Appartements D'Élizabeth

Élizabeth était dans sa chambre.
Elle regardait par la fênêtre au loin.
Elle ne pensait qu'a seule qui était prisonniere du roi de gaures.
Sont plan n'avait pas marcher.
Elle regarda Erwanna et lui dit.
-Tous cela est pour ma mère avec des larmes chaude.
Ma mère est prisonniere de satan.

Erwana resta de glace et masqua son visage d'unn masque neutre. Elle ne devait pas failir à sa tâche.

"Le Roi en décidera lui même. Je n,.ai pas l'autorisation de vous laisser sortir et ce même si c'est pour sauver votre mère, je regrette."

La jeune guerrière laissa la princesse seule, refermant la porte derrie`re elle, et attendit la visite du roi à l'extérieur de la chambre.

Promptement avisé de la situation présente, Mordred décida de se rendre toutes affaires cessantes aux appartements d'Elizabeth ...
Sa cousine inquiété pour trahison ? ...
Le Roi ne savait que penser de cette bien troublante nouvelle ...
C'est donc au comble du désarrois que l'orcanien se présenta aux portes de la chambre princière ...
Lorsqu'il apperçut Erwana, Mordred l'aborda sans façon :

- Et bien Erwana ? ...

Que m'apprend t-on ? ! ...
Ma cousine ...
Cherchant à faire évader un détenu, un ennemi ?! ...
Cela parrait invraisemblable ...

Expliquez moi ça ! ...

Bien que décontenancé, le Roi avait parlé avec autorité et considéra la guerrière avec un regard impérieux ...

Erwana s'inclina devant le Roi lors de son arrivé, et dit d'une voix assurée:

" Sir, la princesse Élizzabeth est venue dans les cachots alors que moi et le Sergent Roahc intérogions Macgregan, un des deux fugitifs que nous avons capturé.

Elle m'a si tôt ordonné de libérer le fugitif, sous peine de voir la Roi de Gaurres me tranchez le gorge. Puis, ensuite, elle ;a murmurréàu prisonnier qu'ils devaient tout deux se sauver d'Oranie de rentrer en Gaurres et de préaparer la guerre. "

Elle reprit son souffle puis continua:

" De faon préventive, je l'ai placée dans une cellule puis le Capitaine Ganelon m'a ordonné de la conduire dans ses appartements et d'attendre vos ordres.

Votre cousine prétend qu'elle a agit de la sorte pour sauver sa mère, la reine Minara qui est détenue par le souverain de Gaurres.

Quelles sont vos ordres, Sir "

Mordred écouta, effarré, les explications d'Erwana et ordonna aussitôt :

- Vous avez très bien fait ...
Vous pouvez vous retirez ! ...
Rejoignez le sergent Roach et faites plier le détenu !
Par tout les moyens ...

Puis le Roi fît son entrée dans les appartements d'Elizabeth et s'avança vers celle ci :

- Pourquoi avoir pénétré dans une cellule sans mon accord ?
Pourquoi avoir voulut faire libérer un dangereux prisonnier et donner des ordres à des soldats placés sous ma seule autorité ?
Pourquoi penser que ce criminel qui a essayé d'attenter à la vie de votre soeur Anna pouvait vous être d'une quelconque utilité ?! ...


Mordred avait prononcé ces paroles avec une certaine rudesse, mais finit par se radoucir ...
Il considéra Elie avec compassion ...

- Ma pauvre cousine ...
N'avez vous pas saisis la teneur des propos de votre frère tantôt ?! ...
Votre mère est hélas morte ...
Assassinée tout comme votre cher père par ce criminel de Baléagant ! ...

Le Roi fixa sa cousine avec intensité et déclara avec force :

- Je jure sur tout ce que je possède de plus précieux de venger vos parents et de chatier le monstre de Gaurres !! ...
Je n'aurais de cesse de combattre jusqu'a ce que justice soit faite ! ...

En attendant ce jour béni, pleurons la reine Minara, pleurons ensemble !


Mordred prît sa cousine dans les bras et l'embrassa avec affection ...
Puis il s'adressa de nouveau à elle :

- Elizabeth ...
Vous devez me promettre de ne plus commettre de telles choses ! ...
Prometez le moi et vous ne serez plus tenu de rester dans votre chambre toute la journée ! ...

