* Interrogatoire du sir Marth *

[hj : tu es le roi, mais ne l'abime pas trop, maman t'en voudrait un peu... elle te pardonnerait, soit, mais bon...]

Quelques minutes plus tard ...

La porte du cachot se rouvrit, brusquement, laissant place à quatre gardes armés de bâtons ...

Les soldats relevèrent aussitôt le prisonnier à coups de gourdins puis entreprirent de l'attacher aux murs à l'aide de solides chaînes ...

Les soudards étaient hilares et s'amusaient grandement .

Puis, le tyran apparut, il s'avança résolument en direction du détenu, le masque du démon sur les traits, sa cape voletant de gauche et de droite derrière lui, donnant au roy une majesté plus que ... baroque .

Il se planta alors devant l'infortuné Marth, esquissa un sourire narquois, puis, enfin ... lui cracha au visage .

Bon jour !

Petit laquet !

Comment te sens tu ?

Marth qui portait encore la trace de la semelle de Morgause fut surpris d'être frappé et levé, et se retrouva devant un Mordred enragé... qui lui cracha au visage...

Bonjour Sir Mordred.... Vous souhaitez savoir comment je me sens? probablement miex que vous, je le crains fort.

Répondit aussitôt Marth: Si le jeune roy était prêt à ramper devant Morgause, jamais il ne ferait ce plaisir à Mordred. Et ce même si Morgause le lui demandait.

La réponse du Marth fit ricaner Mordred, et ce dernier prit même à témoin l'un des gardes :

Ah ! ah !!

Tu entends ça toi ? Le soudard !

Le satyre est fort drôle non ?!

Les soldats s'esclaffèrent comme les rustres qu'ils étaient ...

Et, le tyran leva la main pour montrer la chevalière qu'il arborait au majeur ( hj : en gros il lui fait un doigt ^^ )
La bague ou apparaissait les armes et initiales de dame Elizabeth, toute première et éphémère épouse du démon ... Et cousine lointaine . Qui fut mariée à l'austrasien, également .

Avant de lui infliger un puissant coup de poing dans l'estomac, pour ensuite lui administrer un non moins violent coup de genoux dans le nez ( hj : hou, nez presque cassé je crois ^^ )

Mordred, se retourna, soufflant, reniflant et écumant comme un dragon enragé ... Puis claqua des doigts : l'un des gardes frappa Marth dans l'estomac ( again ), avec sa "matraque", tandis qu'un autre le tapait au visage ...

Le tyran reprit la parole :

Tu vas mourir laquet !
Je vais te tuer à petit feu, ici et maintenant !
Et personne ne pourra retenir mon bras ! personne !!

Il refit face au malheureux petit roitelet, alors qu'il affichait une expression plus que déterminé, et poursuivit :

Tu vas enfin payer pour mes gardes assassinés de ta main criminelle, pour la traîtresse que tu tentas de soustraire à ma justice, pour avoir osé porter ton regard lubrique sur ma sainte de mère ^^, pour avoir humilié ma chère et défunte cousine, et surtout ... pour avoir souillé et avilit ... *sa voix tremble*

Ophélia ... Qui ... ne savait point ... ce qu'elle faisait ... *débita t-il, tâchant de s'en convaincre lui même*
Tu dois et tu vas payer !

Ma mère ne te pleura point et se servira d'Alicia comme pion !

Tes sujets salueront cette nouvelle !

Toi ... l'assassin de leur vrai roy, Théodoric ! ( hj : momo ne sait pas mais extrapole )

Toi qui les abandonna à leur triste sort pour aller faire ce que tu fais de mieux, ici, chez moi et à mes frais : copuler comme une bête sauvage !

Charogne !

La mère ne te suffisais point, il te fallait également la brue ?!

Veux tu que j'invite dame Anna à nous rejoindre, la boucle serait alors bouclée !

Puis l'un de mes gardes ... te ferais endurer d'autres ... plaisirs !!

Hein ? ! saleté !

Et tous croiront à un accident !

