Le chemin des arbres creux

Certes les soldats n'avaient rien d,hostile en temps de guerre. Quand la jeune tira son épée devant lui, il recula sa monture. Il ne savait pas que ce qui prenait pour jeune femme aurait osé degainer son épée devant un prince, mais elle ne le savait certes pas. Regardant ses trois hommes, Émerick donna sa fausse identité

Je suis Sir John de Helmsdale et j'ai pour but de rencontrer sa Majesté le roi . Il m'est urgent de le voir .

Émerick voulait ravoir ses droits, mais il ne pouvait pas revenir comme un vivant. Aux yeux de sa famille, certes lointaine, il était deux pieds sous terres.

Roach avait entendu une voix, non familière, derrière lui. Croyant à la présence d'un ennemi, il décida d'arrêter les troupes et d'arrêter sa propre monture. Il entonna alors:

'' Il y a un homme étranger parmi nous! Pendant que je vais voir qui est ce trouble-faite, veillez continuer votre route jusqu'au château de Sir Mordred pour porter les captifs: but de notre mission! Je crains que Sir Mordred ne soit pas plus patient... Soldat Pétritus, comme vous avez fait preuvede beaucoup d'hardiesse aujourd'hui, je vous donne la permission a vous seul d'expliquer au roi pourquoi Erwana et moi ne sommes pas arrivé tout de suite...''

Il donna une tape amicale sur l'épaule de Pétrus puis, sur un signe de la main et sur une donne affirmative, les troupes repartir au galop avec les priosonniers en direction du château. Pat chevaucha, alors, sur ses pas qu'il avait déjà foulé et se rendit à la hauteur d'Erwana et de l'inconnu. Voyant que la guerrière ne semblait pas sentir aucune hostilité, il demanda tout bonnement, d'une voix qui se voulait quand même imposante:

'' Capitaine Erwana, qui est cet individu?''

Pour être sûr de ne pas être pris au dépourvu, il dégaina son épée par précaution, voyant que l'homme avait fait de même. Roach n,avait pas entendu ce que l'inconnu avait dit.

La jeune guerrière ne baissa pas sa garde et sursauta lorsque Pat l'appela. Elle ne dit rien pendant un certains temps. Elle ne savait pas si elle devait considéré "Sir John " comme un ennemi ou un allié. Il ne presentait rien de suspect, mais elle ne voulait pas prende de chance.

"Cet homme prétend se nommer Sir John de Helmsdale, il désire s,entretenir avec notre Roi, disant que c'est urgent. "

Puis elle se tourna vers "Sir John":

"Nous ne laissons personne voir le Roi , sauf s'il vous connait. Dites nous plsu présicément pourquoi est-ce si urgent? "

Il n'allait certes pas l'aimer, mais de toute facon elle non plus ne l'appréciait guère. Elle n'aimait pas son petit air prétencieux qui flottait sur son visage .

Je viens de la part de l'évêqque des Orcades. Je dois parler au seigneur Mordred maintenant. J'ai des nouvelles qui ne concernent aucunement ses soldats, alors il m'est urgent de lui parler.

Elle était trop tenace à son gout et pour qui elle se prenait et l'homme qui se tenait près d'elle. Ils venaient en paix et tout ce qu'on trouvait à lui montrer c,était deux soldats qui ne veulent même pas le laisser voir le roi.

Je ne viens aucunement pour mettre le désorde, mes hommes et moi venons en paix pour regler certianes choses qui ne peut se traduire entre le roi et l'éveque des Orcades. Donc je vous serais recconnaissant de me laisser voir le roi.

Il commencait à être agacé, son orgueil avait vite sauté au conclusion que tout serait facile, mais les deux soldats lui donnait du fil à retordre.Pa rprécautions, il rangea son épées.

Pat était un de ses hommes qui ne faisait jamais confiance totalement à quelqu'un. il était plutôt de ceux qui se disait:

* C'est moi qui fait la loi et personne d'autre que moi ne peut avoir ma confiance...*

D'un air de défi, il regarda l'homme d'un regard méprisant. D'une voix franche, il lui dit:

'' Ce n'est pas parce que tu me dis cela que je puis te croire! Nous avons connu, ses derniers jours, plusieurs félons qui ont fait offense à la cour. De sorte que... notre confiance, envers les étrangers, s'est altérés grandement! Si vous n,avez pas de preuvee autre que votre parole, je crains de ne pas pouvoir vous conduire à Sir Mordred qui en a déjà pas mal sur les bras!''