Le jeune souverain regarda la princesse avec sévérité, mais ne tarda guère a lui faire le plus beau des sourires ...

Promis mon cousin

.La jeune princesse pleurait toute les larmes de sont corps.
-Pourquoi ce sale Balégrand veut tuez toute ma famille.
Pourquoi j'ai agi comme cela.Oh mon dieu ques'que j'ai fait.
Ont dirais qu'une sorciere ma jetez un sort,
Oh si j'aurais un homme dans ma vie.Cela serait tellement plus simple.
Le seule bonheur qui pourait mettre accordé ces d'avoir et d'aimé un homme et avoir un enfant que j'aimerait a jamais.
Je sais que je peut etre tres exignante mon roi.
Mais j'aimerait vraiment que si une alliance est possible avec un royaume peut importe que je sois le fruit de cette alliance.

Mordred tenta de consoler sa cousine de son mieux, et lui tendit un mouchoir richement brodé ...

- Baléagant est un animal dangereux mais je jure de l'abattre tôt ou tard ! ...
Et ne vous tourmentez plus pour votre erreur ...
Vous êtes bouleversée, voilà la raison de votre geste ! ...

Quant à votre proposition d'alliance avec le seigneur saxon, j'accepte volontier et je compte envoyer une missive à l'attention de sir Aegirson, pour lui annoncer la teneur de notre proposition ...
Sur ce, pardonnez moi je dois me retirer ...

Le Roi salua chaleureusement Elie et sortit de ses appartements ...

Suite a ce qui savait passez dans la grande Salle.
Élizabeth était coucher sur son lit.
Bien des medecins essaya de la liberez mais rien n'était a faire.
Son front était humide.Les medecins croya bien que c'était la fin de la souveraine de Gaures.Les medecins alla avertir le roi.

- Dame Niniane, je suis heureuse de vos rencontrer bien que j'aurais préféré que ce soit en d'autres circonstances. Je suis Dame Aylla.

Niniane, qui reprennait peu à peu posséssion de toute sa personne, ralentit le pas pour être à hauteur de la suivante de la reine. Lui offrant alors un sourire des plus aimbables,elle répondittout en la dévisageant un peu mieu pour savoir à qui elle avait affaire.

"Enchantée de faire votre connaissance, Dame Aylla..."

Ne pouvant conserver son soulagement pour elle même, elle rajouta plus doucement, pour ne pas être entendu d'oreilles indiscrêttes:

"Pour ne rien vous cacher, je suis soulagée de quitter la pièce... Même si la perspective de me rendre au chevet d'une mourrante ne m'enchante guère, j'y serai plus à ma place..."

Un petit sourire quelque peu géné se dessina alors sur ses lèvres, étaler ainsi ses sentiments devant une inconnu n'était peut être pas une bonne idée... Mais a première vue, la jeune demoiselle qui suivait les pas du médecin en sa compagnie ne semblait pas du genre méchante, ou encore du genre à colporter ses paroles à n'importe qui...

"Excusez moi de vous poser cette question mais il faut que je m'informe... Quelle position occupez vous au sein de ce chateau...?"

Aylla était trés sceptique sur l'état dans lequel elles allaient trouver Elisabeth. Les médecins dés que les saignées ne marchaient pas avaient une fâcheuse tendance à déclarer le patient mourant. Aylla en avait fait l'expérience plus d'une fois. Bien souvent ils étaient des charlatans. Mais là il s'agissait tout de même des médecins royaux...Elle était en tous cas soulagé d'être sorti de cette salle et en compagnie de Dame Niniane qui semblait être trés sympathique. Elle avoua avec un léger sourire

- Moi aussi je suis soulagée vous savez...je n'ai jamais connu une ambiance pareille...mais je ne suis à la cour que depuis peu. Et...enfin c'est la premiére fois que je me rends au chevet d'une mourante.

Et pui Niniane lui demanda quelle était sa place dans la cour. Aylla en avait elle vraiment une ? Enfin si normalement
- Je suis une suivante de la reine et aussi fille du Duc de Brisane

Elle sourit
- Puis je être indiscréte et vous demander quelle est votre place à la cour ?