Ici c'est moi qui édicte la Vérité et l'impose, sur tout êtres et toutes choses !

La vérité !

C'est moi !!

Mordred d'Orcanie !

Le loup enragé se précipita ensuite sur sa proie et l'accabla de deux coups de poings à l'estomac ( tjs avec la belle chevalière )

Cependant, misérable, tu vivras si tu réponds à mes questions : tout simplement !

L'un des soldats brandit son bâton, mais le tyran lui intima l'ordre de suspendre son geste, puis tourna les talons, sa cape venant "souffleter" la face de Marth, il "caressa" le talisman d'Ophélia, et enfin ... croisa les bras .

Marth endura alors les coups sans sourciller, même le nez presque cassé qui saignait légèrement: rien, cela n'était rien comparé à ce que Morgause pouvait lui faire endurer.
Et soudain les coups s'arrêtèrent et Mordred déclara qu'il allait poser des questions.

Je me disais bien que vous n'oseriez vous opposer à votre mère, l'un de nos rares points communs: nous l'aimons tous deux. Oui cela vous agace surement mais j'aime votre mère et tout ceci est la conséquence des actes d'une nymphomane qui souhaitait s'attaquer à votre mère, se venger d'elle, en s'attaquant à son vulnérable fiancé qui semble trop stupide pour savoir dire non à une femme!

Marth savait que Mordred allait le faire taire mais il fallait qu'il termine:

Vous pensiez épouser une femme à l'image de votre mère, une divinité mais vous avez épouser une catin aux charmes redoutables qui se sentait peut-être négligée ou insatisfaite!

Vous vouliez la vérité! Et bien la voila! Franche, sincère et blessante, et franchement, j'ai presque pitié de vous. Ophélia a joué avec nous deux mais de nous deux, c'est vous qu'elle a le plus fais souffrire.

Marth regarda alors Mordred... Il était peut-être allé un peu loin mais il n'avait fais que dire la vérité, Morded ne pourrait le nier.

Mordred cracha de nouveau son venin ( hj : dans les deux sens du terme) au visage de Marth :

Silence chien !

Tu es la pire fiente que la terre n'ait jamais portée !!!

Non content de m'outrager en violant ma femme, et de l'insulter, tu m'injuries à mon tour !!

Vermine infecte ! Sale parasite !!

Tu vas crever !

Le tyran claqua des doigts et les gardes redoublèrent d'énergie : ils étaient trois sur l'austrasien désormais ... L'un frappait au ventre, l'autre à la tête et le dernier ... alternait ^^

Encore un claquement et ils s'interrompirent, déçus ...

Oui j'aime ma mère !

Plus que toi et mieux !

D'un amour tendre, absolu et pur ...

Oh si pur, si pur !

Mon Dieu !

Aussi pur que ... la plus belle et limpide des eaux de source !

Si pur ...

Il se détourna et ... versa une larme ...

Le terrible tyranneau tremblait et souffrait ... atrocement .

Ce n'était pas assez d'imaginer sa déesse de mère "prit" par cette engeance d'homme, le "testament amoureux" d'Ophélia ... c'était ça !!

Pourquoi ? !

Mon Dieu pourquoi ? !

Pourquoi s'avilir autant ? !

Pourquoi ? !!

Pour l'atteindre, le détruire, le punir, lui infliger une blessure inguérissable ? !

Mais pourquoi s'abîmer autant ? Ce suicide moral avant sa mise à mort !

Elle avait salit sa propre image et ce à jamais ...

Pourquoi ?

J'aime ma mère plus que tout et à jamais !

Mais ici ... c'est moi le maître !

Et ma mère m'obéit, comme m'obéissent tout mes autres sujets !

Alors, parle, ou tu es mort !

Que Marth demande ce que le roy veut savoir et qu'on en finisse enfin !

Et Marth comme il s'y attendait fut frappé... par les sbires, Mordred ne frappant pas lui même. C'est ainsi q'uun Mart époumoné prit la parole.