Dans le geste qu'avait fait Emérick, il l'avait interprêté comme une façon d'acheter leur confiance. Toutefois, cet homme verra vite que celle-ci coûte un pesant d'or! Roach gardait sur l'homme un regard méfiant et assez méprisant. En fait, Roach n'était pas quelqu'un qui avait l'air, à prime abord, très amical et invitant.

Constatant la disparition d'Erwana et de Roach, Ganelon prit deux hommes avec lui et revint en arrière ...
Le capitaine fût fort surpris de trouver ses deux subordonnés en pleine discussion avec un inconnu richement vétue ...
Circonspect, l'officier orcanien dévisagea Emerick, se tourna vers Erwana et son camarade, et s'enquit :

- Que faites vous ici ? ! ...

Et qui est cet homme ? ! ...

Ganelon revint bien vite au prince orcadien et l'interrogea du regard ...

*Ce jeune homme semble avoir une noble préstance* se dit il ...

Entendant Ganelon lui parler, Erwana se retourna vivement et sans faire attention où elle mettait les pieds, elle fonça dans Roach. Elle s'excusa de cette bévue, puis devint rouge de honte. Elle se tourna vers Ganelon et lui dit, d'une voix assurée:

"Cet homme prétend être envoyé par l'évêque des Orcades, il désire s,entretenir avec le Roi Mordred de toute Urgence."

Puis elle se tourna vers le prétencieux Émerick:

"Donnez nous la preuve que vous n'êtes pas des félons et nous laisserons peut-être passer"

*On ne se laissera pas avoir deux fois...*

Le jeune homme en avait assez d'attendre. Cette femme commencait à l'énerver. Il s'avanca vers la jeune guerrière et la regardant dans le blanc des yeux.

"Ce n'est pas une femme tel que vous qui me menera par le bout du nez, compris ?"

Il se recula un peu et jetta son arme au pied des orcaniens. Ses soldats l'immitèrent.

"Voila qui devrait suffirent, nous ne pouvons plus vous attaquer alors je ne crois pas que nous sommes dangereux sans nos armes. "

S'il avait décliné sa vrai identité , de tel chose ne se passerait pas ainsi. Il aurait eut la politesse de tous, et surtout, de cette femme qui se considérait guerrière. Assez mignonne, mais trop têtue et trop farouche pour être apprivoisée.

Le regard de Roach restait de marbre et ça même quand Erwana lui avait foncé dessus. Il était en pleine réflexion et personne autour de lui n'aurait pu le distraire. Quelques instants filèrent. Quand soudain, une étrange lueur passa dans son regard, illuminant de sombres pensées. Il venait d'avoir une idée!

'' D'accord, je vous accorde le bénifice d'être ce que vous êtes en échange de vous envenir avec nous, seul, et de la même manière que nous amenons ces prisonniers à Sir Mordred. De sorte que, si le roi vous reconnait, il nous ordonnera de vous relâcher et s'entretiendron avec vous. Si vous déclinez cette offre indiscutable, je crains de devoir vous dire de retourner d'où vous venez!''

Il avait un air revêche dans le visage.

'' Acceptez-vous de nous suivre attaché comme ses messieurs? Nous ne pouvons faire confiance à un étranger si notre roi ne nous en a pas donné l'autorisation...''

S'il avait su à qui il s'adressait, il regreterait ces paroles et deviendrait, sans doute, très honteux.

Devant une telle situation, Ganelon, qui n'était pourtant pas un joyeux drille, ne savait s'il devait rire ou pleurer au regard du zèle au combien forcené de ses deux subalternes ...
Ne tenant plus il éclata :

- Il suffit ! ...

Erwana, Roach ! ...

Ne voyez vous point que nous sommes en présence d'un noble personnage ?! ...

De plus celui ci consent à nous confier ses armes afin de pouvoir rencontrer notre souverain ...

Je suis votre supérieur et je considère que cet homme est de bonne fois ! ...

Rejoignez donc le reste de la troupe, je me charge d'escorter ce messire ! ...

Tandis qu'Erwana et Pat s'éloignaient, les deux soldats accompagnant Ganelon ramassèrent les armes d'Emerick et de ses gardes puis remontèrent à cheval ...
Le capitaine s'adressa à l'orcadien :

- Veuillez excuser le zèle intempestif de mes hommes messire, nous sommes en guerre, ce qui explique la méfiance de ceux ci ...

Si vous voulez bien me suivre, je vous conduirais à mon maître ! ...

Vous seul aurez accès à la salle du trône et vous pourrez récupérer vos armes après votre entretien avec le Roi ...

Ganelon talonna sa monture et fit signe à Emerick de le précéder ...

- Je suis le capitaine Ganelon, chef de la garde du palais et gouverneur militaire de Warminster ! ...

