Interrogatoire de Abby

Abby regarda l'endroit dans tous les coin, c'était loin d'être un lieu bien chaleureux. Les gardes la lachèrent enfin. Elle se frotta le bras ces grosses brute on pouvait le dire n'y allait pas de mains mortes!
Abby prit place et se retrouva face à Hector et au sergent. Elle le regarda dérouler le parchemein. A ce moment précis elle eut une pensée quelque peu négative. Le sergent sortait un parchemin surlequel était certainement écrit troiss mots et il n'était même pas capable de s'en souvenir! Il lui laissa poser sa question. Elle se tut d'abbord. Allait-elle nier les fait ou craché à la figure du sergent le fond de ses pensées pour ensuite être condamnée au même prix que s'il elle n'avait rien dit. Mais après tout...il fallait qu'on l'entende peut être que quelqu'un un jour serait de son avis. Elle le regarda droit dans les yeux et dit distinctement.

- Oui j'ai bien proclamé de telles paroles. Je suis coupable dans ce cas. Coupable de me rendre compte de l'injustice qui règne justement dans cette "sainte " société. Vous voulez des précisions? J'en ai à revendre... tout d'abbord, l'inégalité des personne vivant dans la société...cette façon de classer les gens par rapport à leur richesse de leur attribuer des rangs en fonction de leurs ancêtre, qu'ils aient été roi ou non, alors que si l'on en croit la bible nous descendons tous des mêmes personnes.
Deuxièmement, de condamner les croyances différente des gens, je me prend pour exemple, j'ai perdu la foi! Et oui sergent déjà rien que pour ces propos vous allez m'envoyer au cachot. Perdre la foi ne pas croire en cette divinité, en ce Dieu, il faut être hérétique! N'est-ce pas ce que vous vous dites? Dans ce cas je pense pouvoir m'arrêter...

Elle tendit ses mains

-puis-je prendre possession de mon nouveau cachot...je veux dire logis?

Elle lui adressa un sourire bref. Oui peut-être qu'elle agissait de façon provocante, mais après tout que pouvait-elle bien dire d'autre c'est ce qu'elle pensait...et ce qu'elle pensait allait certainement la conduire vers la mort, alors pourquoi continuer à se justifier étant donner que tout est déjà perdu d'avance...

Hector écouta le propos d'abby et ne pu s'empêcher de se dire qu'elle avait totalement raison. Lorsqu'elle eut terminé, Hetcor enchaina, sns laiser le temps au sergent de parler:

- Je crois que les cachots seraient une punition trop sévère ...
Je propose donc, avec l'Accord du sergent, que l'on vous envoie dans un couvent ...
Là-bas ... Ils pourront vous enseigner la bonne façcon de penser ...

* Même si tout le monde devrais penser comme toi ...* allait-il rajouter

Il se tourna vers le sergent puis dit:

- Qu'en dites-vous ?

Elle regarda Hector avec de grand yeux...puis fuis son regard et leva les yeux au ciel.

*un couvent et puis quoi encore...ai-je l'air d'une sainte peut être? Je croyais avoir tout entendu...*

Elle sourit au sergent, puis fit un signe de croix.

-Oh oui je vous en prie, Sainte Abbigaëlle est en moi et ne demande qu'a ce qu'on lui donne une chance de voir le jour!

Oh joie, un couvent l'endroit ou la vie est aussi passionnante que de regarder une course d'escargot...mais au moins elle ne serait pas enfermé entre 4 murs...ou enfait peut-être que ce serait un peu moins ennuyeux.

Il croyait bien sortir Abby du pétrin en lui isant da,ller dans un couvent. Il l'accompagnerais il elle n'aurait qu'à se cacher pendant un certains temps ...

Il la regarda, puis croisa le regarda du sergent qui lui demandait si c'est lui qui avait permis à Abby de pénétrer dans l'enceinte du chateau .