Elle rougit légérement consciente que sa question était un peu directe
- Pardonnez moi de cette question mais je loue la sagesse d'Avallon et voir une prêtresse ici me surprend un peu en vérité...

Elle sourit chaleureusement à la jeune femme
- Bien que je sois heureuse de faire votre connaissance

Niniane avait donc affaire à une duchesse... En plus d'une des suivantes de la reine! Interessant... Comment avait elle attéri ici? Elle le saurait peut être plus tard, ou un autre jour... En tout cas, elle était heureuse de savoir qu'elle n'avait pas été la seule à trouver cette étrange "réunion" quelque peu... Comment dire... Etouffante. Elle avait crain un instant de se comporter comme une sauvage en quittant si promptement la table sans demander son reste...

- Puis je être indiscréte et vous demander quelle est votre place à la cour ? Pardonnez moi de cette question mais je loue la sagesse d'Avallon et voir une prêtresse ici me surprend un peu en vérité... Bien que je sois heureuse de faire votre connaissance

"Vous le pouvez tout à fait, et il n'y a pas d'indiscrétion la dedans..."

Répondit elle en souriant toujours à la jeune femme. Elle se doutait bien que sa présence devait en ettoner plus d'un. Après tout, son arrivée au palais était encore fraiche, et peu de gens devaient être au courant de l'entretient qu'elle avait eu avec le roi le jour même...

"Je suis venu demander protection au roi Mordred, chassé de mon île pour les raisons que vous devez connaitre. La lutte contre les enfants du christ est dur... Mais en plus de sa protection, le roi Mordred m'a offert d'officier en un temple non loins d'ici... Je suis devenu, pour ainsi dire, Grande prêtresse en ses terres..."

Elle laissa ensuite à Aylla tout le loisir de répondre, la regardant d'un coin de l'oeil pour juger de ce que cette nouvelle provoquerai chez elle...

Aylla retint ne put retenir une exclamation choquée. Une prêtresse d'Avallon chassée! C'était un véritable sacrilége, un manquement aux lois les plus sacrées :
- Chassée dame Niniane ? Chassée ? Non j'ignorais que les choses en étaient arrivées là! C'est...parjure!

Aylla s'apaisa. Rien ne servait de s'énerver. Mais de par sa mére adoptive, Aylla avait eu la chance de bénéficier d'une infime partie de l'enseignement des prêtresses. Elle avait été élevée dans la croyance de la Déesse. Et entendre cela était inconcevable pour elle
- J'ai entendu dire que la reine Gueniévre usait de toute son influence auprés du Haut Roi pour le convertir à la chrétienneté mais j'ignore si cela est vrai. Etrange cette croyance chrétienne ne trouvez vous pas ? Elle met la femme au rang de "créature du Diable". Et que penser d'un Dieu qui s'impose par le crime et le sang ?

Elle réfléchit un instant
- Le roi Mordred vous a donc confié a direction d'un temple ? J'en suis heureuse Dame Niniane...si je peux faire quoi que ce soit pour vous n'hésitez pas à me le demander...Mais je ne pense pas êtree d'un grand secours

Mais pourtant Aylla pensait que ce n'était pas probblement pas par simple bonté d'âme que le roi avait accepté d'accueuillir la prêtresse. On était en Orcanie ici. Tellement de choses étaient différentes...

- Chassée dame Niniane ? Chassée ? Non j'ignorais que les choses en étaient arrivées là! C'est...parjure!

Un petit sourire se dessina sur les lèvres de la prêtresse devant l'indignation de la jeune suivante... Celà montrait au moins son attachement aux anciennes croyances, et son rejet face à la chrétienté qui pourtant gagnait tout le pays depuis que...

- J'ai entendu dire que la reine Gueniévre usait de toute son influence auprés du Haut Roi pour le convertir à la chrétienneté mais j'ignore si cela est vrai. Etrange cette croyance chrétienne ne trouvez vous pas ? Elle met la femme au rang de "créature du Diable". Et que penser d'un Dieu qui s'impose par le crime et le sang ?