Vous ne souhaitiez pas une vérité franche, peut-être un peu brutale certes, mais la vérité, sans flagonnerie,avec sincérité? Cela fais si longtemps que vos conseillers adoucissent la vérité que lorsque on vous la dit tel qu'elle est vous vous offusquez?

Demanda alors Marth... Qui reconnaissait avoir été brutal.

Et bien si cette véritée franche offusque vos oreilles, veuillez m'en excusez. Mais si vous n'êtes pas venus pour l'entendre, que souhaitez vous donc entendre?

Mordred haussa des épaules et soupira bruyamment :

Tu dis la vérité, certes, sale porc !

Tu crois que j'ignorai être l'époux d'une truie infernale ?

Donne les détails pourceaux !

Je veux tout savoir, jusqu'au moindres gestes lascifs !

Tout !

Ou tu meurs !

Ceci dit, le tyran tira sa dague hors de son fourreau et alla déposer la lame sous la gorge du satyre :

Parle !
Laquet !!

Marth leva un sourcil étonné, ne s'attendant pas à cela. Il lui fallait tout raconter!

Je ne m'attendais pas à cela...

Et Marth entreprit alors le récit, avec une visible réticence, n'omettant pas le moindre détail, citant chaque geste effectué, chaque position prise, mais ommettant de révéler les commentaires d'Ophélia, afin de ne pas vexer encore plus Mordred.

Cela vous suffit ou vous en voulez plus?

[HJ: le topic ayant été hot, je fais un récit soft])

Les yeux de Mordred s'agrandirent, il observait Marth, incrédule, puis il rougit intensément, avant de blêmir brutalement ...

Les mots de l'austrasien résonnèrent à ses oreilles telles les cloches de Saint Alban, puis des images jaillirent et inondèrent son esprit : un chien enragé copulant avec une chatte en chaleur !

Le tyran faillit défaillir et ... sans même considérer sa proie ... s'apprêta à enfoncer la lame glacée dans la gorge chaude et ... profonde ? du pervers immonde ...

Mais sa main trembla et il tituba, puis enfin laissa échapper l'arme scintillante, qui alla choir aux pieds du roy "sadomasochiste" ...

Mordred fixa un moment le sir Marth, incrédule, abasourdie, perdu ... Et ... se précipita en toute hâte à l'autre bout de la cellule, pour aller, vomir tripes et boyaux à satiété ....

Tellement que cela semblait sans fin ...

Puis, sa tête rencontra la parois et ... le dément se frappa la tête contre le mur plusieurs fois en gémissant, puis des rivières de larmes coulèrent, coulèrent le long de ses joues livides ...
Et tombèrent en gouttelettes sur le sol, véritable pluie amère ...

Et, il glissa, tomba à terre, à genoux, sur le sol, avant de poser durablement sa royale tête contre la parois et ... il pleura, pleura, comme jamais ...

Et il gémit à en retourner les coeurs de Morgause et Florin réunit ^^

Et il hurla, un cri qui déchira les lieux telle la foudre lors d'un orage d'été :

Noooooooooooooooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!!!!!!!

....

Mordred d'Orcanie a écrit:: roy masochiste ...

Trompé de sujet... et de femme Bon fin du HJ

In Game:

[i]Marth se rendit compte du trouble qui gagnait Mordred. Mais il jugea préférable de ne rien dire... et effectivement la lamme tomba au sol alors que Mordred sortait vivement de la salle. On entendit des vomissements puis Mordred crié.
Même si Marth n'avait fais aucun commentaire sur le plaisir qu'avait pris Ophélia dans cette relation, il devait paraître évident qu'Ophélia avait pris plaisir à cela, puisqu'elle en avait redemandé, et Mordred comprennait ainsi, puisqu'il n'avait jamais fais cela, qu'il n'avait probablement pas satisfait Ophélia.Mais le pire cela devait être Mordred imaginant les relations entre Morgause et Marth.

( HJ : Tssss ! Désolé Max mais ton perso c'est vraiment une grosse m .... lol!