A qui ai je l'honneur et puis je connaitre le motif exact de votre demande d'entrevue avec sa majesté Mordred ?! ...

Tout en devisant, le petit groupe se rapprochait de la cité royale ...

(Je sais que je brise un peu l'Ordre en postant si rapproché, mais, le post que je vais faire, ne changera pas grand-chose, donc, veller excuser mon zèle et, pour cette fois, soyez indulgent! ^^)

Les joues de Roach s'empourpèrent! Son rêve d'être le chef de l'armée d'Orcanie s'effrondait toujours en même temps que son chef, trop mou à son goût, le ramenait à l'ordre dans ses exaltations impulssives... Comment son supérieur pouvait-il mettre autant de confiance en cet homme? Comment pouvait-il savoir sa lignée d'un seul regard? Humilié, Pat partit comme un éclair pour retourner auprès des autres soldats. Celui-ci était réellement dans une humeur massacrante! En cet instant, il aurait payé cher pour devenir le chef ultime de cette armée qui manquait nettement de tonus.

''Quand on se sera fait avoir une autre fois... on mangera ça encore chaud!'' ne se gêna pas de dire à voix haute.

Un tonnerre de colère bouillait dans le coeur de Pat et, personne avait intérêt à se frotter à lui ou même à lui adresser un mot. Son teint pourpre et son regard enflammé en disant long sur ses ressentiments! Tout le long de son départ tumultueux, il avait gardé un regard noir sur l'étranger pour lui faire comprendre que, même s'il avait obtenu la confiance de leur chef, il n'avait pas gagné la guerre: c'est-à-dire la sienne, qui, selon Pat, ne l'obtiendrait jamais!! Roach sentait, en lui, une grande antipathie envers l'homme. S'il ne saurait pas retenu et qu'il n'avait pas un léger civistme, il l'aurait égorgé, sans raison, en public, mettant, ainsi, sa carrière, son honneur et sa tête, en péril, car, selon les propos de son chef, cet homme était de bon lignage!

* Je suis tout de même sergent, ce que je dis devrait être pris pour compte!!!* pensa-t-il, furireusement.

Je comprens très bien votre mesuure de securité, mais ils sont plus rude sans que nous aillons posé aucun geste.

Il était temps qu'un des trois personnage l'entourant réagissent. Il regarda les deux autres partirent, tandis que le capitaine Ganelon prenait route.

Je viens de la part de L'évêque des Orcades, certains de nos hommes se sont ralliés à Baleagant, mais peu d'entre eux sont restés fidele a la reine Minara. Ainsi avec leur aide, nous avons pu avoir quelques informations de la reine­.

Certes Émerick n'avait pas décline son identité, il commencait a risquer gros en venant à Warminster. Ne suivant que son instinct il repris sa fausse identité

Seul le roi pourra comprendre mon identité, mais par sécurité je n'ose pas le dire. Même si vous êtes un homme du roi je ne peut risquer de vous le dire.

Ganelon fronça les sourcils : cet individu était bien mystérieux, toutefois il semblait sincère et guère très dangereux ...
Le capitaine répondit donc avec un sourire tout diplomatique :

- A votre guise messire, mais je vous le redit : vous devrez pénétrer seul dans la salle du trône et sans votre arme ! ...

Vos hommes devront vous attendre dans l'antichambre ...

Vous pourrez donc être reçu par le Roi en personne ! ...

La petite troupe s'apprétait maintenant à franchir les monumentales portes de la ville, siège du château de Mordred ...
Ganelon poursuivit :

- Sachez messire que mon maître accorde une grande importance au sort des Orcades et à son peuple, et fera tout ce qui est en son pouvoir pour libérer le royaume de l'emprise du vil félon ! (Baléagant)

Le sort réservé nottamment à la reine Minara l'inquiète au plus haut point, et il n'aura de cesse d'essayer de lui venir en aide ! ...

Le capitaine scruta la réaction de l'orcadien ...

Certes il ne devait pas ebruiter la nouvelle, mais le capitaine Ganelon semblait de confiance. Avec une voix sombre, Émerick regarda l'homme et dit :

La reine est morte. Un de nos hommes qui s'est faussement rallié à Baleagant a annoncé sa mort. Le roi de Gaurres nous envoyera son corps d'ici peu. Mais sa mort ne doit pas s'ébruiter.

Voulant oublier, Émerick changea de sujet.

Que faisiez-vous ainsi à l'extérieur du château? Un de vos soldats parlait de prisonnier. Vous avez décidé de traquer le gibier.