"Hélas, ce que vous avez ouïe dire est juste... Le Haut roi de Grande Bretagne est en effet coupable de trahison face à l'île d'Avalon... Non content d'éberger des prêtres en son royaume, il a égalemment abandonné la bannière des Pendragons au profit d'une croix d'église sur fond blanc, brodé de la main même de la reine parait il... Il va jusqu'à abouber ses nouveaux chevaliers avec excalibur..."

Le regard persant de la prêtresse en disait suffisamment long sur ce qu'elle pensait du fameux roi Arthur que tout le monde louait si fort à travers le pays... Certes, il avait rammené la paix sur le royaume, et une certaine économie, mais grâce à qui y était il parvenu? Et pourquoi maintenant qu'il était au plus haut soumettait il son propre peuple à une telle sauvagerie...? Car enfin, dans ses veines coulait le sang des Pendragons, et par conséquent, celui d'Avalon... Mais l'homme est ainsi fait. Il à la mémoire facilement sélective, et ne se souvient que de ce qui l'arrange...

Ses réfléxion coupèrent cour lorsque la jeune femme reprit le dialogue:

- Le roi Mordred vous a donc confié à la direction d'un temple ? J'en suis heureuse Dame Niniane...si je peux faire quoi que ce soit pour vous n'hésitez pas à me le demander...Mais je ne pense pas être d'un grand secours...

"Je saurais me souvenir de votre fidélité envers la Déesse..."

Dit elle avec un sourire bienveillant.

"Soyez sûre que je me tournerai vers vous si le besoin s'en fait sentir. Vous avez à présent toute ma confiance..."

Cette aveux était en partie vrai. Niniane se plaisait à croire que la jeune fille parlait juste et sans fausseté. Elle pourrait être une alliée de poids dans la bascule de la guerre entre les deux religions. Elle ne l'oublierai pas...

La reine Élizabeth resprait vraiment très mal.
La cause de tous ce mal était du a une plai infecté.
Cette plai c'était Balgréant qu'il lui avait fait.Personne ne souvait cela car elle était caché sous son corsage.Balgréant avait bien choisi sa place pour faire une telle coupure.Il avait décidé de lui rentrer un poignard dans l'un de ces deux côtes.Élizabeth regard les deux jeunes femme et leurs dit sur un ton role.
-Sous mon corset! Elle se referma les yeux.Car très bientot son heures arriva.En plus de tous sa son sang était infecté du poison qui avait sur cette lame

"Hélas, ce que vous avez ouïe dire est juste... Le Haut roi de Grande Bretagne est en effet coupable de trahison face à l'île d'Avalon... Non content d'éberger des prêtres en son royaume, il a égalemment abandonné la bannière des Pendragons au profit d'une croix d'église sur fond blanc, brodé de la main même de la reine parait il... Il va jusqu'à abouber ses nouveaux chevaliers avec excalibur..."

Aylla allait de surprise en surprise. Ou plutôt pas tant que cela. Avallon entrait elle en guerre contre le Haut Roi ? Quand à la riene Gueniévre, elle connaissait sa dévotion au Dieu Chrétien. Plus jeune Gueniévre avait été une femme de tête, sachant prendre les bonnes décisions et aidant son mari. Mais depuis quelques années elle s'était réfugiée dans la nouvelle religion avec une dévotion plus que développée. Presque fanatique.Certains attribuaient à cette nouvelle direction le fait que la reine ne puisse mettre au moonde l'héritier du trône. Elle hocha la tête
- C'est le vieux principe du : si vous n'êtes pas avec moi, vous êtes contre moi n'est ce pas ? Je crois Dame Niniane qu'il y a plus que ça...je suppose qu'il serait intéressant de connaître l'envers du décor et pas seulement ce que le Haut Roi veut bien nous montrer...c'est pourquoi je ne porterai aucun jugement sur ses actes. Même si ils me rébutent au plus haut point. Renier sa foi et la Dame du Lac qui lui a tout donné est grave...tôt ou tard il en paiera les consquences

Les deux femmes s'étaient approchés du lit de la reine dont le jeune médecin s'occupait toujours. L'air un peu désemparé mais de bonne volonté, fait étrange, la patiente n'était pas déshabillée. Elizabeth semblait inconsciente lorsqu'elle prit péniblement la parole
-Sous mon corset!