Hector répondit aussitôt à cet acusation:

- Je vous jure que je ne suis pas celui qui ai permis à cette Dame de pénétrer dans les murs de Warminster ...
Je dois ajouter que la bonne raison pour laquelle ce n,est pas moi, c'est que je n'avais pas croisé cette Dame avant de la voir aux festivitées qui furent données en l'honneur de l'ambassadeur de Camelot ...
Alors, trouver un autre suspect ... sergent ...

-Certes je n'approuve pas les règlwes que le Roy à établit pour la société, mais c'est aussi la que je suis née et je me veux de défendre nos territoire des ennemis. Cela ne change en rien le fait que la société qui règne sur Orcanie est injuste. Mais pour ce qui est de la protection de la cité les décision du Roy n'engendre en rien mes ambition de sauver nos terre ou plutôt ses terres. Mais si je ne suis pas avec...je suis contre vous!

Elle regarda Hector puis continua.

-Sergent ce n'est certes pas lui qui m'y a fait entrer. Je suis l'apprentie de Mademoiselle Erwana. Et c'est elle qui a fait la demande au roi pour me prendre sous son ailes, si bien que l'on m'a proposer de vivre dans l'enceinte du chateau afin d'être plus proche d'elle et de pouvoir bénéficier du meilleur entrainement possible. Donc je ne crois pas être en faute sur ce point la. Et ne vous en prenez pas à sir Hector il n'est en rien dans toute cette affaire

Citations :

"Alors, trouver un autre suspect ... sergent ..."

et :

"Et ne vous en prenez pas à sir Hector il n'est en rien dans toute cette affaire"


Gareth n'en croyait pas ses oreilles : il se faisait presque sermonner, entre autre par une éventuelle "suspecte" ...
Le monde à l'envers ...
Le sergent soupira :

C'était une simple question ! ...

Alors que Gareth était sur le point de demander à Abby si elle était prête à embarquer sur le prochain bateau en partance pour les Orcades, et ainsi participer à la campagne contre Gaurres; afin qu'elle puisse prouver sa bonne foi ...
Une de ses répliques le fit "tiquer" :

"Mais si je ne suis pas avec...je suis contre vous!"

L'orcanien fronça les sourcils :

C'est à dire ? ...
Expliquez ! ...
Serais ce une menace ? ...

Oui ... cette phrase était vraiment de trop ...

-Cela se pourrait bien!

Elle baissa les yeux. Elle disait cela mais savait pertinement que ce n'était le cas, jamais même sous quelconque menaces elle ne se rebellerait contre sa patrie. Elle avait beau haïr les décision et le mode de vie qui y régnait c'était sa patrie là oû elle était née et elle ferait tout pour la défendre. Mais elle ne savait pourquoi elle préférait mentir...mais elle le voyait dans les yeux du sergent...elle venait de faire une grosse erreur...

Elle sursauta lorsque le poing du sergent frappa la table. Elle se leva puis resta dos à eux regardant vers le ciel.

*j'ai beau ne pas croire en la religion j'espère tout de même que quelqu'un la haut puisse m'entendre et me guider. Mère je t'en prie aide moi...*

Ses yeux se remplissaient de larmes puis elle se tourna vers le sergent et le regarda dans le blanc des yeux. Elle avala bruyament avant de commencer.