)

Les gardes ne savaient que faire alors que leur maître se lamentait sur son sort à l'autre bout de la cellule ...

En attendant, les soudards conversaient entre eux, s'interrogeant sur ce qu'il convenait de faire désormais . ( hj : le p'tit momo veut un gros câlin ? ^^ )

L'un d'eux à l'écart des autres s'approcha de Marth et lui demanda tout de go :

Heu sir ...

Vous avez vraiment goûté à ...
Et ... ça ressemble à ... du lait de vache ou ... de chèvre ?

Mais voilà que Mordred s'avançait de nouveau en direction de son prisonnier, épée en main et des brasiers dans les yeux ! Il était décidé à en finir, et tout de suite .

Les soldats étaient terrifiés, ne sachant s'ils devaient stopper leur roy ou ... encourir par la suite les foudres de la reine mère ... Tous se regardaient les uns les autres et s'interrogaient du regard, tandis que le sir d'Austrasie vivait peut être ses derniers instants .

Ils s'écartèrent pour laisser passer le dément déchaîné, tandis que la lame de l'épée du tyran venait froler le haut du crâne de l'un des gardes !

Qui le prit fort mal et ... dans un réflexe aussi spontané qu'habile, fit un croc en jambe à Mordred, qui alla s'affaler de tout son long, non loin de Marth ... Mais l'insensé continua a avancer, en rampant en direction de son "allié", bien décidé a l'atteindre coûte que coûte !

Et ce malgré l'un des soudards qui s'était précipité pour lui attraper les jambes : le roy l'écarta d'un coup de chausse, et déjà il se redressait, un sourire de démon sur les lèvres et tout disposé a pourfendre son rival d'un soir !

Les gardes s'interrogèrent encore fébrilement du regard, alors que Mordred brandissait son arme et allait frapper ... et l'un des hommes de main se signa rapidement, tira sa dague de son fourreau, s'avança prestement près des deux souverains et ... assomma son seigneur avec la garde de la lame ( 2 ko ! 2 ! ^^ )

...

Un silence pesant s'instaura et s'éternisa jusqu'à ce que l'un des gardes le brise en demandant aux autres :

Vous pensez qu'on pourrait mettre tout ça sur le dos de ...

Et il désigna, discrètement Marth de la tête .

Marth allait répondre garde que cela ne le regardait pas lorsque Mordred fou de rage l'attaqua, et faillit tuer ses propres soldats.
Marth se plaqua autant que possible contre le mur pour éviter les coups. Et naturellement il ne prit aucunement part au combat, forcé de laisser les gardes maîtrisé leur roy.

Pourquoi voulez vous mettre ça sur le dos d'un autre?

Demanda alors Marth en regardant les soldats.

Il vous paye pour protéger l'Orcanie... Vous venez de de protéger l'orcanie.... Un bon serviteur doit parfois protéger son souverain contre lui même. Vous devez au contraire être fier du courage dont vous venez de faire preuve en protégeant votre roy contre lui même. Je dirais à la régente Morgause de vous récompenser.Et vous avez ma gratitude.

Répondit alors Marth... parfaitement consicent que la promesse de récompense de part la régente ferait effet sur les gardes.

HJ : " Marth par réflexe recula, mais de peu à cause des coups qu'il avait reçu. Et il ne prit aucunement part au combat, laissant les gardes maîtrisé leur roy. "

Hu ? WTF ?

Décidément Marth est très fort ! ^^

Comment peut il reculer acculer contre un mur et enchaîné ? xd

HJ: Tu l'avais précisé enchainé? Je n'avais pas été enchainé par Kadoudal qui m'avait simplement interrogé... Je n'étais toujorus pas enchainé lorsque Morgause est venue, et j'ai même embrassé ses chaussures...

Et Toi tu l'as dit que tu m'enchainais? Si oui bah j'édite en "se plaqua autant que possible contre le mur pour éviter les coups".

PS: Effectivement tu l'as dit donc je vais le corriger. Mais la prochaine fois écris le plus gros Wink

HJ : Mauvaise idée de m'énerver maxou, ça me donne des idées ça !