Aylla regarda Niniane, puis le jeune médecin qui semblait de plus en plus ennuyé ? Pudeur ou négligence ?
- Messire s'il vous plaît allez chercher une bassine d'eau fraîche, et faites dire à la famille royale que la Dame Elizabeth a repris consciences

Le médecin partit et Niniane et elle s'employérent à déshabiller la jeune femme le plus délicatement possible. Aylla pendant ce temps parlait à Elizabeth tentant de la garder consciente
- Nous, sommes là, tout ira bien, nous nous occupons de vous. Que s'est il passé Elizabeth ?

Aylla employait volontairement un ton trop familier. Dans ces situations les conventions étaient à exclure. Elle tenait la main de la jeune femme

Balégrant ma ma... rentrer un poignard empoisonné dans mes côtes pour pas que je puise dire tous ces fait contre mon tres cher cousin.
Maintenant je vais payer pour ma traitrise envers mon roi et mon époux.
Hélas je ne pourrait jamais rellement aimé un homme

- C'est le vieux principe du : si vous n'êtes pas avec moi, vous êtes contre moi n'est ce pas ? Je crois Dame Niniane qu'il y a plus que ça...je suppose qu'il serait intéressant de connaître l'envers du décor et pas seulement ce que le Haut Roi veut bien nous montrer...c'est pourquoi je ne porterai aucun jugement sur ses actes. Même si ils me rébutent au plus haut point. Renier sa foi et la Dame du Lac qui lui a tout donné est grave...tôt ou tard il en paiera les consquences...

"Vous parlez là sagement, Dame Aylla... Mais il y a déjà longtemps que j'ai perdu toutes mes illusions sur le Haut Roi. Depuis que mes pieds ont quitté l'île sacrée pour ne plus jamais y revenir..."

Elles arrivaient enfin dans la chambre de la reine, qui semblait effectivement des plus mal en point. Elle aida la jeune suivante de la reine à défaire celle ci de son corset, visant d'un oeil persant l'état des blessures... Ce n'était pas beaux à voir à vrai dire.

- Nous, sommes là, tout ira bien, nous nous occupons de vous. Que s'est il passé Elizabeth ?

Balégrant ma ma... rentrer un poignard empoisonné dans mes côtes pour pas que je puise dire tous ces fait contre mon tres cher cousin.
Maintenant je vais payer pour ma traitrise envers mon roi et mon époux.
Hélas je ne pourrait jamais rellement aimé un homme

Niniane, complétement étrangère à tout ce qu'elle racontait commença par penser que celle ci délirait... Après tout, ce n'était pas impossible... Posant une de ses mains fraiches sur son front, elle put constater de l'état de sa fièvre, ce qui l'alarma d'autant plus. Il fallait faire baisser cette température au plus vite... Mais que faire quand on à rien sous la main? Elle jetta un rapide coup d'oeil à Aylla... Celle ci semblait maitriser parfaitement la situation. Son calme et sa maitrise était d'ailleur presque déconcertant... On aurait dit qu'elle avait fait ça toute sa vie! Remarque, tant mieu... Parce que s'il fallait compter sur Niniane...

"Pensez vous que je peux faire querir quelques herbes? Sinon, je ne peux vous être d'aucun secour..."

Dit elle en s'adressant d'une voix légère, à la limitte du murmure à Aylla. inutile de déranger la mourrante plus que celà avec leur conversation de pseudo docteur...

Balégrant ma ma... rentrer un poignard empoisonné dans mes côtes pour pas que je puise dire tous ces fait contre mon tres cher cousin.
Maintenant je vais payer pour ma traitrise envers mon roi et mon époux.
Hélas je ne pourrait jamais rellement aimé un homme

Aylla leva un soucil interrogateur , mais en vérité l'heure n'était plus aux questions. Elle ne savait pas si Elizabeth délirait ou non mais elle savait comment avait été faite la blessure et pour l'instant c'est ce qui comptait. Pour l'instant.
"Pensez vous que je peux faire querir quelques herbes? Sinon, je ne peux vous être d'aucun secour..."