-Bon d'accord...je vais tout reprendre. Etant petite on m'a bien entendu appris les principes de la religion chrétienne. Chaque soir mon père et moi prions ensemble pour que nos jours soient beau, que nous ayons toujours de quoi nous nourrir. Et chaque jour était rempli de bonheur, mais ce que je ne savais pas, c'est que mon père se tuait à la tache pour que je crois en ce Dieu bienfaiseur à qui je pouvais tout demander. Puis j'ai commencé a demander que ma mère revienne, et surtout que les portes du chateau s'ouvrent à moi pour que je puisse la rejoindre. Alors le lendemain je me suis rendue au chateau et en arrivant tout ce que j'ai vu c'était cette richesse que nous n'avions pas. Je suis entrer par un trou dans les buissons à la recherche de ma mère, mon père avait écrit autrefois son nom sur un morceau de papier, je ne savais pas encore lire alors je l'ai montré à des servante qui m'ont indiqué où la trouver et c'est alors qu'elle m'a rejeté et nié mon existance. Oh quelle était belle dans sa robe et la petite fille à ces côté, une vrai princesse. Mon père m'avait toujours dit que nous étions les plus riches, que ce Dieu nous donnait tout ce que nous voulions. Baliverne, foutaise... C'est en grandissant que j'ai compris de plus en plus dans quelle galère nous vivions et plus je demandais des choses à Dieu moins les choses fonctionnaient. Mon père se tue chaque jour à la tache, et quand enfin je réalise mon rêve d'être guerrière, il me jette dehors. Jamais aucun prière ne fut exauser, alors comprenez que j'ai perdu la foi. Alors que peut-être pour vous ces croyances font votre bonheur pour moi elles ne sont que déchéances.
Deuxièmement, peut-être ne le remarquez-vous pas étant donné que vous vivez convenablement, mais regardez autour de vous, les riches deviennent de plus en plus riches et les pauvre de plus en plus pauvres et personne ne se soucie que des gens meurent de faim en dehors de l'enceinte de ce magnifique chateau. Alors excusez moi de me rebeller pour changer les choses, mais je ne peux me résoudre à rester les bras croiser tandis que ceux que j'aime s'affaiblissent sous mes yeux et finissent par tomber.
Ensuite pour l'armée, je jure mon absolue fidélité envers ma patrie. Tout ce que je veux c'est que la paix règne ici et que je puisse préserver la vie de pauvres innocent. Je donne ma vie pour la patrie et j'avoue que je mentirais si je disais que je serais capable de m'allier aux ennemi, même par fierté.
Voila je crois avoir tout dit, maintenant à vous de décider si vous voulez me condisérer comme une folle à lié et si vous pensez qu'il est bon de mettre fin à cette folie, quoique vous décidiez, je ne peux que me plier aux règles ce serait un début!

Elle se rassied, joignit ses mains et baissa à nouveaux les yeux. Voila elle avait utiliser les derniers arguments pour essayer de sauver sa vie...

-Je...

Elle regarda Hector, voila à peine s'étaient-ils trouver qu'ils allaient devoir se séparer. Elle baissa les yeux, elle ne voulait rien laisser paraître sur leur liaison, bien que très courte pour l'instant. Puis elle regarda le sergent avec un leger sourire.

-Merci sergent. Si j'ose une question, quand partiront ces prochaines unités?

Même si elle avait attendu cet instant depuis longtemps elle éprouvait tout de même de l'anxiété à se battre contre des millier de guerrier tous plus avide de sang les uns que les autres.

-Abbigaelle Rosington, sergent.

hj c'est juste la 3eme fois que j'écirs le texte paske mon copain a fermer chaque fois la fenêtre!

Elle se leva, ravie. On pouvait le dire elle s'en était plutôt bien tirée alors qu'au départ tout tournait à la catastrophe et elle avait même cru finir ces jours dans la noirceur des cachots. Mais à la place elle partait au front ce dont elle avait toujours rêvé et de plus Hector était aussi du voyage. Et cela pouvait s'avérer être plus attrayant, enfin elle entendait par la que ça mettrai un peu de douceur dans toute cette barbarerie... Elle imaginait déjà les combats menés et les conversations qu'elle échangerait avec Hector, mais elle fut ramené à la réalité par la voix suave du sergent.

-Merci sergent je tacherais de mettre en oeuvre vos conseils, mais je ne garantis rien, peut-être aurons-nous le plaisir de nous revoir, bien que je ne le souhaite pas vraiment car je doute que vous soyez toujours aussi clément avec moi.

Elle sourit, puis rejoignit Hector afin de rentrer avec lui. Mais elle se stoppa net. Le sergent venait de planter un pieux sur son bonheur...elle eut l'impression qu'une flèche lui avait transpercé le coeur. Hector...son Hector allait se fiancer avec celle qu'elle croyait son amie..Erwana. Elle lança un regard noir à Hector. En plus il avait préféré ne rien dire... Elle lui sortit avec ironie.

-Mais félicitation sir De Winter. Je vous souhaite beaucoup de bonheur...