Le lendemain, Mordred revenait à la charge : les bourreaux avaient posés l'austrasien sur une table ... Il y était solidement attaché et sa tête était maintenue dans une sorte d'étau ... Tout à côté trônait une barrique et dessus ... un entonnoir .

Voilà qui n'augurait rien de bon pour le détenu !

Le tyran ne tarda guère a apparaître et ne perdit pas son temps en vaines palabres :

Après les aveux, la punition, sale porcin !
Puisque tu aimes tant cette boisson blanche qu'on nomme lait : je t'en offre et plus que de raison !
Il est fort possible qu'après absorption du contenu de cette barrique ... ton estomac "explose", mais avec un peu de chance ... Tu résisteras afin de pouvoir endurer ta seconde sentence !

Bourreaux ! Officiez !

Aussitôt ordonné, aussitôt fait : on mis le tube de l'entonnoir dans la bouche du prisonnier, puis deux solides soudards soulevèrent puis maintenirent la barrique au dessus du sir Marth ... On ouvrit le robinet et ... un flot lacté interrompu se déversa dans l'entonnoir puis ... dans la bouche de l'infortuné !

Il finirait vite par être écoeuré par cette onctueuse boisson, puis son ventre gonflerait exagérément, avant que l'estomac ne manque d'imploser .

Et Mordred n'espérait que cela !

Marth avait été surpris, pensant que Morgause saurait dissuader son abruti de fils mais non celui ci revenait à la charge! Marth enrageait mais à plusieurs contre lui, pas encore remis de ses blessures de la veille, il ne put rien faire et se retrouvait ainsi mencé de boire du lait. Cependant il eut le temps de répondre à Mordred avant de se retrouver forcé de boire:

Vous ne croyez pas que votre mère a été suffisament blessée? Vous voulez la faire souffrire encore plus?

Mais il ne put dire plus alors même qu'il suppliait en pesnée Morgause d'intervenir. Dommage qu'il ne put crier mais mieux valait ne pas essayer, pour ne pas se retrouver avec du lait dans la trachée. A ce moment là, Marth souhaitait presque que la dragonne attaque Warminster pour que Mordred et ses sbires soient obligés de partir....
Mais une chose était sure: ce n'est pas cela qui allait le dégouter du lait humain, au goût différent et bien plus agréable.

Mordred éclata d'un rire sonore et tonitruant tant les propos du loustic étaient affligeants, et sa situation, fort précaire . Il fallait au moins ça pour faire taire le joli coeur ...

Pauvre fou !

Ma mère ne t'aimait guère avant cet "incident", celle ci ne risque point de s'attendrir maintenant !

Et surtout pas sur ton sort pathétique !

Tu n'es qu'un pion pour elle ! Un pion qu'elle utilise autant pour son profit que ... pour ses plaisirs !

Et tu en redemande hein ?

Sale laquet !

Et pendant ce temps on forçait Marth a avaler une quantité incroyable de lait ... caillé !

Au bout de quelques minutes de ce traitement, le fier guerrier obsédé devait avoir bougrement mal à l'estomac et ... sentait, certainement, voir venir, très lentement mais assurément, son probable ... trépas .

En tout les cas ses souffrances ne ferait que s'accroîtrent désormais, et ce tant qu'il n'aurait point avalé la toute dernière goutte ( de cet énorme calice ) jusqu'à la lie !!

Le grand austrasien atteindra t-il son point de rupture ?

Marth cherchait à se libérer de l'emprise, se débattait, alors que le lait caillé coulait autnant hors que dans sa bouche, et que Marth commençait quelque peu a avoir mal au ventre. Et il avait légèrement l'impression que le lait à peine entré ressortait alors qu'il se vidait par le bas du lait qui entrait en haut. Autrement dit, Marth urinait et à force de boire autant de lait il avait peur d'attraper la diahrée (bien écrit ? oui ? Non?). Cependant, aussi déplaisante soit cette solution ça lui évitait de gonfler, enfin en partie, et surtout ça lui évitait d'exploser alors qu'il cherchait à parler.