Il se retena de rire. Il ne connaissait pas les motifs exact des soldats dans la forêt, mais il avait vite remarqué qu'il n'était pas des plus sympathique

Pat était toujours dans une colère noire et avait peine à encore retenir ses ardeurs. D'une voix claironnante, il répondit à l'homme qui avait posé la question qui ne lui était pas du tout destiné:

'' Nous recherchions des hommes qui ne devrait même plus porter le titre d''homme puisqu'ils ont fait grande félonie à la cour... En ces temps de guerre, disons qu'il ne reste plus grand monde de confiance comme vous ''prétentez'' l'être!!!''

Ses propos étaient encore plein de reproches et de sous entendus. Une flamme de malice passa dans son regard. Roach était bien lassé de suivre les convenances. Il regardait haineusement l'étranger dans l'espérance que celui-ci le remarquerait et voudrait, peut-être, relever avec lui un défi. Sur ses lèvres flottait l'envie inssasiable de prouver, une fois de plus, sa valeur, qui était, avouons-le franchement, mal placée!!

La petite troupe avait pénétrée dans le château même et tandis que les prisonniers étaient conduits vers les cachôts, le capitaine de la garde et Emerick continuèrent à deviser ...
L'annonce du trépas de la reine Minara laissa Ganelon interdit ...
Puis il réagit, fort troublé :

- Qu'elle bien triste nouvelle messire ! ...

Le Roi en serra, j'en suis sur très affecté, et comment annoncer cette nouvelle à leurs altesses Elizabeth et Anna présente au château ? ...

Ganelon se tut un moment et lorsque l'orcadien lui posa une question sur les prisonniers capturés tantôt, ce fût le sergent Roach qui répondit à sa place ...
Le capitaine, hors de lui, répliqua aussitôt :

- Mais taisez vous !! ...

Encore un môt sergent et je vous fait mettre au arrêt !

J'espère avoir été compris ?! ...

Maintenant hors de ma vue et vite ! ...

Ganelon se tourna de nouveau vers Emerick :

- Nous avons en effet dut faire la chasse à deux espions de Baléagant ...

Nous les avons capturés et ils seront bientôt soumis à la "question" ! ...

Je gage que la nouvelle de la disparition de dame Minara n'insitera guère le Roi à la clémence ! ...

Le capitaine et Emerick était désormais arrivés devant les escaliers conduisant vers la salle du trône, Ganelon mit pieds à terre et s'adressa à l'orcadien :

- Si vous voulez bien me suivre messire, je vous conduis à la salle du trône ou le Roi se fera un honneur de vous recevoir ! ...

Sarcastiquement, Émrérick commencait vraiment a trouvé le soldat du roi très sympathique. Voyant le regard de défi, il prit le temps, ce qu'il faisait rarement de reflechir, puis il reporta son attention sur le capitaine Ganelon.

Quand il pronaonca le nom de sa soeur, son coeur s'allégea. Elle était la seule à prouver qu'il était l'héritier de D'Aron. Écoutant toujours, il finit par se demnader qui pouvait bien être celle qui appelait Anna. Elle devait être qu'une simple parente de sa mère ou de son père. Qui sais?

Flanqué toujours de ses trois hommes, Émerick les regarda et les hommes s'arrêtèrent. Suivant les directives que le capitaine lui avait ordonne, il regarda les trois hommes:

Restez ici

Emerick suivit Ganelon jusqu'au roi

( hj : bon rv dans la salle du trône, ou ? ici : )
https://orcanie.forumsrpg.com/Chateau-du-Seigneur-Mordred-en-Orcanie-c2/Salle-du-trone-f8/Reunion-de-famille-p2104.htm#2104

Quelqu'un venait troubler son sommeil. Elle porta immédiatement sa main sur l'épée des cieux,ouvrit les yeux , resta sur ses genoux gardant sa main sur l'épée qui était derrière elle.
Elle scruta les hommes qui l'entourait, décidement elle ne parvenait à passer inaperçut qu'importe où elle allait!

-Oui?

Elle voulait rapidement identifié ces hommes et surtout essayer de s'en débarasser le plus vite.

Les hommes formèrent un cercle autour d'elle. Elle se leva doucement gardant en main "heavenly sword". Elle regarda le sergent droit dans les yeux et soutint son regard.

°mes intentions, qu'on me laisse mourir en paix°

-Excusez moi qui est cet homme à qui je dois faire part de mon identité et de mes intentions? Car je n'ai d'ordre à recevoir de personne et je n'aimerais pas avoir à vous faire faire connaissance avec mon épée.

Elle leva son épée et lui lança un petit sourire ironique

°Et crois moi, elle se ferais un plairi de te transpercer le coeur°