Elle passa devant lui telle une furie. Puis revint et lui prit violemment son épée des mains et repartit

" Ooh, capitaine ...
Je vous félicite pour ... vos fiançailles, avec dame Erwana ! ... "

Hector sentit une boule de rage dans sa gorge. Il regarda Abby, qui était en furie, et avec raison, puis tenta de contenir ses émotions. Alors qu'elle repartait, après avoir pris ses armes, il courut derrière elle, puis la rattrapa.

- Abby ...
Abby ... Écoute moi ...je t'en prie ...

Sachant qu'elle ne s'arreterait pas, il la forca à stopper en le prenant par les épaules et la tenant fermement .

- Abby ...
Je peux tout t'expliquer ...
C'est la plus grosse erreur que j'ai comiss ...
L'évêque Florin m'a proposé de devenir un homme respecté de tous, un homme riche et tout, en échange je devais épouser Erwana ...

J'ai été aveuglé par tout ceci car je n'avais jamais rien eut de tel ! ...
Je n'avais pas réalisé qu'en fesant je détruirait le bonheure de deux personnes ainsi que mon bonheur ...

Pourrais-tu me pardonner de cela ? ...
Si tu ne peux pas, alors sache que tu est et sera la seule femme que j'ai vraiment aimé et que ... et que je te porterai toujours dans mon coeur ...

Puisque nous devons partir en Gaurres pour les combats ... Sache que je serait près à donner me vie pour toi ...
Si tu ne me crois pas sincère ... Alors que Dieu me foudroie sur le champ si je ments un seul instants ...

Il la poursuivait, elle s'y attendait mais elle était curieuse de connaître ses explication. Elle l'écouta sentant à chacun de ses mots la rage prendre possesion de sa tête, de son corps. Elle se défit sa son emprise et poussa un cri de rage.

-Je le savais, jamais non jamais je n'aurais droit au bonheur. Et pourquoi? A cause de l'argent, l'argent a ruiné ma vie...et apparement elle compte encore le faire.

Elle se retourna se prenant la tête dans les mains.

-Mais le pire Hector tu veux que je te dise, je te faisais confiance. Je croyais pouvoir compter sur toi mais tu as préféré me mentir et ça...je ne le supporte pas. Et tout ce que tu dis ne sont que des paroles comment pourrais-je te croire alors que ce soir je découvre que tu n'as fait que me mentir. Dis moi comment pourrais-je te pardonner?

Elle le regarda droit dans les yeux. Ses larmes se mirent à couler sur ses joues, mais elle les essuya aussi vite.

-Et je ne veux pas de ta protection, comme tu vois je peux très bien me débrouiller seule. Et Dieu qu'il te fasse ce que tu veux de toute manière je n'y crois pas...pas plus qu'en ton amour.

Bien qu'Abby le repousait, Hector voulat la reprendre dans ses bras.

- Abby ...
Je sais que je n'aurais pas du te mentir ...
J'en suis sincèrement désolé ...
Je sais très bien que je suis un salaud ...
Ne t'empêche pas de le dire ...

Il la prit dans ses bras et colla sa joue contre celle de la jeune femme.

- J'ai fait des stupidités ...
Et je ne mérite pas que tu me pardonnes ... J'en suis conscient ...
Je ne voulais pas te décevoir ni te faire du tort ...
Jamais je n'aurais voulut ça ...
La raison pour laquelle je ne t'ai rien dit, c'est parce que je ne voulais pas te voir avec cette réaction ...

Une larme coula le long de la joue du jeune chevalier, mais il ne l'essuya pas ... Il voulait lui montrer toute la sncérité de ses paroles ...

- Je ne t'ai pas menti lorsque je t'ai affirmé que je t'aimais ...
C'était la pure vérité, crois moi ...

-oh mais je m'empecherais de le dire parce qu'à mon avis le mot n'est pas assez fort pour exprimer ma colère et surtout ô combien je t'en veux.