Peut-être ne suis-je qu'un pion pour celle que j'aime mais je suis son pion préféré! Jamais un homme ne lui a procuré autant de tendresse, et de plaisir, ne vous en déplaise!

Réussit finalement à dire Marth entre deux gorgées de lait. mais que faisait Moirgause! Ou même la dragonne meê si avoir la vie sauvée par la dragonne causerait de futur problème à Marth, il le savait et le craignait.

Certes vous "l'aimez" et cherchez à la combler, mais elle ne vous suffit pas ? !

Bon, a elle de décider de votre misérable sort après tout !

La barrique désormais vidée et Marth au bord de l'indigestion carabinée et aussi trempé qu'un nourrisson, Mordred claqua des doigts et sans plus de formalité, l'un des bourreaux se saisit du poignet gauche de l'austrasien, puis de l'index de cette main avant de le torde violemment jusqu'à ... le casser .

Le tyran s'approcha, un horrible sourire vicieux aux lèvres et déclara, tandis que le bourreau menaçait de réitérer avec le majeur gauche cette fois ci :

Acceptez de faire acte de contrition en la salle du trône, devant toute la cour, et de vous prosternez aux pieds de ma mère et ... de moi même, et ... je daignerai préserver vos doigts sales ... Même si par votre geste infame, je serais en droit de vous les briser, moi même, un à un !!

Alors ?

Marth n'avait guère le choix, s'il tenait à ses doigts, même ceux de la main gauche ...

Marth se sentait désagréablement humilié après cette torture puisqu'il s'était uriné dessus, condition necessaire pour ne pas exploser, mais ne plus devoir ingurgiter tant de lait ça faisait quand même du bien. Cependant le soulagement fut de courte durée puisqu'un homme lui brisait l'index, tandis que Mordred parlait. Marth eut envie de répondreà Mordred que c'était lui qui n'avait su satisfaire Ophélia et non Morgause qui n'avait su satisfaire le jeune prisonnier mais il se retint de ustesse, laissant Mordred évoquer la seconde sentence.

Acte de contrition devant toute la cour? Ramper aux pieds de celle que j'aime devant témoins? J'accepte: je ferais tout ce qu'elle souhaite avec ses pieds. Alors considérez cela comme un oui.

Déclara Marth qui, entendant ce qu'il voulait entendre, n'avait pas entendu que Mordred voulait voir Marth a ses pieds, si oui il n'aurait pas si facilement accepté.

Hey ! Mon beau merle !
Vous m'oubliez, et oubliez mes chausses !!

Vous devrez les lécher, elles aussi, elles sont forts sales !

Ricana Mordred, bientôt suivit en cela par l'ensemble des bourreaux, sauf celui qui ne tarda guère a briser le majeur gauche de Marth ...

Alors ?

Nous sommes d'accord ?!

Cela vaut mieux que ... de se voir briser tout les doigts, puis tout les membres non ? !

Il était temps que le satyre comprenne ... qu'il fallait parfois se faire violence, pour éviter ... le pire !

Marth cria autant de douleur que de dégoût lorsque son doigt fut brisé et que Mordred énonçait sa demande. D'ailleurs Marth fut soudain pris de nausées et eut envie de vomir, mais ce retint difficilement.

J'ai comrpis! Et je n'ai guere le choix, mais j'espère que vous n'y prendrez pas goût car cela je ne le ferais qu'une fois.

Répondit alors Marth, devenu livide à cause de son envie de vomir.

Vous croyez peut être que cela ne me dégoûte pas, à moi aussi ?, sot que vous êtes !

Allez cassez lui les deux autres doigts ! ( hj : donc pas le pouce ^^ ) Pour faire bonne mesure !

Ha ! ha !!

Et tandis qu'un autre doigt du sir Marth était brisé sans pitié, Mordred s'en fut, aux anges et presque ... soulagé .

Et désormais, quel programme ?

Aux appartements ou ... une très bonne surprise l'attends !

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