Aylla murmura à l'oreille de Niniane
- Au contraire Dame Niniane, vous serez indispensable. Voyez la blessure, elle supure et est d'une étrange couleur. Pourtant elle a dû être faite il y a longtemps...elle n'a donc pas été traîté...et vous avez remarqué que Dame Elizabeth avait de la fiévre. Il faut donc désinfecter cete blessure et faire tomber la fiévre. Je vais m'occuper de la premiére opération et vous de la deuxiéme si vous n'y voyez pas d'inconvénients. Et si vous pouviez lui parler...

Elle adressa à Elizabeth un sourire chaleureux
- Votre Majesté, toutes les blessures finissent un jour par cicatriser.

Le jeune médecin revint avec l'eau demandée et des linges propres. Aylla lui demanda d'aller quérir rapidement sa besace. Aylla n'était pas guérisseuse mais sa mére lui avait appris à utiliser les plantes. Dame Ophélia étant souvent malade, Aylla avait pris l'habitude de réunir des remédes dans une besace. Pourvu que ce qu'elle voulait faire marche! Elle expliqua à Niniane

- Pour faire passer la fiévre, nous allons utiliser de l'eau sédative. Il vous faudra prendre cinq linges que vous tremperez dans l'eau normale et ensuite dans l'eau sédative. Une compresse sur le front, une autour de chaque poignet et une autour de chaque cheville. Et il faut les changer toutes les cinq minutes jusquà ce que le fiévre tombe...Est ce que ça ira ?

Aylla savait quoi faire, mais elle ne savait pas si cela fonctionnerait. Bien que les chances soient grandes pour que le résultat soit bon. Elle sentit une boule dans la gorge. Pauvre reine, elle avait l'air d'avoir tellement souffert. Elle glissa à Niniane d'une voix hésitante.
- Je crois...que nous avons de bonne chance d'arriver à la guérir...mais je ne peux en être certaine...

- Dame Allya ne m'appellez point majesté si vous plait mais par mon prénom.
Merci de vous occupez de moi comme cela.Car je sais qu'ou royaume de Gaures ont m,aurait laissez mourire dans ma chambre et même je me demande si vraiment cela aurait été dans une chambre .
Car le seigneur de gaures ne m'aimait vraiment pas.Car je ne crois réllement point qu'on peut appellez sa vraiment de l'amour.Il ne me voulais que pour avoir beaucoup plus de terre,de gouverne dans une terre
ou le sang,la chair serait en grande quantité.Bref traitré ces sujets pour des moins que rien.Je ne voudrais guère que le peuples que mes parents gouvernait ne sois dans les mains d'un seigneur de guerre et de terreur.

- Pour faire passer la fiévre, nous allons utiliser de l'eau sédative. Il vous faudra prendre cinq linges que vous tremperez dans l'eau normale et ensuite dans l'eau sédative. Une compresse sur le front, une autour de chaque poignet et une autour de chaque cheville. Et il faut les changer toutes les cinq minutes jusquà ce que le fiévre tombe...Est ce que ça ira ?

"Je crois que je m'en sortirai oui..."

Après tout, cela ne semblait pas si compliqué. un peu répétitif, certe, mais pas vraiment compliqué.... Mais après tout, c'est la le lot de la médecine. Répéter les même gestes avec patience jusqu'à ce qu'un résultat quelquonque soit obtenu...

- Dame Allya ne m'appellez point majesté si vous plait mais par mon prénom.
Merci de vous occupez de moi comme cela.Car je sais qu'ou royaume de Gaures ont m,aurait laissez mourire dans ma chambre et même je me demande si vraiment cela aurait été dans une chambre .
Car le seigneur de gaures ne m'aimait vraiment pas.Car je ne crois réllement point qu'on peut appellez sa vraiment de l'amour.Il ne me voulais que pour avoir beaucoup plus de terre,de gouverne dans une terre
ou le sang,la chair serait en grande quantité.Bref traitré ces sujets pour des moins que rien.Je ne voudrais guère que le peuples que mes parents gouvernait ne sois dans les mains d'un seigneur de guerre et de terreur.

