intentions ... veuillez me croire ...

Je dit la vérité cette fois ... je vous le jure ...

Elle cacha son visage dans ses mains, honteuse de sa situation ...

- Aucune haine dissimulée? Aucune pensée néfaste? Aucune paresse? Aucune gourmandise? Aucun mensonge?

Nicolas considérait Erwanna de bien haut, animé par la haine et par le dégout.

- Aucune mauvaise volonté? Aucune pensée sombre? Rien, rien que cela...?

Erwana enleva ses mains de son visage et son regarda dur, croisa celui de florin. Elle était déterminée à se battre jusqu'au bout, en disant la vérité, peut importe le prix ...

- Oui ... une haine ... terrible ... contre le Capitaine Ganelon ... Ils nous triate comme des chiens ... comme si nous étions des imbéciles ... Il fait sa loi, mais moi je veux faire la mienne ...

L'armée d'orcanie est pleine de soldats incompétents ... et qui écopent ? Les plus compétents ...

Moi et le sergent Roach, nous n'avons rien fait de mal ... Est-ce mal d'avoir voulut défendre notre vie ? Non, et pourtant, on s'est retrouvé en cellule ...

Est-ce mal le fait que j'aime cet homme,? Non, et pourtant, j'ai dû mentir pour que nous puissions garder notre relation secrete ...

Et voila où j'en suis ...

L'ignoble Nicolas Florin demeurait de glaçe bien qu'interrieurement, il jubilait!

Plus elle débitait, plus l'étau se resserait sur la belle Erwanna. Cette femme, si ravissante, l'affolait! Avec ses excès de cruauté à faire frémir, il désirait la voir sangloter d'avtanges... supplier.


- N'y a t'il aucun autre crime?, demanda t'il, doucement.

L'évêque s'approcha, lentement. Ses yeux aux lueurs irréels scrutaient Erwanna comme s'il eut pu lire dans son âme.

- Aucune autre haine dissimulée au plus profond de vous-mêmes? Aucun crime contre Dieu ou contre ses représentants? Aucun crime de lèse-majesté?

Des larmes coulèrent sur le visage de la jeune femme, mais des larmes de colère, de larmes qui ne représentait guère la tristesse .

Lorsque son regarda croisa celui de Florin, elle détourna la tête, comme intimidée par ce regarda de cruauté

- Contenir la haine est malsain ... Voila pourquoi je fais mon possible pour ne pas en contenir trop, mais en effet, il a une dernière haine en moi, celle de voir que vous prenez un grand plaisir à torturer l'âme des gens ...

C'est ignoble ...

Voila pourquoi vous ne réussirez pas à me faire craquer , cette fois ... Parce que je connais votre jeu ... et je ne sui pas prête à capituler devant vous ....

Est-ce clair ?

- Fille d'Ève, garce pêcheresse! Comment osez-vous parler ainsi de votre sauveur, d'un homme d'Église, d'un serviteur de Dieu, du premier conseiller de votre roy, du plus fidèle serviteur de son Altesse?
Ingrate! Vous partagerez le sort de vos consoeurs!

Vous serez envoyé dans un couvent! Et si vous refusez, Erwanna... Si vous vous opposez, de quelques manières que ce soit... vous brûlerez sur un bûcher dresser à votre intention! Et vos cendres seront éparpillés au quatre coins du pays!

Et vous errerez, âme damnée, indéfiniement sur terre!