Il la pris dans ses bras mais elle ne l'entendait pas de cette oreille, c'était trop facile, s'il croyait qu'elle lui pardonnait déjà, il se mettait le doigt dans l'oeil. Parce qu'Abby n'était pas du genre à pardonner aussi facilement. Elle le repoussa violemment.

-Ne t'avise plus de me toucher. Je ne veux plus que tu m'approche....tu...Ahhh tu m'énerve. Tu crois que le fait de me cacher que tu allais te marier allait arranger les choses? Et après le mariage comment aurais-tu fait pour me le cacher? J'aurais été ta...maîtresse. J'ai toujours le beau rôle. Tu veux vraiment me voir condamner c'est ça? Parce que là si j'était découverte je pense que le sergent n'aurait pas été aussi clément qu'à l'instant.

Elle marcha dans le sens inverse à lui puis se retourna.

-Et qu'est-ce que tu t'attendais par rapport à ma réaction? Que je te saute dans les bras pour te féliciter et faire comme si derien et continuer à vivre avec toi une relation alors que tu serais marié à une de mes amies? Oui bien sûr quel joli tableau, mon compagnon marié à mon amie. Un ménage à trois, très courant et surtout approuvé par la loi! Et bien moi j'ai toujours été honnête avec toi et je vais continuer à l'être. Je t'ai peut-être aimé et je t'aimais peut-être encore il y a une heure mais sache qu'à partir de maintenant tu es la personne que je détéeste le plus au monde. Sur ce...adieu

Elle se retourna le fusilla une dernière fois du regard et s'éloigna laissant ses larmes à présent ruisseler sur ses joues.

Tu veux vraiment me voir condamner c'est ça? Parce que là si j'était découverte je pense que le sergent n'aurait pas été aussi clément qu'à l'instant.

Hector recula et vit à quel point cette femme pouvait être si blessante ... même sans une arme ...
Il lui avait brisé le coeur, et elle l'avait fait aussi ...

- Abby
Tout ce que tu dis, c'est parce que tu es en colère ...
Tu ne pense rien de tout cela ...
Avoue le ! ...

Je ne veux pas te voir condamner ...
Je ne veux rien de tout cela ...

Je t'ai peut-être aimé et je t'aimais peut-être encore il y a une heure mais sache qu'à partir de maintenant tu es la personne que je détéeste le plus au monde

- MOI JE T'AIME ...
ET JE T'AIMERAI TOUOURS ...
JUSQU'À MA MORT !

- Oh crois moi en ce moment même je pense et pese chacun des mots que j'utilise...

En s'éloignant elle entendit ses dernière parole. Celle comme quoi il l'aimait et l'aimerait toujours. Elle s'arrêta entre quelque sanglot et en évitant de se retourner elle lui dit.

-Mais si c'était vraiment le cas Hector, pourquoi alors as-tu préféré l'argent à...à moi?

-Mais si c'était vraiment le cas Hector, pourquoi alors as-tu préféré l'argent à...à moi?

Il vint près d'elle sans pourtant la toucher. Les larmes reluisaient aussi sur son visage et son coeur ne voulait plus vivre ...
Pas sans Abby ...

Je ...
Je me le demande chaque jours ...
Et pourtant, je ne trouve pas la réponse ...

Mais aujourd'hui, j'ai compris pourquoi ...
C'était pour être respecté et pour pouvoir avoir un titre prestigieux ...
Je croyais que tout cela allait me rendre plus heureux, mais non ...
Cela m'enlève tout le bonheure que j'aurais eut avec toi ...

Laisse moi tout arranger ...
Je vais dire à L'évêque que je ne veux plus de mariage, plus de richesse et plus rien ...
Car dans mon coeur, je ne veux que toi ...

On repartira à zéro, si tu veux ...
Ou bien ... on se dira adieu ...
Comme tu le souhaites tant, en ce moment ...

-Je doute que tu puisse te délivrer de ce contrat...

Elle évita toujours de se retourner et dit doucement.

- Pour l'instant je ne sais pas si je te pardonne déjà...laisse moi réfléchir...laisse moi un peu seule je t'en prie maintenant.

Elle reprit sa route et s'éloigna