Niniane ne pigea pas la moitié de ce qu'elle racontait... Probablement aussi parce qu'elle ne l'écoutait que d'une oreille. Après avoir trempé les linges dans l'eau clair, puis dans l'eau sédative, elle se pencha vers le visage de la jeune reine et en essuya un peu la sueur avant d'y laisser le linge.

"Chuuut votre altesse... Calmez vous... Nous ne sommes pas en Gaure, et nous prendrons soin de vous. Laissez vous aller..."

Ne sachant trop quoi lui raconter, elle se contenta de lui murmurer ces paroles rassurantes... Elle semblait tellement tendue à l'idée de son mari? ex mari? Et de cet amour faux, de ce peuple désérité par son roi et tout le reste... La fièvre devait l'embrouiller un peu, lui mélangeant les idées, les faits, les paroles, comme un tourbillon infernal dans sa jolie tête... Le mieu aurait été qu'elles parviennent à la calmer... Pour elle, on ne pouvait enlever la fièvre d'un esprit torturé....

Aylla désinfectait la blessure comme elle le pouvait et avec toute l'application dont elle était capable. Elle s'étonnait que le médecin ne revienne pas ? Où avait il bien pu passer ? C'est un serviteur qui lui avait ramené a besace. Dame Niniane faisait trés bien les choses et Aylla se félicita de l'avoir avec elle. Elle avait vraiment de la chance. La jeune femme semblait plus humane que les autres et Aylla se sentait plus à l'aise avec elle. Elle sourit à Elieabeth qui leur parlait de son mari et de son royaume.
- Puisque vous me le demandez je vous apellerez Elizabeth. N'ayez aucune inquiétude, comme vous la dit Dame Niniane, nous nous occupons de vous du mieux que nous pouvons.

Le roi des Gaures n'était en effet pas réputé pour sa délicatesse. Mais tout de même. Cette histoire était étrange. Elle regarda Dame Niniane qui semblait plongée dans ses pensées. Elizabeth était elle une réfugiée politique ? Possible...Quoiqu'il en soit il fallait être particuliérement barbare pour oser s'en prendre à une femme et une reine. L'amour. Elizabeth parlait d'amour. C'était une chose peu courante dans les mariages arrrangés. On prenait la femme ou le mari choisi par la famille et pour l'amour il y avait l'amant ou la maîtresse. C'était souvent ainsi. Mais pour rien au monde Aylla n'aurait voulu faire s'éffonrer le petit espoir qui restait encore en Elizabeth.
- Vous plaisez vous en Orcanie ?

-Je me plais bien .C'est vraimment un très beau royaume.Tranquillement elle revenait a elle même.Un sourire se fit sur ces lèves cher Dame Vivanne et Allya je crois revenir a moi.Merci mille fois.Je dirais tous ces si bon service vous avez rendu au roi d'Orcanie bref mon cousin Mordred et non a ce medecin ces mérite non mérité.Il faudrait bien allez rejoindre les festivités.Je suis sur que mon frère Emerick dois encore faire de l'oeil aux dames.Je detesse tous simplement sa,il n'est pas digne de devenir roi des Orcades avec cette hatitude honteuse.

Voilà qu'elle voulait se lever maintenant... Manquait plus que ça! Niniane posa ses mains avec douceur sur les épaules d'Elisabeth, l'empéchant de se relever. Avec un sourire des plus doux, mais une fermeté au fond de l'oeil qui ne souffrirait aucun refus, elle dit gentillement:

"Vous n'y pensez pas ma reine... L'heure n'est plus à la fête. Il vous faut du repos et du calme, le temps que votre fièvre baisse et que votre plaie soit correctement désinfecté...."

Elle la relacha alors, espérant que celle ci ne cherche plus à repartir dans la grande salle, et reprit tout en humectant de nouveau un linge dans l'eau saline.

"Et mon nom est Niniane..."

Puis redressant les yeux pour appercevoir Aylla, elle dit à voix bien plus basse:

"Vous êtes ma fois une fine guerisseuse... Votre malade semble reprendre ses esprits plus rapidement qu'on ne l'espérait..."

Il est vrai que pour une soit disant mourrante, elle se portait comme un charme! Il faudrai qu'elle aille dire deux mots au médecin... Quel besoin avait il eut d'être alarmiste à ce point? Non mais vraiment....